10 research outputs found

    De quoi sont porteuses les insurrections méditerranéennes ?

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    Massiah Gustave. De quoi sont porteuses les insurrections méditerranéennes ?. In: Raison présente, n°182, 2e trimestre 2012. Les printemps arabes et le monde. pp. 31-38

    Les propositions altermondialistes sur les migrations

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    Le convivialisme et l’engagement dans la solidaritĂ© internationale

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    Le convivialisme s’inscrit dans la lignĂ©e des mouvements d’émancipation qu’il a pour ambition de prolonger et de renouveler. Le processus des forums sociaux mondiaux et les nouveaux mouvements depuis 2011 s’inscrivent dans un mouvement altermondialiste nĂ© une dizaine d’annĂ©es plus tĂŽt. Aujourd’hui les interrogations dans ce mouvement portent sur la nouvelle culture politique (diversitĂ©, horizontalitĂ©, activitĂ©s autogĂ©rĂ©es, l’articulation entre l’individuel et le collectif...) et sur la stratĂ©..

    Construire un programme d’émancipation Ă  partir des mouvements sociaux

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    La solidaritĂ© internationale entre les peuples, une rĂ©ponse Ă  l’idĂ©e absurde de la guerre des civilisations

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    Massiah Gustave. La solidaritĂ© internationale entre les peuples, une rĂ©ponse Ă  l’idĂ©e absurde de la guerre des civilisations . In: Recherches Internationales, n°64, 2-2001. Économie maffieuse - Asie centrale - Manhattan : quelle grille de lecture ? pp. 120-125

    Pierre Beaudet : la passion de l’internationalisme

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    Africa and the politics of hope, love and rebellion

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    Moderator: Gustave MASSIAH (INTERCOLL, France) Speaker (60 mins): Firoze MANJI (Daraja Press, Canada/Kenya

    Ecological justice through social transformation (II) = ç”Ÿæ…‹æ­ŁçŸ©ćż…ç”±äč‹è·Ż : ç€ŸæœƒèźŠé© (II)

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    SIT Tsui Jade Margaret (Southwest University, China) moderated the session of Ecological Justice through Social Transformation (II). Speakers: Rebecca JOHNSON (ICAN, 2017 Nobel Peace Prize Laureate, UK) Jayati GHOSH (Jawaharlal Nehru University, India) Mithika MWENDA (University of Witwatersrand, South Africa) Discussants: Gustave MASSIAH (Attac France) Ashish KOTHARI (Global Tapestry of Alternatives, India) ZHOU Li (Renmin University of China, China) Rita PADAWANGI (Singapore University of Social Science, Singapore) CHOW Sze Chung (Sangwoodgoon, Hong Kong, China

