20 research outputs found

    L’alphabet arménien dans l’histoire et la mémoire. Vie de Machtots, par Korioun ; Panégyrique des Saints Traducteurs, par Vardan Areveltsi. Textes traduits et annotés par Jean-Pierre Mahé

    Get PDF
    Voici un ouvrage fondamental avec cartes et illustrations dont l’auteur, Jean-Pierre Mahé, membre de l’Institut, philologue érudit, historien fécond, est un arménologue français de réputation internationale. Il contient la traduction et l’étude critique de deux textes relatifs à l’invention, au ve siècle, d’un alphabet phonétique notant les sons de la langue arménienne. Maniant philologie, épigraphie et codicologie, faisant appel aux historiens de l’Antiquité tardive, aux œuvres des Pères de ..

    Une histoire arménienne des guerres balkaniques

    Get PDF
    Cet article étudie le parcours d’Aram Andonian, journaliste arménien né à Constantinople et plus particulièrement son Histoire illustrée des guerres balkaniques parue en 1913. S’y trouvent analysés non seulement les opérations militaires de 1912-1913, mais également l’arrière-plan historique de la question d’Orient de 1878 à 1908, tout comme l’utilisation de la photographie dans la construction de l’ouvrage. En outre, ces évènements sont étudiés dans une perspective arménienne

    L'Arménie, la Turquie et le Marché commun de la mer Noire

    Get PDF
    Le vide géopolitique créé en mer Noire par l'effondrement de l'URSS a poussé la Turquie à reprendre des relations extérieures privilégiées avec les pays de cette région nouvellement émancipés. La normalisation progressive des relations turco_arméniennes représente un élément favorable pour la création d'un marché commun de la mer Noire mais cette éventualité est gravement compromise par le conflit arméno-azeri

    Joseph et Claire Yacoub, Oubliés de tous. Les Assyro-Chaldéens du Caucase

    Get PDF
    Voici un livre écrit à quatre mains, rédigé par deux spécialistes reconnus de la « question assyro-chaldéenne ». Depuis trois ou quatre décennies Joseph Yacoub, aujourd’hui professeur honoraire à l’Université catholique de Lyon, sociologue engagé dans la défense des minorités chrétiennes du Proche-Orient, a multiplié les ouvrages sur les Assyro-Chaldéens, sur leur identité ethno-religieuse et leur organisation sociale (notamment dans Babylone chrétienne, Paris, Desclée de Brouwer, 1996 ; Au n..

    La diaspora arménienne

    No full text
    The Armenian diaspora. — From ancient times to the present day, groups of Armenians have never ceased to make up networks within large empires: it is, however, the 1915 genocide which constitutes the starting point of the Armenian diaspora. Although loosely structured, and without definite location, the Armenian diaspora is remarkable for conserving its specific identity.De l'Antiquité au XXe siècle les colonies arméniennes ont constitué des réseaux dans de vastes empires, mais c'est le génocide de 1915 qui est l'acte fondateur de la diaspora arménienne. Malgré une faible structuration et une géographie changeante, la diaspora arménienne est un exemple remarquable de conservation identitaire.Ter-Minassian Anahide. La diaspora arménienne. In: Espace géographique, tome 23, n°2, 1994. pp. 115-128

    Gérard Chaliand, Sophie Mousset, 2000 ans de chrétientés, Guide Historique

    No full text
    Ter-Minassian Anahide. Gérard Chaliand, Sophie Mousset, 2000 ans de chrétientés, Guide Historique. In: Revue d'études comparatives Est-Ouest, vol. 31, 2000, n°2. pp. 204-205

    Enjeux d'une politique de reconquête linguistique : les Arméniens dans l'Empire ottoman (1853-1914)

    No full text
    Donated by Klaus KreiserReprinted from in : Langues et pouvoir : de l'Afrique du Nord à l'Extrême-Orient : Aix-en-Provence / Edisud, 1998

    Les Arméniens de Paris depuis 1945

    No full text
    En 1993, la France compte quelque 350 000 Arméniens. On les trouve notamment dans les Bouches-du-Rhône, dans le sillon rhodanien et dans l’Ile-de-France. Plus de la moitié d’entre eux vit à Paris et dans quelques proches banlieues : Alfortville, Maisons-Alfort, Issy-les-Moulineaux, Sarcelles, Arnouville, Bagneux, Cachan, Chaville etc.. Paris est l’un des foyers de la diaspora arménienne, l’un des maillons de son réseau. L’acte de naissance de la diaspora est le génocide des Arméniens de l’Emp..

