Biochemical properties and immunolocalization of minor collagens in foetal calf cartilage

International audiencexx

Evaluation de la prise en charge des crises convulsives de l'adulte, au Service d'Accueil des Urgences du centre hospitalier Saint-Joseph Saint-Luc (étude de 189 cas)

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Intoxication par le Datura Stramonium (du diagnostic à la prise en charge spécifique, à propos de cinq observations personnelles)

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Evaluation de la douleur dans un service d'urgence chez l'adulte (intérêt d'une échelle d'observation comportementale)

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Victimes et bourreaux dans le théâtre de Griselda Gambaro

Ce travail se propose d’approfondir le contexte culturel, historique et social qui sert de toile de fond au théâtre de Griselda Gambaro dès les années soixante. En Argentine, durant les années de répression, d’abord avec la dictature de Juan Carlos Onganía (1966] puis avec celle de Rafael Videla (1976), le théâtre est un espace qui sert d’exutoire, ainsi qu’un moyen d’expression qui met en scène les moeurs et les comportements humains. Les pièces analysées dans ce travail dénoncent la perversion de la dictature, ainsi que les exactions infligées par les tortionnaires sur leurs victimes. Dans un contexte politique et social déterminé, le thème de « la victime et du bourreau » est une constante dans ce théâtre qui met l’accent sur les dangers de la coercition et de l’arbitraire exercés par un pouvoir tyrannique.This studying attemps to go more deeply into the cultural, historical and social context which is the backdrop to Griselda Gambaro’s theatrical world from the 1960s onwards. In Argentina during the years of repression, first under the dictatorship of Juan Carlos Onganía (1966) then that of Rafael Videla (1976), the theatre was a form of escapism, yet at the same time a means of expression staging human mores and behaviour. The plays analysed here denounce the perversion of dictatorship as well as the suffering inflicted on victims by their torturers. In this specific political and social context, the theme of "victim and torturer" is a constant in these theatrical works, which underline the dangers of coercion and arbitrary decisions exercised by tyrannical power

Intoxication volontaire par une tisane de feuilles de Datura

Le Datura appartient à la famille des Solanacées, plante contenant trois alcaloïdes toxiques : atropine, scopolamine et hyoscine. Utilisé en toxicomanie pour ses propriétés hallucinogènes, il peut être responsable d'intoxication volontaire. Toute la plante est toxique et son ingestion entraîne l'apparition d'un syndrome anticholinergique. Nous rapportons ici un cas d'intoxication volontaire dont le tableau clinique est celui d'une intoxication atropinique (agitation, hallucination, mydriase, tachycardie, rétention urinaire). Le traitement a été symptomatique et l'évolution favorable. Les analyses chromatographiques (Remedi®) des urines du patient ainsi que d'une décoction retrouvée en sa possession ont permis de confirmer l'hypothèse d'une intoxication aiguë au Datura

Choice of Initial Brain Imaging in Patients with Suspected Acute Stroke: STROKE69, a Population-Based Study

International audienceBackground: In patients with suspected stroke, brain imaging is recommended in the acute phase for appropriate management and treatment. Both computed tomography (CT) and magnetic resonance imaging (MRI) are considered reasonable choices for initial brain imaging. When both techniques are available, choosing one or the other might be associated with specific factors related either to patients, stroke symptoms, and severity or management organization. Methods: The study was performed within the STROKE 69 database, a population-based cohort of all adult patients with suspected stroke admitted in one of the emergency departments (ED), primary stroke center, or stroke center of the Rhône County, from November 2015 to December 2016. Patients were included if they were admitted within 24 h following either symptom onset or last known normal. To identify factors potentially associated with the choice of initial brain imaging, a multivariate logistic regression was performed. Results: Among the 3,244 patients with suspected stroke enrolled in the STROKE69 cohort, 3,107 (95.8%) underwent brain imaging within the first 24 h after admission. Among those 74.6% underwent CT as initial imaging while 25.4% had an MRI. In multivariate analyses, several factors were associated with a lower probability of having an MRI as initial brain imaging versus CT. These were either patient characteristics: older age (>80 years old, OR 0.39 [95% CI 0.28–0.54]), preexisting disability (OR 0.55 [95% CI 0.36–0.84]), use of anticoagulants (OR 0.52 [95% CI 0.33–0.81]), stroke characteristics: stroke of unknown onset (OR 0.42 [95% CI 0.31–0.58]) or factors associated with overall management: onset-to-door time (>6 h, OR 0.38 [95% CI 0.23–0.60]), initial admission to ED (OR 0.02 [95% CI 0.02–0.04]) or intensive care unit (OR 0.01 [95% CI 0.001–0.08]), personal transport (OR 0.66 [95% CI 0.45–0.96]), and admission during working hours (OR 0.65 [95% CI 0.51–0.84]). Conclusions: Besides CT or MRI availability, a number of other parameters could influence the choice of first imaging in case of stroke suspicion. These are related to patient characteristics, type of stroke symptoms, and type of organization

Les formes de reconnaissance de l’autre en question

Sous ses différentes formes, la relation à l’autre fonde et travaille, depuis toujours tout ou partie des sociétés humaines. De connaissance, de méconnaissance ou d’inconnaissance, cette relation n’est pas à penser comme un tiers-être entre l’Un et l’Autre. Elle est bien plutôt ce qui, en deçà et au-delà de toute onticité, donne à être et l’Un et l’Autre ; mais elle n’a jamais été aussi problématique que depuis que les sociétés les plus distantes les unes des autres, sont en relation directe ou indirecte, que depuis que ce qui s’appelle "le village planétaire" tente, dans le discours au moins, de raboter les différences, niveler les cultures, standardiser les modèles de consommation, limer les aspérités, épurer la planète des doutes et des incertitudes devant la progression de l’économie-monde. Celle-ci, d’ailleurs, n’a de cesse, par un effet de perversion, de "marchandiser" la différence, c’est à dire la relation même à l’Autre. Ce mouvement tente donc de jouer sur deux tableaux contradictoires : dans le même temps qu’il pousse à l’uniformisation, il encourage la différenciation et la démassification, dont il évacue le sens pour n’en garder que les signifiants