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    Cervical adenocarcinoma presenting as a cardiac tamponade in a 57-year-old woman: a case report

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    <p>Abstract</p> <p>Introduction</p> <p>Pericardial effusion as a complication of malignant gynecological disorders is rare. Few cases of endometrial cancer, squamous cell carcinoma of the cervix, ovarian cancer and uterine carcinosarcoma have been previously reported. We report the first case of cardiac tamponade secondary to a cervical adenocarcinoma.</p> <p>Case presentation</p> <p>A 54-year-old Caucasian woman, without any relevant medical history and no gynecological aftercare, was admitted to our hospital emergency room with severe dyspnea. Echocardiography revealed severe pericardial effusion with a swinging heart. An emergency pericardial drainage was performed through a pericardial window, which permitted the draining of 700 mL of bloody fluid and a pericardial biopsy. Cytological examination of the fluid revealed atypical cells, and the biopsy specimen showed tumor emboli suggestive of adenocarcinoma. Magnetic resonance imaging showed a 35 mm cervical lesion indicative of an endocervical tumor. Exploratory laparoscopy revealed diffuse peritoneal lesions and histological examination of cervical curettage showed a poorly differentiated micropapillary adenocarcinoma of the cervix.</p> <p>Conclusion</p> <p>Carcinomatous pericarditis as the first symptom of a malignant gynecological adenocarcinoma has not, to the best of our knowledge, been documented before. This case highlights the extreme severity of pericardial effusion secondary to cervical adenocarcinoma, a sign of advanced disease. Gynecological malignancies have to be considered in cases of neoplastic pericardial effusion.</p

    Artiste ou artisan : quelques pistes pour aborder ce problĂšme dans l’AntiquitĂ© classique

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    On peut lĂ©gitimement s’interroger sur la place que les sociĂ©tĂ©s antiques assignaient Ă  leurs artistes et se demander comment elles les considĂ©raient. L’examen d’un certain nombre de faits nous permettra d’apporter une rĂ©ponse relativement claire Ă  cette question. Tout d’abord, par leur Ă©tymologie, les termes qui dĂ©signent l’art en grec et en latin se rattachent gĂ©nĂ©ralement Ă  des domaines qui touchent au savoir-faire pratique, plutĂŽt qu’à l’esthĂ©tique. Aucune Muse ne prĂ©side d’ailleurs aux arts plastiques. Contrairement au poĂšte, au musicien ou au danseur, ni le peintre, ni le sculpteur ne semble pouvoir ĂȘtre habitĂ© par la divinitĂ©. Les textes nous renseignent aussi sur la façon dont les contemporains, ou les gĂ©nĂ©rations ultĂ©rieures, considĂ©raient les artistes : selon quels critĂšres leur reconnaissait-on ce statut ? De quelles qualitĂ©s particuliĂšres les crĂ©ditait-on dans ce cas ? Les progrĂšs notĂ©s par les « historiens de l’art » sont le plus souvent des innovations techniques. Et les inscriptions nous montrent que les artistes ne sont guĂšre mieux payĂ©s que des artisans. Cependant, on ne peut nier que les artistes ont joui, et ce dĂšs l’époque archaĂŻque, d’une rĂ©putation particuliĂšre : mĂ©moire soigneusement recueillie des noms et des innovations qui s’y rattachent, signatures, parfois trĂšs singuliĂšres, des artistes eux-mĂȘmes, anecdotes sur la richesse de certains. Enfin, Ă  mesure que le temps passe, on voit apparaĂźtre de vĂ©ritables amateurs, mĂ©cĂšnes comme ArchĂ© de MacĂ©doine – ou, dans un autre registre, Alcibiade Ă  AthĂšnes –, qui cherchent Ă  s’attacher les services de certains artistes, ou collectionneurs comme le seront les rois de Pergame puis certains riches Romains. Cette tendance n’est peut-ĂȘtre pas si rĂ©cente : quel sentiment poussait par exemple les Étrusques Ă  se procurer des vases grecs et Ă  les dĂ©poser dans leurs tombes ? Au-delĂ  des constatations que nous suggĂšrent les faits de langue, il reste clair que l’AntiquitĂ© n’est pas restĂ©e insensible Ă  la fascination de l’art, et que l’artiste y a trouvĂ© peu Ă  peu les principes qui lui ont donnĂ© le statut que nous lui reconnaissons de nos jours.MĂŒller-Dufeu Marion. Artiste ou artisan : quelques pistes pour aborder ce problĂšme dans l’AntiquitĂ© classique. In: Les travailleurs dans l’AntiquitĂ© : statuts et conditions. Actes du 127e CongrĂšs national des sociĂ©tĂ©s historiques et scientifiques, « Le travail et les hommes », Nancy, 2002. Paris : Editions du CTHS, 2011. pp. 56-65. (Actes des congrĂšs nationaux des sociĂ©tĂ©s historiques et scientifiques, 127-11

