2,581 research outputs found

    The Haunted House in Contemporary Filmic and Literary Gothic Narratives of Trauma

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    La maison hantĂ©e demeure une figure centrale du cinĂ©ma et de la littĂ©rature amĂ©ricaine d’aujourd’hui. Ces rĂ©cits gothiques contemporains sont conscients que la maison hantĂ©e est le psychisme lui-mĂȘme : ce motif hante tant les romans que les films mettant en scĂšne le « moi hantĂ© » de personnages ayant survĂ©cu au traumatisme. Ces Ɠuvres se structurent souvent autour de l’image du labyrinthe, qui traduit le sentiment d’aliĂ©nation et de terreur ressenti par les personnages, mais permet aussi, dans un jeu rĂ©flexif, au film ou au texte de jouer sur sa propre construction comme maison hantĂ©e faite d’images et/ou de mots, dans une mise en abyme de la hantise et de la spectralitĂ©.Haunted houses are still a central figure in contemporary American film and literature alike. Contemporary narratives of haunting are acutely aware that the haunted house is the psyche itself: the motif has become prevalent in postmodern narratives staging the “haunted self” of survivors of trauma. These Gothic texts or films often stage maze imagery that simultaneously captures the characters’ feelings of terror and alienation, and Gothic postmodern texts’ complexity, playing on their status as “haunted houses” of images and/or words, and, in an ultimate gothic twist, on the “ghosting” of the text itself

    Comparison Sequential Test for Mean Times Between Failures

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    The Haunted House in Contemporary Filmic and Literary Gothic Narratives of Trauma

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    La maison hantĂ©e demeure une figure centrale du cinĂ©ma et de la littĂ©rature amĂ©ricaine d’aujourd’hui. Ces rĂ©cits gothiques contemporains sont conscients que la maison hantĂ©e est le psychisme lui-mĂȘme : ce motif hante tant les romans que les films mettant en scĂšne le « moi hantĂ© » de personnages ayant survĂ©cu au traumatisme. Ces Ɠuvres se structurent souvent autour de l’image du labyrinthe, qui traduit le sentiment d’aliĂ©nation et de terreur ressenti par les personnages, mais permet aussi, dans un jeu rĂ©flexif, au film ou au texte de jouer sur sa propre construction comme maison hantĂ©e faite d’images et/ou de mots, dans une mise en abyme de la hantise et de la spectralitĂ©.Haunted houses are still a central figure in contemporary American film and literature alike. Contemporary narratives of haunting are acutely aware that the haunted house is the psyche itself: the motif has become prevalent in postmodern narratives staging the “haunted self” of survivors of trauma. These Gothic texts or films often stage maze imagery that simultaneously captures the characters’ feelings of terror and alienation, and Gothic postmodern texts’ complexity, playing on their status as “haunted houses” of images and/or words, and, in an ultimate gothic twist, on the “ghosting” of the text itself

    Introduction

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    Ce numĂ©ro de TV/Series est issu de la journĂ©e PhilosĂ©ries Ă©pisode 4, « Philosopher avec Battlestar Galactica (BSG) et Caprica », organisĂ©e par les philosophes Sandra Laugier (UniversitĂ© PanthĂ©on Sorbonne) et Sylvie Allouche, avec l’aide de Marco Dell’Omodarme et la mienne, le 3 dĂ©cembre 2012, salle Lucien Paye, CitĂ© Universitaire de Paris. Les journĂ©es PhilosĂ©ries que Sandra Laugier et Sylvie Allouche pilotent depuis 2009 rĂ©unissent des philosophes, mais aussi des spĂ©cialistes d’études filmiq..

    Recurrence, Remediation and Metatextuality in Queer As Folk

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    This article examines how recurrence functions diegetically within the series Queer As Folk (Showtime, 2000-2005), and how variations on the same event – the gay-bashing of Justin – are deliberately woven into the narrative. As a charged element within the soap opera framework of the series and within its political discourse, the bashing is reprised in a series of inset remediations (comics, theatrical show, storyboard to a Hollywood film, short sequences of animated film). This intermediality can be read as a form of hypertext and of multiplatform storytelling, as well as the series’ metatextual image for itself. I will argue that remediation allows the series to articulate subversive messages, both in highlighting the queer subtext in established mainstream popular culture genres (comics, action hero films) and in highlighting the series’ own singular achievement, beyond the creation of an “out” gay comics hero: the queering of soap itself.Cet article examine comment la rĂ©currence fonctionne dans la diĂ©gĂšse de la sĂ©rie Queer as Folk (Showtime, 2000-2005) et comment des variations sur le mĂȘme Ă©vĂ©nement — la violence anti-gay vĂ©cue par Justin — sont dĂ©libĂ©rĂ©ment incorporĂ©es au rĂ©cit. Comme un Ă©lĂ©ment sensible dans le cadre soap opera de la sĂ©rie et dans son discours politique, cette violence est reprise dans une suite de remĂ©diations (BDs, spectacle thĂ©Ăątral, story-board Ă  un film hollywoodien et des courtes sĂ©quences de film animĂ©). Cette intermĂ©dialitĂ© peut ĂȘtre lue comme une forme d’hypertexte et de narration multiplateforme, ainsi que l’image mĂ©tatextuelle de la sĂ©rie pour elle-mĂȘme. Je soutiendrai que la remĂ©diation permet Ă  la sĂ©rie d’articuler des messages subversifs, Ă  la fois en soulignant le message sous-jacent queer dans les grands genres de culture populaire Ă©tablis (BDs, films d’action et de super-hĂ©ros) et en soulignant la rĂ©ussite singuliĂšre de la sĂ©rie, au-delĂ  de la crĂ©ation d’un hĂ©ros de BD gay « out » : la queerification du soap en soi