    Le mouvement révolutionnaire arménien, 1890-1903

    No full text
    Anahide Ter Minassian, Armenian revolutionary movement, 1890-1903. From 1890 to 1918, Armenians have participated in all the revolutions that occurred in the area extending from the Balkan Peninsula to the Middle East, from Transcaucasia to Egypt. The analysis of a report of the Tiflis Constabulary gives a clear picture of the stages of the Armenian revolutionary movement from 1890 to 1903 and its ramifications from the Ottoman, Russian and Iranian Empires to the principal centers of the Armenian diaspora. This analysis sets out the original characteristics of the movement in question: its comparative precocity, its paramilitary organisation as expressed by the fedaï movement, the socialism claimed by the hintchaks, daschnaks and Social Democrats which appeared in the phases of the development of the national liberation movement.Anahide Ter Minassian, Le mouvement révolutionnaire arménien, 1890-1903. De 1890 à 1918, les Arméniens ont participé à toutes les révolutions dans l'aire qui s'étend de la Péninsule balkanique au Moyen-Orient, de la Transcaucasie à l'Egypte. L'analyse d'un rapport de la Gendarmerie de Tiflis permet de saisir, de 1890 à 1903, les étapes du mouvement révolutionnaire arménien et son extension depuis les Empires ottoman, russe et perse aux principaux centres de la diaspora arménienne. Elle dégage les traits originaux de ce mouvement : sa précocité relative, sa militarisation concrétisée par le mouvement fédaï, le socialisme dont se réclament hintchaks, daschnaks et sociaux-démocrates, apparu dans les phases de développement du mouvement d'émancipation nationale.Ter Minassian Anahide. Le mouvement révolutionnaire arménien, 1890-1903. In: Cahiers du monde russe et soviétique, vol. 14, n°4, Octobre-décembre 1973. pp. 536-607

    Lire Ô±Õ¶Õ¸Ö‚Õ¶Õ¨ Õ¬Õ¥Õ¦Õ¸Ö‚Õ«Õ½ Õ¿Õ¡Õ¯

    No full text
    Անունը լեզուիս տակ (Le nom sous ma langue), le cinquième volume d’une série de romans, est une fiction narrative. Lors d’un colloque académique à Paris, le narrateur écoute un discours prononcé par une historienne qui raconte, avec des cartes et des statistiques, l’anéantissement de la population arménienne de Moush et de ses régions environnantes en 1915. Il se souvient des romans de Nano, une vieille femme de Moush, qu’il a entendue alors qu’il était enfant vivant à la périphérie de Beyrouth. Dans ce roman basé sur la mémoire, le temps n’est pas linéaire, les récits se succèdent et le narrateur écrit une critique épistémologique de l’histoire. Ce roman de Krikor Beledian a véritablement renouvelé le genre du roman arménien, car la langue et la forme sont mises en avant.Անունը լեզուիս տակ (The Name on the Tip of my Tongue), the fifth volume in a series of novels, is narrative fiction. During an academic conference in Paris, the narrator listens to a speech delivered by a female historian who relays, with the support of maps and statistics, the annihilation of the Armenian population of Moush and its surrounding regions in 1915. He remembers the accounts of Nano, an old woman from Moush, that he heard when he was a child living on the outskirts of Beirut. In this novel based on memory, time is not linear, accounts follow one another and the narrator writes an epistemological criticism of history. This novel by Krikor Beledian has truly renewed the genre of the Armenian novel, as language and form are put at the forefront
    corecore