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    Microglia in Close Vicinity of Glioma Cells: Correlation Between Phenotype and Metabolic Alterations

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    Microglia are immune cells within the central nervous system. In brain-developing tumors, gliomas are able to silence the defense and immune functions of microglia, a phenomenon which strongly contributes to tumor progression and treatment resistance. Being activated and highly motile, microglia infiltrate tumors and secrete macrophagic chemoattractant factors. Thereafter, the tumor cells shut down their immune properties and stimulate the microglia to release tumor growth-promoting factors. The result of such modulation is that a kind of symbiosis occurs between microglia and tumor cells, in favor of tumor growth. However, little is known about microglial phenotype and metabolic modifications in a tumoral environment. Co-cultures were performed using CHME5 microglia cells grown on collagen beads or on coverslips and placed on monolayer of C6 cells, limiting cell/cell contacts. Phagocytic behavior and expression of macrophagic and cytoskeleton markers were monitored. Respiratory properties and energetic metabolism were also studied with regard to the activated phenotype of microglia. In co-cultures, transitory modifications of microglial morphology and metabolism were observed linked to a concomitant transitory increase of phagocytic properties. Therefore, after 1 h of co-culture, microglia were activated but when longer in contact with tumor cells, phagocytic properties appear silenced. Like the behavior of the phenotype, microglial respiration showed a transitory readjustment although the mitochondria maintained their perinuclear relocation. Nevertheless, the energetic metabolism of the microglia was altered, suggesting a new energetic steady state. The results clearly indicate that like the depressed immune properties, the macrophagic and metabolic status of the microglia is quickly driven by the glioma environment, despite short initial phagocytic activation. Such findings question the possible contribution of diffusible tumor factors to the microglial metabolism

    Evaluation de l'impact des équipes sectorielles d'hygiène sur la qualité des soins dans les établissements de santé en Haute-Normandie

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    Contexte : Depuis plusieurs années. le système de soins français a favorisé la mise en place d'équipes mobiles ou transversales, pour améliorer la qualité de prise en charge des patients. En Haute Normandie cinq équipes opérationnelles d'hygiène (EOH) sectorielles ont été créées. Les objectifs de notre étude étaient : - de rechercher une association entre l'importance de la collaboration entre établissements et EOH sectorielles, et la qualité de la prise en charge des malades dans ces établissements - d'identifier les caractéristiques des établissements et des EOH sectorielles associées à une collaboration importante. Matériel et Méthodes : Une étude observationnelle analytique a été menée. La collaboration entre les établissements et les EOH sectorielles pour l'année 2006, a été évaluée par les EOH sectorielles au moyen d'une échelle visuelle analogique Des indicateurs d'efficacité, indicateurs des tableaux de bord des infections nosocomiales 2006 et indicateurs obtenus grâce à un questionnaire adressé aux établissements (Taux de prévalence des IN lors de l'enquête nationale de prévalence 2006, participation à des enquête sur des thématiques liées à l'hygiène) ont permis d'évaluer la qualité de l'hygiène dans les établissements. Des indicateurs d'impact inspirés du projet IPAQH sur le fait de disposer d'un protocole de prise en charge de la douleur ou sur une évaluation récente de la tenue des dossiers patients, ont permis d'évaluer la qualité sur un plan plus large Ces indicateurs ont été recueillis grâce au questionnaire adressé aux établissements Les caractéristiques des établissements (statut, activité. nombre de lits.) et celles des EOH sectorielles (organisation mode de fonctionnement .) ont été obtenues grâce au site Internet de la statistique annuelle des établissements et grâce aux rapports d'activité des EOH sectorielles. Des analyses univariées puis multivariées ont été réalisées, pour étudier les liens entre collaboration et qualité, puis entre caractéristiques des établissements et des équipes et collaboration. Résultats . 61 établissements coopérant avec 5 EOH sectorielles ont été étudiés Seuls 36 établissements avaient répondu au questionnaire qui leur avait été envoyé Aucun impact de la collaboration entre établissements et équipes sectorielles sur la qualité n'a pu être mis en évidence Aucune caractéristique des établissements ou des équipes n était associée à une forte collaboration. Discussion Notre étude n'ayant pas permis de mettre en évidence un impact de la collaboration sur la qualité des soins. la pertinence de la méthode de mesure de la collaboration peut être mise en cause Il est également possible qu il y ait un blocage de la part des établissements quant à l'appropriation des conseils et des dispositifs mis en place par les EOH sectorielles. Conclusion Dans un contexte de mise en place de la tarification à l'activité, alors que le financement des équipes sectorielles d'hygiène pose des problèmes aux établissements, d'autres études seraient nécessaires pour mieux appréhender la coopération entre établissements et équipes mobiles, ainsi que l'efficience de ces équipes.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Provence et Alpes. Enquête régionale sur les lingots, éponges et loupes de fer découvertes en région PACA