    Between Unsanitized Depiction and ‘Sensory Overload’: The Deliberate Ambiguities of Generation Kill (HBO, 2008)

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    Cet article examine la maniĂšre dĂ©libĂ©rĂ©ment ambiguĂ« dont Generation Kill reprĂ©sente la guerre, dans une mise en abyme qui oscille entre mise en scĂšne de l’ennui et spectacle de la guerre, entre « surcharge sensorielle » de nature orgasmique et distanciation radicale. Dans sa mobilisation d’allusions Ă  des films de guerre cĂ©lĂšbres, et dans son recyclage de stĂ©rĂ©otypes et d’archĂ©types, la sĂ©rie de David Simon semble se contredire sans cesse : la guerre est-elle l’expĂ©rience de l’aventure masculine dĂ©sirable entre toutes, ou l’expĂ©rience de l’aliĂ©nation, les soldats devant obĂ©ir aux ordres au mĂ©pris de leur conscience, y compris lorsqu’il s’agit de tuer, Ă  rĂ©pĂ©tition, des civils ? Certains spectateurs et critiques voient dans l’arc que trace le rĂ©cit un discours Ă©thique, qui nous propose de rejeter la guerre comme spectacle en la dĂ©voilant comme carnage. Mais est-il certain que la derniĂšre scĂšne, dans laquelle les soldats quittent un Ă  un le plateau, Ă  mesure que la vidĂ©o filmĂ©e par leur camarade rĂ©vĂšle, sous la guerre-comme-aventure, la guerre-comme-boucherie, soit sans ambiguĂŻté ? Ne s’agit-il pas plutĂŽt d’un dispositif esthĂ©tique cher Ă  Simon, qui concluait dĂ©jĂ  nombre de saisons de The Wire sur ces formes de « dĂ©mantĂšlement » rĂ©flexif du plateau – d’autant que cette scĂšne « finale » est suivie du discours bravache en voix off d’un Marine qui a ainsi le dernier mot.This article examines Generation Kill’s deliberately ambiguous discourse on war, as the series stages, in a mise en abyme, armed invasion and the spectacle of war as somewhere between orgasmic excitement and boredom – between “sensory overload” (as one Marine calls it in the last minutes of story) and radical alienation. In its self-reflexive references to famous war films, its recycling of stereotypes and/or archetypes, the series seems to deliberately contradict itself, over and over, as to whether or not war is a desirable all-male adventure or if it is born of training men to be “pit bulls” (1.1) who must obey the chain of command and disregard their conscience when killing civilians. Between the opening sequence and the final one, when the soldiers gather around to watch the war as their buddy has filmed it on videocam, in a mash-up that “recaps” what the series has immersed us in all along, one might see a progression towards a radical critique of war: when images of carnage replace those of war-as-adventure, the soldiers, one by one, desert the “(re-)viewing”, until the set is left bare. But is this truly an ethical and political “turning away” from the horrors of war, or is it merely an aesthetic gesture, that reflexively “dismantles” the set and the series? What, in particular, is one to make of the voice-over by an allegorical Marine that concludes the series’ audio track and thus gives the gung-ho Marine the last word

    Introduction

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    Ce numĂ©ro de TV/Series est issu de la journĂ©e PhilosĂ©ries Ă©pisode 4, « Philosopher avec Battlestar Galactica (BSG) et Caprica », organisĂ©e par les philosophes Sandra Laugier (UniversitĂ© PanthĂ©on Sorbonne) et Sylvie Allouche, avec l’aide de Marco Dell’Omodarme et la mienne, le 3 dĂ©cembre 2012, salle Lucien Paye, CitĂ© Universitaire de Paris. Les journĂ©es PhilosĂ©ries que Sandra Laugier et Sylvie Allouche pilotent depuis 2009 rĂ©unissent des philosophes, mais aussi des spĂ©cialistes d’études filmiq..

    Introduction : Posthumains en séries

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    Posthumains en sĂ©ries poursuit une rĂ©flexion critique qui a connu une accĂ©lĂ©ration depuis le dĂ©but du xxie siĂšcle sur le posthumain et sur la redĂ©finition de l’identitĂ© humaine que ce concept problĂ©matise. Les articles rĂ©unis ici croisent les approches de spĂ©cialistes des cultures amĂ©ricaine et britannique, de comparatistes et de spĂ©cialistes de cinĂ©ma et d’arts visuels. La recherche sur le posthumain, en France, reste trĂšs ancrĂ©e dans le champ de la philosophie, avec les ouvrages de Dominiqu..

    Magnetooptics in Gold and Silver NanoSizes Low-Dimensional Objects

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    The spectra of optical absorption and of magnetic circular dichroism (MCD) have been measured in the 350–1150 nm wavelength range for a set of colloidal solutions containing Au and Ag nanoparticles. The average size of Au nanoparticles was 6 nm and having thiolate coatings with different degrees of chirality. (The average size of Ag nanoparticles was 14 nm and having citrate coatings) The form of absorption and MCD spectra suggests the dipole character of interband transitions involving the 5d–6(sp) for Au orbitals and 4d–5(sp) for Ag orbitals. The absence (within the experimental error) of the MCD spectra dependence on the coating type rules out the hypothesis on the orbital nature of the observed magnetism. We argue that the spin polarization plays the dominant role in the magnetism both for Au and Ag nanoparticles. When you are citing the document, use the following link http://essuir.sumdu.edu.ua/handle/123456789/3534
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