    La réception de la sculpture antique

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    La transmission des Ɠuvres La disparition des Ɠuvres d’art antiques Les textes anciens qui parlent de l’art ne s’accordent pas trĂšs bien avec les tĂ©moignages Ă©pigraphiques : nous possĂ©dons peu de signatures des sculpteurs nommĂ©s par les textes comme les plus grands. Cet Ă©tat de fait s’explique sans doute par les diffĂ©rents pillages qui ont petit Ă  petit vidĂ© les citĂ©s grecques de leurs richesses : on emportait Ă©videmment les sculptures les plus renommĂ©es, et une certaine quantitĂ© des Ɠuvres a..

    L'Antiquité à la page, Pallas, Revue d'études antiques n°42, 1995-1. 1995

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    Muller-Dufeu Marion. L'Antiquité à la page, Pallas, Revue d'études antiques n°42, 1995-1. 1995. In: Revue du Nord, tome 78, n°318,1996. Archéologie de la Picardie et du Nord de la France. pp. 244-245

    L’épigramme 62 de Posidippe de Pella

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    Muller-Dufeu Marion. L’épigramme 62 de Posidippe de Pella. In: Revue des Études Grecques, tome 125, fascicule 1, Janvier-juin 2012. pp. 283-288

    Les Panathénées

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    Les PanathĂ©nĂ©es sont la grande fĂȘte que cĂ©lĂšbre AthĂšnes en l’honneur de sa dĂ©esse tutĂ©laire, AthĂ©na. Cette fĂȘte avait lieu tous les ans, Ă  la fin du mois d’HĂ©katombaion (1er mois de l’annĂ©e attique, Ă  cheval sur nos mois de juillet-aoĂ»t). Sa fondation est attribuĂ©e au roi mythique Érichthonios, ou parfois Ă  ThĂ©sĂ©e, Ă  moins que celui-ci ne se soit contentĂ© de les rĂ©organiser. On pense que, dans la rĂ©alitĂ©, cette fondation remonte au VIe s. av. n. Ăš. La fĂȘte devait durer plusieurs jours et comp..

    Le Carnyx et la Lyre. Archéologie musicale en Gaule celtique et romaine. 1993

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    MĂŒller M. Le Carnyx et la Lyre. ArchĂ©ologie musicale en Gaule celtique et romaine. 1993. In: Revue du Nord, tome 76, n°308,1994. ArchĂ©ologie. p. 203

    Mythes et Artistes de la GrĂšce antique au Louvre

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    Mythes et Artistes de la GrĂšce antique au Louvre, Web sĂ©rie proposĂ©e par Coupe-Fil Art et Scribe Accroupi et prĂ©sentĂ©e par Ludovic Laugier, Paris, 2021, 1h32mn13s en 4 parties. Ces quatre petits films, qu’on peut voir aussi sur YouTube prĂ©sentent chacun un artiste ou une divinitĂ© Ă  travers des rondes-bosses conservĂ©es au Louvre, sans se cantonner pour autant Ă  ces Ɠuvres. Le premier (20mn 28s) s’intĂ©resse Ă  CrĂ©silas et Ă  la restauration de la Pallas de Velletri ; le deuxiĂšme (27mn 25s) prĂ©sen..

    Le sculpteur au travail

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    Origine et formation MaĂźtre et disciple Nous n’avons guĂšre d’indications, ni dans les textes, ni ailleurs, sur la façon dont on embrassait le mĂ©tier d’artiste. Ce que nous savons de façon certaine, c’est que chaque artiste commençait par suivre un apprentissage auprĂšs d’un ancien, parfois un parent (pĂšre ou oncle), parfois un personnage sans lien familial avec l’apprenti. Les textes anciens qui nous parlent des artistes prĂ©cisent le plus souvent auprĂšs de quel autre artiste, si possible prest..
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