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Le nouveau cadre juridique des essais cliniques de médicaments en France après la directive 2001/20/CE
BORDEAUX2-BU Santé (330632101) / SudocSudocFranceF
Le médicament de la personne âgées en EHPAD (acteurs, circuits)
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Toxicomanie à l'héroïne et contexte de mise en place du plan de gestion des risques de la buprenorphine haut dosage
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Charte de la visite médicale et bon usage du médicament
La charte de la visite médicale, applicable depuis le mois de janvier
2005, est destinée à renforcer le dispositif d'encadrement de cette
forme privilégiée de promotion des médicaments auprès des
médecins. Entre 1994 et 2004, 362 interdictions de publicité ont
été prononcées par le Directeur Général de l'Agence
Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé
(Afssaps). Elles concernent 0,5 % des 80 800 documents promotionnels
destinés aux professionnels de santé. L'analyse de ces décisions
révèle la prédominance du matériel utilisé par les
visiteurs médicaux et la manière dont il peut véhiculer une
information défavorable au bon usage du médicament. La charte a
notamment pour objectif de corriger cette dérive. Elle développe les
obligations d'information de la visite médicale et crée des
modalités de contrôle non dénuées de portée
Ă©conomique. Elle articule la promotion du bon usage Ă la diffusion
d'une information de référence élaborée par les structures
de tutelle du médicament
Evitabilité des accidents hémorragiques sous Sintrom® (acénocoumarol)
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Contraception d'urgence et automédication à l'officine
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Impact du réglement (CE) N1234/2008 sur les modifications du dossier d'autorisation de mise sur le marché
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Essais cliniques dans 10 pays Ă©mergents, respect des BPC et EU-CTD
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Les médicaments orphelins commercialisés en France (2001-2005) : information officielle et spécificités
Une analyse de la commercialisation en France des médicaments orphelins
ayant obtenu une autorisation de mise sur le marché (AMM) a été
effectuée cinq ans après l'entrée en vigueur des deux
règlements européens visant cet objectif en Europe. Elle repose sur
l'information officielle publiée à l'issue des procédures de
désignation, AMM et prise en charge par l'Assurance Maladie. En novembre
2005, 18 étaient commercialisés en France avec une AMM
européenne imposant une prescription restreinte et, pour 8 d'entre eux
la poursuite du développement clinique. Quatre avaient été
disponibles avec une autorisation temporaire d'utilisation de cohorte.
Internet permet l'accès à une information de référence
éclatée, ce qui n'est pas une spécificité de ces
médicaments. Alors que leur statut d'orphelin repose sur un besoin
démontré à l'échelle européenne, les avis de la transparence
synthétisent des informations adaptées à la description des
situations auxquelles ces médicaments répondent en France
Pharmaciens d’officine, étudiants en pharmacie et demandes de médicaments à base de codéine : étude observationnelle: Therapie
INTRODUCTION: The case of purple drank motivated a study to investigate the way community pharmacists and students in pharmacy managed, with patients, the abuse risk of non-prescription codeine-based medicines. METHODS: This prospective descriptive study was conducted, between September and October 2016, within a 170 community pharmacies network of Aquitaine and 437 pharmacy students of Bordeaux university (fourth, fifth and sixth year students, without selection of the pharmacies where they were able to work). It used a common survey questionnaire, which was sent to students through their own "Facebook" (Facebook Inc.) groups. RESULTS: Pharmacists advised codeine-based medicines in self-medication mostly as a second line pain treatment (96.2%), students also (72.1%). The opinions of pharmacists were almost equally shared concerning their ability to identify dependent patients or to raise the subject of addiction with them (57.7% and 53.8% of positive responses). This seemed to be more difficult for students (57.4% doubted about their ability of identification, 73.8% felt unable to address this issue with patients). Successful experiences concerning help to pharmacodependent patients were rare (11.5% of pharmacist, 4.9% of students). All were involved in patient information on these medicines use. Their opinions about an evolution toward a mandatory prescription status for all codeine-based medicines were almost equally split: 50% of pharmacists were favourable to it, 44.3% of students. They expressed the need for information tools in the care of these patients (46.2% of community pharmacists, 63.9% of students). CONCLUSION: These results illustrated the interest of pharmacists, and students in pharmacy, toward pharmacodependent patients; they also showed the complexity of this relation. Thus, they could help the elaboration of information tools in the care of these patients, with an adaptation for students who nevertheless presented a good maturity about this question.OBJECTIFS: L’affaire du purple drank a inspiré une étude explorant la manière dont les pharmaciens d’officine, et les étudiants en pharmacie, abordaient avec les patients le risque d’abus associé aux médicaments à base de codéine non soumis à prescription médicale obligatoire. METHODE: Cette étude descriptive prospective a été menée, entre septembre et octobre 2016, auprès des 170 pharmacies du réseau de pharmacies sentinelles du centre d’addictovigilance de Bordeaux et de 437 étudiants en pharmacie de l’université de Bordeaux (4e, 5e, 6e année), sans sélection de leur lieu de travail. Elle a utilisé un questionnaire commun, adressé aux étudiants via leurs propres groupes « Facebook » (Facebook Inc.). RESULTATS: Les pharmaciens conseillaient ces médicaments surtout en deuxième intention dans la douleur (96,2 %), les étudiants également (72,1 %). Ils étaient partagés concernant leur capacité d’identifier une situation de dépendance ou de l’aborder avec les patients concernés (57,7 % et 53,8 % de réponses positives). Les étudiants rencontraient davantage de difficultés (57,4 % doutaient de cette capacité d’identification, 73,8 % s’estimaient incapables de l’aborder). Les expériences réussies d’aide à ces patients étaient rares (11,5 % des pharmaciens, 4,9 % des étudiants). Tous étaient impliqués dans le conseil sur les modalités d’utilisation de ces médicaments. Leurs opinions sur l’évolution du statut de la codéine vers une prescription médicale obligatoire étaient partagées (50 % de pharmaciens favorables, 44 % d’étudiants). Ils exprimaient le besoin de support d’aide à la prise en charge des ces patients (46,2 % des pharmaciens, 63,9 % des étudiants).CONCLUSION: Ces résultats donnent une image de l’intérêt des pharmaciens et des étudiants en pharmacie pour les patients pharmacodépendants, ainsi que de la complexité de cette relation. Ils pourraient inspirer des outils d’aide à la prise en charge de ces patients, avec une adaptation aux étudiants qui néanmoins présentaient une bonne maturité par rapport à ce sujet