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    Périhépatite de découverte percoelioscopique pour infertilité a l’Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé : Prévalence et corrélation avec les lésions tubo-pelviennes

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    Dans le but de déterminer la prévalence de la périhépatite en coelioscopie pour infertilité et de rechercher la corrélation avec les lésions  tubo-pelviennes retrouvées, nous avons analysé de façon transversale lestrouvailles percoelioscopiques des patientes opérées pour infertilité à l’Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé de novembre 2008 à octobre 2009. Nous avons enregistré 52 cas de périhépatite sur 130 coelioscopies effectuées pour infertilité ; soit une fréquence de 40%. La moyenne d’âge était de 32,28 ans. Les antécédents les plusretrouvés étaient la pelvialgie chronique (50,8%), la notion d’infection sexuellement transmissible à chlamydia et/ou mycoplasmes (46,9%), la chirurgie pelvienne (27,7%). L’infertilité secondaire était retrouvée chez 73,8% de nos patientes. Une corrélation était notée entre la présence de la périhépatite et la sévérité des lésions tubaires et pelviennesadhérentielles. En conclusion, nous notons une fréquence élevée de la périhépatite chez nos patientes infertiles lors des coelioscopies et une forte corrélation avec la sévérité des lésions tubaires et adhérentielles pelviennes

    Hypertension au cours de la grossesse: Aspects cliniques et épidémiologiques a l’Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique de Yaounde, Cameroun.

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    L’hypertension artérielle est rencontrée dans presque 10% des grossesses. C’est la 3e cause de mortalité maternelle. Des 4 entités cliniques décrites, la prééclampsie occupe le rôle principal, cependant nous ne savons pas quelle est la place des autres entités. Pendant une période d’un an allant du 1er octobre 2005 au 30 septembre 2006, une étude transversale et descriptive a été menée sur les caractéristiques de la maladie hypertensive au cours de la grossesse. Toutes les patientes avec une tension artérielle supérieure ou égale 140/90 mm Hg, reçues à l’Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé ont été retenues. Pour un total de 1629 accouchements, nous avons recensé 134 cas d’hypertension soit une prévalence de 8,2%. Cette pathologie survient dans notre série de manière préférentielle chez la primipare entre 20 et 30 ans. La prééclampsie était la principale entité pathologique avec 77,88% des patientes hypertendues, suivie de l’hypertension gestationnelle avec 15,38% des patientes, et de la prééclampsie surajoutée avec 5,76%. Seulement 0,96% des gestantes avaient une hypertension chronique. Les complications surviennent chez 10,96% des patientes. L’hématome retro - placentaire était la principale complication maternelle, alors que la prématurité et la mort foetale in utéro étaient les complications les plus fréquentes chez les nouveau-nés. Les complications, qu’elles soient maternelles ou foetales, sont l’apanage des formes sévères de l’hypertension. La maladie hypertensive au cours de la grossesse est une cause importante de morbidité et de mortalité maternelle dans notreenvironnement. La prééclampsie est l’entité clinique la plus fréquente et comporte plus de complications foetales et maternelles surtout dans les formes sévères.MOTS CLES: Hypertension artérielle - Grossesse - Complications

    Rupture of a previously scarred uterus during second trimester misoprostol-induced labour for a missed abortion: A case report

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    Misoprostol is useful in ripening the cervix prior to mid-trimester termination of pregnancy. It is particularly indicated in cases of missed abortions whether the uterus is scarred or not. The procedure is safe in the majority of cases. We present a case of uterine rupture during induction of labour with vaginal misoprostol for a missed abortion at 23 weeks gestation in a woman with one previous lower segment caesarean scar. We decided to present this case in order to alert practitioners that although the practice is safe in the majority of cases, there are risks of uterine rupture. Clinics in Mother and Child Health Vol. 3(1) 2006: 501-50

    Traitement de la grossesse extra-utérine à l’Hôpital Gynéco-Obstétrique et de Pédiatrique de Yaoundé.

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    La grossesse extra-utérine (GEU) est la plus fréquente des urgences chirurgicales gynécologiques. Bien que l’abstention thérapeutique, le traitement médical et la coelioscopie soient de plus en plus pratiqués dans notre pays, la prise en charge chirurgicale par laparotomie reste la modalité thérapeutique la plus fréquemment utilisée. L’objectif de notre travail était de déterminer la place de la laparotomie et des autres méthodes dans la prise en charge de la grossesse extra-utérine dans notre service. Nous avons effectué une étude rétrospective descriptive ayant eu pour cadre le service de gynécologie de l’Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé.Yétaient inclues les patientes ayant eu une GEU rompue ou non au cours de la période du 1er Janvier 2004 au 31 Décembre 2008. Les données avaient été recueillies sur une fiche technique préalablement testée. L’analyse statistique a été faite à l’aide des logiciels Epi Info 3.2.1 et Excel 2007. Nous avons répertorié 372 cas de GEU pour 8779 accouchements au cours de la période de l’étude, soit une fréquence globale de 4,2%. Des 372 GEU, seuls 281 dossiers étaient exploitables. Le traitement médical a été couronné de succès chez 37 patientes (13,1 %) de tous les cas. La coelioscopie a été la voie d’abord utilisée chez 19 patientes opérées (6,7%). L’abstention thérapeutique a été appliquée avec succès chez 3 patientes (1,0%). Le traitement chirurgical par laparotomie a concerné la plupart des cas diagnostiqués (79 % des cas, soit 222 patientes). Mots-clés : grossesse extra-utérine, traitement, coelioscopie, laparotomi
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