    Reconstruction de la société

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    De nombreux lanceurs d’alerte nous avertissent des graves menaces qui pĂšsent sur l’humanitĂ©. On ne pourra y Ă©chapper si on continue Ă  penser et Ă  piloter le monde en suivant les analyses des fondamentalistes du marchĂ©. C’est l’application de leur supposĂ©e expertise qui produit le dĂ©litement progressif des liens sociaux et la dĂ©gradation continue de la nature. Que faire ? Les convivialistes ouvrent une voie pour Ă©chapper Ă  la pensĂ©e unique. Avec leur dissonance forte ils offrent des perspectives pour engager la revitalisation de la sociĂ©tĂ© au sein d’une nature prĂ©servĂ©e. Leur idĂ©e maĂźtresse est de rĂ©amĂ©nager les structures et le fonctionnement de la sociĂ©tĂ© en visant Ă  ce que chacune, chacun, et tous ensemble nous puissions poursuivre ce qui est notre bien commun. C’est le coeur du projet convivialiste. Plus de 3 000 personnes se rĂ©clament dĂ©jĂ  explicitement de ce courant de pensĂ©e critique en ayant apposĂ© leur signature sur le site internet du mouvement convivialiste [http://lesconvivialistes.org]. Elles approuvent ainsi un Manifeste convivialiste rĂ©digĂ© par une soixantaine d’auteurs, essayistes et universitaires, et appuyĂ©, dĂšs que publiĂ©, par plus d’une centaine d’autres intellectuels. Les analyses de la reconstruction de la sociĂ©tĂ© sont menĂ©es ici par des spĂ©cialistes reconnus dans leur domaine, de maniĂšre transdisciplinaire et ouverte Ă  la dĂ©libĂ©ration avec la sociĂ©tĂ© civique. Elles portent sur la reconstruction thĂ©orique du politique et de l’économique et sur les pratiques transformatrices dĂ©jĂ  en cours dans nos sociĂ©tĂ©s. Il y a lĂ  des outils qui permettent de s’extirper du carcan de la pensĂ©e unique et des sentiers tracĂ©s par le modĂšle nĂ©olibĂ©ral. L’ouvrage nourrit ainsi une rĂ©flexion dissidente et offre une rĂ©fĂ©rence pour construire et prendre le chemin de traverse qui mĂšne Ă  une sociĂ©tĂ© conviviale. Ce chemin de traverse est Ă©clairĂ© par l’utopie concrĂšte d’une sociĂ©tĂ© Ă  la poursuite inlassable du bien commun qui donne tout son sens au projet convivialiste

    Genre, nouvelle division internationale du travail et migrations

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    Le nouvel ordre Ă©conomique nĂ©olibĂ©ral modifie la division internationale du travail, ce qui entraĂźne un accroissement des populations migrantes de travailleurs et de travailleuses. Actuellement, une personne sur dix dans les rĂ©gions dĂ©veloppĂ©es est migrante, et les femmes reprĂ©sentent la moitiĂ© de ce nombre. Longtemps, pourtant, la figure du migrant a Ă©tĂ© reprĂ©sentĂ©e comme masculine, en raison des reprĂ©sentations stĂ©rĂ©otypĂ©es ou erronĂ©es du rĂŽle et de la place des femmes et des hommes dans les sociĂ©tĂ©s, et les recherches ou programmes relatifs aux migrants ont ignorĂ© la composante fĂ©minine des migrations. Or, les femmes migrent bien, elles aussi. Une grande partie des femmes migrantes – mĂȘme qualifiĂ©es – travaillent dans le secteur des soins ou des emplois domestiques. Le transfert international des soins et de l’attention aux autres (care) – sorte de nouvelle matiĂšre premiĂšre extraite des pays du Sud pour ĂȘtre consommĂ©e dans les pays riches – est un nouvel Ă©change inĂ©gal. Les espaces oĂč se rĂ©alise le travail des migrantes restent souvent invisibles, lieus de peu de droits. Si les discriminations et les abus sont Ă  dĂ©noncer, l’image de victime accolĂ©e aux migrantes et cependant loin de convenir. La trajectoire migratoire demande pugnacitĂ© et courage. Et nous pouvons nous demander s’il ne s’agit pas du dĂ©part des personnes les plus combatives de la sociĂ©té  Les identitĂ©s se transforment dans l’expĂ©rience de la migration : comme le dit l’une d’elles, « je ne suis plus celle que j’ai laissĂ©e derriĂšre moi ». Des rĂ©seaux transnationaux se construisent, accompagnĂ©s d’une circulation d’idĂ©es, de nouvelles reprĂ©sentations, de projets, de flux financiers. En 2002, les revenus du travail des migrants atteignaient 73 milliards de dollars, un montant plus Ă©levĂ© que celui de l’aide internationale au dĂ©veloppement. Un nouvel ordre colonial s’instaure avec la nouvelle division internationale du travail. Mais les migrations des femmes et des hommes Ă  travers les pratiques sociales nouvelles, les transformations des identitĂ©s, les renĂ©gociations des rapports de genre et la constitution de rĂ©seaux transnationaux, contribuent peut-ĂȘtre aussi Ă  la recherche d’alternatives pour toutes et pour tous
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