1,131 research outputs found

    Late-glacial Coleoptera and the paleoclimate at Hirtles, Nova Scotia

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    Paleoentomological studies of Coleoptera from a late-glacial site at Hirtles, Nova Scotia, Canada, produced a tundra-treeline to northern boreal assemblage during the interval 12,300 to 11,700 years B.P. This is one of the oldest late-glacial buried organic deposits in the Maritime Provinces of Canada and provides fossil beetle evidence for recently deglaciated environments in the region. Bark beetles indicate the presence of trees, perhaps as early as 11,900 years B.P. A comparison can be made with contemporaneous sites in central and eastern North America where coleopteran evidence suggests warmer temperatures. Coleoptera fossils demonstrate evidence of a climatic gradient from the Great Lakes to eastern Canada during this time interval possibly greater than occurs today. RÉSUMÉ Des études paléoentomologiques de coléopteres d'un emplacement tardiglaciaire, à Hirtes, en Nouvelle-&#xX9;cosse, au Canada, ont permis l'etablissement d'une limite de végétation des arbres et de toundra pour la florizone boréale septentrionale pendant l'intervalle de 12 300 à 11 700 ans avant le present. Il s'agit de l'un des plus anciens dépôts organiques tardiglaciaires enfouis dans les provinces maritimes canadiennes; il fournit une preuve de l'existence de coléopteres fossiles dans la région. L'existence de scolytes révèle la présence d'arbres, peut-être des 11 900 ans avant le présent. On peut effectuer une comparaison avec des emplacements contemporains dans le centre et Pest de l'Amérique du Nord, oû la preuve de la présence de coléopteres permet de supposer des températures plus chaudes. Les fossiles de coléoptères demontrent qu'il a existé pendant cet intervalle un gradient climatique possiblement supérieur à celui d'aujourd'hui, des Grands Lacs à l'Est du Canada. [Traduit par la rédaction

    Nineteenth century collections of Pterygotus anglicus Agassiz (Chelicerata; Eurypterida) from the Campbellton Formation, New Brunswick, Canada

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    The Devonian fauna from the Campbellton Formation of northern New Brunswick was discovered in 1881 at the classic locality in Campbellton. About a decade later A.S. Woodward at the British Museum (Natural History) (now the Natural History Museum, London) acquired specimens through fossil dealer R.F. Damon. Woodward was among the first to describe the fish assemblage of ostracoderms, arthrodires, acanthodians and chondrichthyans. At the same time the museum also acquired specimens of a large pterygotid eurypterid. Although the vertebrates received considerable attention, the pterygotids at the Natural History Museum, London are described here for the first time. The first pterygotid specimens collected in 1881 by the Geological Survey of Canada were later identified by Clarke and Ruedemann in 1912 as Pterygotus atlanticus, although they suggested it might be a variant of Pterygotus anglicus Agassiz. An almost complete pterygotid recovered in 1994 from the Campbellton Formation at a new locality in Atholville, less than two kilometres west of Campbellton, has been identified as P. anglicus Agassiz. Like the specimens described by Clarke and Ruedemann, the material from the Natural History Museum, London is herein referred to P. anglicus. RÉSUMÉ La faune dévonienne de la Formation de Campbellton dans le Nord du Nouveau-Brunswick a été découverte en 1881 à l’emplacement classique de Campbellton. Environ une décennie plus tard, A. S. Woodward, du British Museum (Histoire naturelle) (maintenant le Natural History Museum de Londres) a fait l’acquisition de spécimens par l’entremise du négociant de fossiles R. F. Damon. Woodward a figuré parmi les premiers à décrire l’assemblage de poissons d’ostracodermes, d’arthrodires, d’acanthodiens et de chondrichthyens. Le musée a également fait en même temps l’acquisition de spécimens d’un euryptéridé ptérygotide de fortes dimensions. Même si les vertébrés ont bénéficié d’une attention considérable, les ptérygotides du Natural History Museum de Londres sont décrits aux présentes pour la première fois. Les premiers spécimens de ptérygotides recueillis en 1881 par la Commission géologique du Canada ont ultérieurement été identifiés par Clarke et Ruedemann en 1912 en tant que Pterygotus atlanticus, bien que les chercheurs aient avancé qu’il pourrait s’agir d’une variante du Pterygotus anglicus Agassiz. On a récupéré en 1994 un ptérygotide presque complet de la Formation de Campbellton dans un nouvel emplacement situé à Atholville, à moins de deux kilomètres à l’ouest de Campbellton, lequel a été identifié en tant que P. anglicus Agassiz. À l’instar des spécimens décrits par Clarke et Ruedemann, l’article du Natural History Museum de Londres est cité aux présentes à titre de P. anglicus

    The holotype of Leaia silurica Matthew, 1910, Pennsylvanian, Lancaster Formation, New Brunswick

