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    Adversity Vanquished: Memoirs of a McGill Medical Student, Harold W. Trott, 1918–1924

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    This article examines the first half of the autobiography of Harold Trott (1899-1961), Campus Shadows, which describes his life as a medical student at McGill University between 1918 and 1924. It is one of the most detailed memoirs by a McGill student for any period. Trott wrote about his lectures, dissecting labs, clinics, bull sessions, money problems, professors, classmates, rowdy student initiations, and life at McGill’s Strathcona Hall residence and in Montreal rooming houses. His account is augmented and verified by background from student publications and the McGill University Archives. In his first year at McGill, Trott faced poverty, despair, and a paralyzing disease, the Landry-Guillain-Barré-Strohl Syndrome, which he described strikingly from the patient’s viewpoint and which he survived with the help of Dr. Colin Russel and the staff of the Royal Victoria Hospital. Trott described his long, painful recovery, including two interim years at University of Western Ontario, his final two years at McGill, and how he used the lessons from his medical training in his later medical practice, advocating natural remedies such as drinking water rather than drugs and pills. Practicing in New York State, he sympathized mildly with the idea of state-funded medical care, which was being advocated in his native Canada.ResuméCet article examine la première moitié de l’autobiographie de Harold Trott (1899-1961), Campus Shadows, qui décrit sa vie à titre d’étudiant en médecine à l’Université McGill entre 1918 et 1924. Les mémoires de Trott sont parmi les œuvres les plus détaillées de ce genre qu’un étudiant de McGill de n’importe quelle époque a rédigé. Il décrit ses cours, ses laboratoires de dissection, ses cliniques, ses discussions entre hommes, ses problèmes d’argent, ses professeurs, des séances bruyantes d’initiation d’étudiants, et sa vie à la résidence Strathcona Hall de McGill et dans des chambres à louer de Montréal. Son compte-rendu est élargi et vérifié à l’aide d’information provenant de publications étudiantes et des Archives de l’Université McGill. Au cours de sa première année à McGill, Trott fut confronté à la pauvreté, au désespoir, et à une maladie paralysante, le syndrome Landry-Guillain-Barré-Strohl, qu’il a décrit vivement du point de vue du patient et qu’il a survécu avec l’aide du docteur Colin Russel et du personnel de l’Hôpital Royal Victoria. Trott décrit sa longue et douloureuse guérison, incluant deux années intérimaires à l’University of Western Ontario, ses deux dernières années à McGill, et raconte comment il a par la suite utilisé les leçons de sa formation médicale dans sa pratique médicale, préférant les remèdes naturels comme la consommation d’eau plutôt que les drogues et les pilules. Pratiquant dans l’état de New York, il avait une certaine sympathie envers l’idée des soins médicaux financés par l’état, dont on faisait la promotion à cette époque dans son Canada natal

    Diaries from the McGill University Archives—A Sampling

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    The Austin "Dink" Carroll Papers in the University Archives

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    An Archival Testament: the Papers of Sir William Dawson

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    McGill Women’s Initiations, 1910 & 1919

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    “Easy, debonair and brisk”: Maxime Ingres at McGill, 1895–1900

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    Fiction, Faction, Autobiography: Norman Levine at McGill University, 1946–1949

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    This article examines Norman Levine’s start as a writer while he studied at McGill University from 1946 to 1949 and traces how Levine used his McGill memories afterwards in his writing. We look at Levine’s early poetry and prose; his use of his wartime RCAF flying experience in Britain (foreshadowing his autobiographical fiction); his editorship of the literary magazine Forge and McGill Daily Literary Supplement; his mentor Professor Harold Files; and his M.A. thesis on Ezra Pound. We follow him as he drafts his first novel, The Angled Road and sketches another one; searches for his own literary voice; happily leaves Canada for England; and abandons academe after a frustrating year (1949-50) at the University of London. The article also explores how he used McGill friends and professors as starting points for characters in his stories and thinly disguised them in his nonfictional Canada Made Me. Nostalgic and critical, he said he had enjoyed McGill but could not take it seriously, and blamed the University for giving his writing a false start and seducing him into forgeting his Jewish, working-class roots.ResuméL’écriture de Norman Levine remonte aux années 1946 à 1949, l’époque à laquelle il étudiait à l’Université McGill. Cet article examine le début de sa carrière d’auteur et trace l’influence que ses souvenirs de McGill ont eu plus tard sur ses œuvres. Nous étudions ses premiers travaux en prose et en poésie; son utilisation de son expérience à titre d’aviateur dans le Corps d’aviation royal canadien (qui anticipe sa fiction autobiographique); ses activités d’éditeur des magazines littéraires Forge et McGill Daily Literary Supplement; son guide, le professeur Harold Files; et sa thèse de maîtrise sur Ezra Pound. Nous le suivons alors qu’il rédige une ébauche de son premier roman, The Angled Road, et trace l’esquisse d’un second; qu’il recherche sa propre voix littéraire; qu’il quitte le Canada avec plaisir pour l’Angleterre; et qu’il abandonne le monde universitaire après une année frustrante (1949-1950) à l’Université de Londres. L’article explore aussi la façon dont il a utilisé ses amis et professeurs à McGill comme point de départ pour les personnages dans ses histoires, et les a légèrement déguisé dans son œuvre non romanesque Canada Made Me. Nostalgique et critique, il a déclaré qu’il a aimé McGill mais qu’il ne pouvait pas la prendre au sérieux, et que c’est à cause de l’Université que son écriture s’est dirigée sur une fausse piste et qu’il a oublié ses racines juives de classe ouvrière

    Frank Scott’s University of Dystopia, 1924

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    The General Portrayed: Sir Arthur Currie and his Painters

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    Régis Messac at McGill University, 1924–1929: Fact and Fiction

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    Régis Messac (1893–1945), French author of science fiction, satire and social criticism taught French at Montreal’s McGill University from 1924 to 1929. A provocative thinker whose works are now being republished, his years at McGill inspired harsh criticism of American society and a satirical novel Smith Conundrum about the trials of teaching at a thinly disguised McGill. His satire is college fiction in the tradition of his fellow professor Stephen Leacock but harsher. This article reconstructs Messac’s career at McGill, links his journalism during that time with his novel and traces how closely he used real people and events at McGill as inspirations for his satire. The article mainly draws on McGill’s archival records, calendars, and student publications as well as Messac’s own publications.ResuméRégis Messac (1893–1945), auteur français d’oeuvres de science fiction, de satire et de critique sociale, enseigna le français à l’Université McGill à Montréal de 1924 à 1929. Un penseur provocant dont les oeuvres sont aujourd’hui en réédition, ses années à McGill l’ont mené à critiquer sévèrement la société américaine et ont inspiré son roman Smith Conundrum qui traite des difficultés de l’enseignement à une Université McGill qui n’y est que très légèrement déguisée. Son oeuvre satirique de fiction collégiale est dans la tradition de son collègue, le professeur Stephen Leacock, mais est de nature plus sévère. Cet article reconstruit la carrière de Messac à McGill, établit des liens entre son journalisme et son roman durant cette époque, et examine la manière dont des gens et des événements à McGill lui ont servi de source d’inspiration directe pour son oeuvre satirique. L’article utilise principalement des documents d’archives, des calendriers et des publications étudiantes à McGill ainsi que les oeuvres publiées par Massac lui-même
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