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    Pichot Valérie, Merle Véronique. Provence et Alpes. Enquête régionale sur les lingots, éponges et loupes de fer découvertes en région PACA. In: Archéologie médiévale, tome 29, 1999. pp. 382-383

    Provence et Alpes. Enquête régionale sur les lingots, éponges et loupes de fer découvertes en région PACA

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    Pichot Valérie, Merle Véronique. Provence et Alpes. Enquête régionale sur les lingots, éponges et loupes de fer découvertes en région PACA. In: Archéologie médiévale, tome 29, 1999. pp. 382-383

    Hépatite C : émergence d'une maladie ou progrès scientifiques?

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    Hepatitis C : emerging Disease or better Knowledge ? Hepatitis C virus (HCV) identified in 1989 is mainly transmitted through transfusion of blood products, intravenous drug abuse, or medical procedures with blood contact. Detection of HCV contaminated blood products, education of intravenous drug users (decrease of needle sharing), and improvement in disinfection of medical devices allowed to obtain an important decrease in these transmissions. Sexual transmission and mother-to-child transmission are uncommon. In one patient out of four, the origin of transmission remains unknown. Infection by HCV causes acute hepatitis C, that becomes chronic in more than 50% of infected patients. Most of the time, the infection remains asymptomatic. About 20% of patients with chronic hepatitis C develop cirrhosis, with the risk of evolution toward liver cancer. The optimal treatment is presently the combination of interferon and ribavirin. In France, the overall prevalence of HCV infection is about 1%. It reaches 5.5% in patients with a history of blood products transfusion and 60% in intravenous drug users. It is generally admitted that only 10% of infected subjects are identified. The prevalence of HCV infection varies between French areas from 0.7 to 1.8%, and hospital care varies in the same proportion. These discrepancies could be explained by intravenous drug users prevalences, or by differences in screening or management of patients. In the world, the prevalence of HCV infection is estimated to average 2%. The highest prevalences are observed in Africa probably due to higher proportions of intravenous drug users, or to more frequent contaminations by blood products or medical procedures. In the future, HCV infection will represent an important problem for health care systems, as well for industrial countries as for developing countries.La transmission du virus de l'hépatite C (VHC) identifié en 1989 se fait essentiellement par les produits sanguins lors de transfusions, d'injections de drogues ou encore de soins médicaux invasifs. Le dépistage des produits sanguins contaminés, l'information des toxicomanes et le progrès des méthodes d'asepsie des soins ont permis de réduire fortement le risque de ces transmissions. La transmission sexuelle et de la mère à l'enfant sont rares. Chez un malade sur quatre la cause de la contamination est inconnue. La contamination par le VHC donne lieu à une hépatite aiguë qui évolue dans plus d'un cas sur deux vers une hépatite chronique de façon le plus souvent asymptomatique. Une fois sur cinq l'hépatite chronique se complique par une cirrhose, avec un risque ultérieur de cancer du foie. Actuellement le meilleur traitement est l'association interfé- ron-ribavirine. La prévalence de l'infection par le VHC varie en France de 1 % dans la population générale, 5,5% chez les personnes ayant des antécédents de transfusion et 60% chez les toxicomanes. On estime que 10% seulement des personnes contaminées sont connus. En France, la fréquence de l'infection par le VHC et du recours aux soins pour les sujets infectés varie du simple au double d'une région à l'autre, du fait de fréquences différentes des groupes à risque (toxicomanes), pas d'un meilleur diagnostic de l'infection ou d'une prise en charge différente des malades. Dans le monde, la prévalence de l'infection par le VHC est en moyenne de 2%, mais elle est supérieure à 10% en Afrique. Une proportion plus importante de toxicomanes ou des contaminations plus fréquentes par les produits sanguins ou le matériel médico-chirurgical pourraient intervenir. L'infection par le VHC devrait poser dans l'avenir des problèmes importants aux systèmes de santé des pays industrialisés et sous-développés.Josset Valérie, Merle Véronique, Czernichow Pierre. Hépatite C : émergence d'une maladie ou progrès scientifiques?. In: Espace, populations, sociétés, 2000-2. Maladies émergeantes et reviviscentes. pp. 273-280