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    The conchostracan Leaia silurica Matthew, 1910 was reviewed by Copeland in 1957 and a hypotype described and deposited in the collections of the Geological Survey of Canada. Matthew's holotype has been recovered during organization of the G.F. Matthew collection at the New Brunswick Museum. RÉSUMÉ Le Conchostracé Leaia silurica de Matthew, 1910, a été reéxaminé par Copeland en 1957 et un hypotype a été décrit et déposé dans les collections de la Commission géologique du Canada. L'holotype de Matthew a été récuperé pendant l'organisation de la collection de G. F. Matthew au Musée du Nouveau-Brunswick. Traduit par la rédaction

    Geoheritage 5. Geoscience Heritage in New Brunswick

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    Geoheritage encompasses a broad range of topics, from the preservation of geological sites, to maintenance of archival and specimen collections, gathering and dissemination of data, legislation, and geotourism. New Brunswick has a long history of geological investigations that have considerably advanced our understanding of a complicated geological past spanning one billion years. Although the province contains a number of classic geological sites, and many of the first geological explorations in the country were conducted here, only two of more than 1100 historic sites in the province are based on geohistory. Fortunately, geoheritage resources are readily available in New Brunswick, and many of the early geosites are still accessible. Improving geoheritage in New Brunswick is, in part, the responsibility of members of the local geo-science community, which knows it best. Existing heritage systems, such as New Brunswick’s Register of Historic Places and the national Historic Places Initiative, provide the means to ensure that geoheritage becomes part of society’s collective heritage awareness. SOMMAIRE La notion de patrimoine géologique recouvre une gamme variée de sujets d’intérêt, allant de la préservation de sites géologiques, à l’entretien de collections d’archives et d’échantillons, à la collecte et à la dissémination de données, à la règlementation en cette matière, et au géotourisme. La longue tradition de recherches géologique du Nouveau-Brunswick ont permis d’améliorer substantiellement nos connaissances d’une l’histoire géologique compliquée s’étendant sur un milliard d’années. Bien que la province compte de nombreux sites géologiques classiques, dont de nombreux sites des premières recherches géologiques au pays, seuls deux de ces sites sur plus de 1 100 sites à valeur historique de la province sont de nature géo-historique. Heureusement, au Nouveau-Brunswick les ressources géologiques patrimoniales sont facilement accessibles, et nombre des premiers sites géologiques le sont encore. L’amélioration de la situation du patrimoine géologique au Nouveau-Brunswick est, pour une part, du ressort des membres de la communauté géoscientifique locale, étant des experts en sciences de la Terre. Les organismes patrimoniaux existants, comme le Répertoire des lieux patrimoniaux, et l’Initiative des endroits historiques du Nouveau-Brunswick sont des moyens de faire des questions de patrimoine géologique des sujets de préoccupation de la société

    A review of echinoderms from Pleistocene marine deposits near Saint John, New Brunswick

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    Two species of echinoderm, the brittlestar Ophiura sarsii Lütken and the common green sea urchin Strongylo-centrotus droebachiensis Müller, are found in Pleistocene marine clays near Saint John. Today, both of these echinoderms are considered boreal species and both range from the Arctic to somewhat south of Cape Cod. The species have been known to occur as fossils in the Saint John area since before 1865; however, few specimens actually exist. A summary of specimens in the New Brunswick Museum collections is presented, including brittlestars that probably belong to collections referred to by Sir J.W. Dawson. Two sea urchin specimens, not previously documented, are the only fossil specimens known to exist from this area. RÉSUMÉ Deux espèces d'échinoderme se rencontrent au sein des argiles marines pléistocenes aux environs de Saint-Jean: l'ophiure Ophiura sarsii Lütken et l'oursin vert commun Strongylocenlrotus droebachiensis Müller. De nos jours, ces échinodermes sont tous deux considers comme des espèces boréales et leur aire d'occupation s'étend depuis l'Arctique jusqu'à dépasser quelque peu le sud de Cape Cod. La connaissance à l'état fossile de ces espèces dans la région de Saint-Jean date d'avant 1865; cependant, l'inventaire se réduit à quelques spécimens. On donne un apercu des spécimens dans les collections du Musée du Nouveau-Brunswick, y compris d'ophiures appartenant probablement aux collections auxquelles Sir J.W. Dawson faisait référence. Deux spécimens d'oursin, qui n'ont fait l'objet d'aucune publication jusqu'à ce jour, constituent les seuls exemplaires fossiles connus pour provenir de cette région. [Traduit par le journal

    The camerate crinoid Scyphocrinites Zenker in the Upper Silurian or Lower Devonian of New Brunswick, Canada

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    The mid-Paleozoic Scyphocrinites Zenker has a distal attachment modified into a globular flotation structure and, uniquely for a crinoid, joined the obligate plankton. Such a flotation structure has been found in the Indian Point Formation (Pridolian to Lochkovian) of Flatlands, northern New Brunswick. It is most likely Pridolian (Upper Silurian) based on the primitive morphology. This identification is confirmed by the globular gross morphology, multi-plated calcite structure, age and similarity to coeval fossils from Cornwall, southwestern England

    Late-glacial marine invertebrate macrofossils from Point Lepreau, New Brunswick

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    A late-glacial shell fauna from Point Lepreau, New Brunswick produced a radiocarbon date of 13,500 years B.P. The assemblage contained well-preserved subarctic to boreal molluscs and barnacles typical of late Pleistocene marine deposits from the region. Rare specimens of sea urchin, crab and brittlestar may be the oldest recorded occurrence of these animals in the late-glacial Bay of Fundy. The assemblage fits into a previously defined Zone 3, late-glacial marine invertebrate assemblage in the Bay of Fundy-Gulf of Maine region, characterized as a Diverse Arctic assemblage. RÉSUMÉ La datation par le radiocarbone a situé à 13 500 ans BP une faune invertébéie tardiglaciaire de la pointe Lepreau, ou Nouveau-Brunswick. L'assemblage renferme des mollusques et des bernacles subarctiques à boréaux bien conservés caractéristiques des dépôts marins du Pléistocène tardif de la région. Les spècimens rares d'oursins, de crabes et d'ophiures pourraient constituer les manifestations les plus anciennes de la présence de ces animaux relevées dans la région tardiglaciaire de la baie de Fundy. L'assemblage se situé à l’intérieur de l'assemblage d'invertébrés marins tardiglaciaires de la zone 3 antérieurement défini dans la région de la baie de Fundy et du golfe du Maine, caractérisé en tant qu'assemblage arctique hétéiogene. [Traduit par la rédaction

    Sir Charles Lyell's travels in New Brunswick, Canada, in 1852

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    Abstract Geologist Sir Charles Lyell made a brief visit to New Brunswick, Canada, during his 1852 visit to North America. Lyell traveled to Albert Mines during the peak of the albertite controversy, visited the Reversing Falls and graphite mines in Saint John, and took a steamboat trip up the Saint John River to Fredericton where he visited his friend, Lieutenant Governor Sir Edmund Head. Lyell’s friendship with Head likely had a long-term effect on the development of geological sciences in New Brunswick and Canada. New Brunswick newspapers followed Charles Lyell’s travels through the province and expressed hope that Lyell’s observations on the geology of New Brunswick would cast a favourable opinion on the province’s geological wealth and foster economic development. Résumé Le géologue Sir Charles Lyell a effectué un bref arrêt au Nouveau-Brunswick, Canada, au cours de sa visite de 1852 en Amérique du Nord. Lyell s’est rendu à Albert Mines au moment culminant de la controverse au sujet de l’albertite; il a visité les chutes réversibles et les mines de graphite de Saint-Jean; et il a remonté en vapeur le fleuve Saint-Jean jusqu’à Fredericton, où il a rendu visite à son ami, le lieutenant-gouverneur Sir Edmund Head. L’amitié de Lyell et Head a probablement eu un effet de longue durée sur l’essor des sciences de la terre au Nouveau-Brunswick et au Canada. Les journaux du Nouveau-Brunswick ont suivi les déplacements de Charles Lyell à l’intérieur de la province; ils ont exprimé l’espoir que les observations de Lyell sur la géologie du Nouveau-Brunswick engendreraient une opinion favorable sur la richesse géologique de la province et qu’elles favoriseraient le développement économique

    Late-glacial Coleoptera fauna from Lismore, Nova Scotia

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    Fossil Coleoptera from a late-glacial site near Lismore, Nova Scotia record paleoclimatic and paleoecological conditions prior to the Younger Dryas in eastern Canada. A buried peat deposit dated 11,900 years B.P. near the base and 10,500 years B.P. at the top contains a small insect fauna that includes both boreal species, such as Olophrum consimile, and subarctic beetle species like Elaphrus lapponicus. Although a palynological study of the Lismore site shows evidence of the Younger Dryas, the beetle fauna is poorly preserved in sandy peat deposits dated younger than 10.600 years B.P. RÉSUMÉ Les colĂ©opteres fossiles provenant d'une site tardi-glaciaire près de Lismore, Nouvelle-Écosse, tĂ©moignent des conditions palĂ©oclimatiques et palĂ©oĂ©cologiques antĂ©rieures au Dryas tardif de Test du Canada. Un dĂ©pôt de tourbe, datant de 11,900 B.P. à la base et de 10,500 B.P. au sommet, contient une faune de petits insectes qui inclut autant des espèces borĂ©ales, comme Olophrum consimile, que des espèces subarctiques, telle Elaphrus lapponicus. Bien que l'Ă©tude palynologique du site de Lismore montre des Ă©vidences du Dryas tardif, la faune de coĂ©doptères est mal prĂ©servĂ©e dans les dĂ©pôts de tourbière sablonneux plus jeunes que 10,600 B.P. [Traduit par le journal
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