    Quand soigner rend malade : des soignants face au risque infectieux à l'hôpital

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    International audiencehe risk of infection in a hospital is an age-old concern that one would have thought vanished with the arrival of antibiotics. Nosocomial infections (NI), which have now become a major public health issue, refer to infections that affect both patients and professionals. However, NI affecting patients have more social visibility than those that are likely to affect health professionals. The aim of this qualitative research study based on 117 semi-guided interviews with hospital care providers is to establish the professional risk and the way it is perceived by health professionals. Results are presented and discussed in two parts: the segmentation of the infectious risk representations and practices such as negotiating compromises between conflicting requirements.Le risque infectieux hospitalier est une préoccupation ancestrale que l’on a cru voir disparaître avec l’apparition des antibiotiques. Devenues un enjeu majeur de santé publique, les Infections Nosocomiales (IN) sont censées désigner à la fois les infections qui touchent les malades et les professionnels de santé. Force est de constater que les IN touchant les malades ont davantage de visibilité sociale que celles susceptibles de concerner les soignants. Grâce à une enquête qualitative fondée sur des entretiens semi-directifs auprès de 117 soignants, exerçant à l’hôpital, nous avons voulu cerner ce risque professionnel, tel qu’il est perçu par les soignants. Les résultats sont présentés et discutés en deux par ties : la segmentation des représentations du risque infectieux et les pratiques comme construction de compromis entre des exigences contradictoires

    Generics and Substitution Modalities: Proposed Methods for the Evaluation of Equivalence, Traceability and Pharmacovigilance Reporting

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    The use of generics results in savings for the budget of the health insurance, and no player of health could question seriously the principle. The generic drug of a reference medicinal product defines itself as a drug having the same qualitative and quantitative composition in active ingredients, the same dosage form and the bioequivalence with this reference medicinal product was demonstrated by appropriate studies of bioavailability. It is the right to switch granted to the pharmacists in 1999 that is at the origin of the real development of these specialities on the French pharmaceutical market. Nevertheless, about 10 years later, it seems that the system in place does not offer all the necessary securities with regard to the Pharmacovigilance, notably for the products with narrow therapeutic margin. By strengthening and/or by completing the role played by the health care professionals and the public institutions concerned, it is highly possible to improve the robustness of the system. 
Also, the recent arrival in Europe of the biosimilars, similar molecules but not bioequivalent to biological products cause an even more tricky specific situation, than that of the generics because of their nature, of the difficulty to manufacture them and of the risk of immunogenicity. If the substitution is not permitted in several European countries including France, the other issues can appear especially in case of interchangeability requiring also, the reinforcement of certain measures.
The various aspects are described in this article with concrete proposals on how the current system can be made safer, both for the generics and the biosimilars
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