42 research outputs found

    Gaviscon® vs. omeprazole in symptomatic treatment of moderate gastroesophageal reflux. a direct comparative randomised trial

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>Medical management of GERD mainly uses proton pump inhibitors. Alginates also have proven efficacy. The aim of this trial was to compare short-term efficacy of an alginate (Gaviscon<sup>®</sup>, 4 × 10 mL/day) and omeprazole (20 mg/day) on GERD symptoms in general practice.</p> <p>Methods</p> <p>A 14-day multicentre randomised double-blind double-dummy non-inferiority trial compared Gaviscon<sup>® </sup>(4 × 10 mL/day) and omeprazole (20 mg/day) in patients with 2-6 day heartburn episodes weekly without alarm signals. The primary outcome was the mean time to onset of the first 24-h heartburn-free period after initial dosing. Secondary outcomes were the proportion of patients without heartburn by D7, pain relief by D7, and reduction in pain intensity by D7 and D14.</p> <p>Results</p> <p>278 patients were recruited; 120 were included in the Gaviscon<sup>® </sup>group and 121 in the omeprazole group for the per protocol non-inferiority analysis. The mean time to onset of the first 24-h heartburn-free period after initial dosing was 2.0 (± 2.2) days for Gaviscon<sup>® </sup>and 2.0 (± 2.3) days for omeprazole (<it>p </it>= 0.93); mean intergroup difference was 0.01 ± 1.55 days (95% CI = -0.41 to 0.43): i.e., less than the lower limit of the 95% CI of -0.5 days predetermined to demonstrate non-inferiority. The mean number of heartburn-free days by D7 was significantly greater in the omeprazole group: 3.7 ± 2.3 days vs. 3.1 ± 2.1 (<it>p </it>= 0.02). On D7, overall quality of pain relief was slightly in favour of omeprazole (<it>p </it>= 0.049). There was no significant difference in the reduction in pain intensity between groups by D7 (<it>p = </it>0.11) or D14 (<it>p = </it>0.08). Tolerance and safety were good and comparable in both groups.</p> <p>Conclusion</p> <p>Gaviscon<sup>® </sup>was non-inferior to omeprazole in achieving a 24-h heartburn-free period in moderate episodic heartburn, and is a relevant effective alternative treatment in moderate GERD in primary care.</p> <p>Trial registration</p> <p><a href="http://www.controlled-trials.com/ISRCTN62203233">ISRCTN62203233</a>.</p

    Résultats à long terme de l'infliximab chez les patients présentant des lésions ano-périnéales non fistulisantes de maladie de Crohn

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    Introduction : Dans la maladie de Crohn, les ulcérations anales et les sténoses peuvent être invalidantes. Objectif : Evaluer les résullats à long terme chez les patients porteurs d'une maladie de Crohn périnéale non fistulisante traités par intliximab. Méthode : Les dossiers médicaux de 99 patients avec une maladie de Crohn périnéale non fistulisante lors de la 1ère injection ont été étudiés. Nous avons évalué les réponses complètes (cicatrisation des ulcèrations et régression des sténoses) après induction du traitement par infliximab et au terme de la période de suivi. Résultats : Quatre-vingt-quatorze patients (94,9%) avaient une ulcération, 22 (22,2%) avaient une sténose et 31 (31,3%) avaient une fistule périnéale drainée lors de la 1ère perfusion d'infliximab. Après induction du traitement par infliximab, 40/94 (42,5%) des patients avec ulcération, 4122 (18,2%) des patients avec sténose et 10/31 (32 ,2%) des patients avec fistule avaient une réponse compléte. Huit patients étaient perdus de vue. Après un suivi médian de 175 semaines (13 à 459) , les taux de réponses complètes pour les ulcères, les sténoses et les fistules étaient respectivement de 72,3% (68/94), 54,5% (12/22) et 54,8% (20/3 1). La réponse à long terme pour les ulcères profonds était associée à la prise concomitante d'un immunosuppresseur (P=0,017) et à l'âge des patients (P=0,049). Parmi les 12 patients présentant une régression complète de leur sténose, 6 bénéficiaient en même temps de dilatations anales. La réponse complète était associée au soulagement des douleurs périnéales et à la disparition des écoulements. Trois patients avec des ulcères ont développé un abcès. Conclusion : Le traitement par infliximab est probablement efficace dans l'induction et le maintien de la réponse clinique pour les ulcérations périnéales.NANCY1-SCD Medecine (545472101) / SudocNANCY1-Bib. numérique (543959902) / SudocSudocFranceF

    Maladie de Crohn de l'adulte (bases du suivi à l'usage du médecin généraliste)

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    La maladie de Crohn est une affection inflammatoire chronique de l'intestin dont l'incidence n'a cessé d'évoluer au cours des vingt dernières années se traduisant par un accroissement non négligeable du nombre de patients atteint. Des progrès récents dans la compréhension des mécanismes physiopathologiques permettent de mieux cerner le profil évolutif des malades et notamment de prévenir plus efficacement la survenue de complications parfois redoutables. Parallèlement à une meilleure maîtrise de la pathogénie, les modalités thérapeutiques ont évolué offrant un large panel de possibilités de prise en charge de chaque patient et réduisant par la même occasion les cas d'impasse thérapeutique. La gestion de situations plus particulières, comme l'association maladie de Crohn et grossesse ou le suivi postopératoire, est un domaine parfois difficile à appréhender mais qu'il importe de bien connaître. La place du médecin généraliste est importante dans l'accompagnement des malades notamment comme premier relais pour évaluer l'évolution de l'affection, surveiller la bonne observance et/ou tolérance d'un traitement mais aussi comme source d'informations utiles aux patients. Ce document, établissant une actualisation récente des données disponibles sur la maladie de Crohn, a simplement pour but de l'y aider.NANCY1-SCD Medecine (545472101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Etude de la qualité de vie dans le cancer du canal anal

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    NANCY1-SCD Medecine (545472101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Expérience clinique de l'infliximab dans la prise en charge de la maladie de Crohn

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    Difficultés dans la prise en charge du cancer du canal anal chez les patientes avec un antécédent de cancer du col utérin

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    Quelques études ont montré qu'il existait un risque plus élevé de présenter un cancer du canal anal en cas d'antécédent de cancer du col utérin. Le but principal de cette étude était de déterminer l'impact éventuel d'un antécédent de cancer du col utérin sur la prise en charge d'un cancer du canal anal. Dans une étude rétrospective, nous avons inclus les 15 malades qui ont été prises en charge pour un cancer du col utérin et un cancer du canal anal invasifs entre le 1er janvier 1975 et le 1er janvier 2004 au Centre Alexis Vautrin. Nous avons comparé la survie globale et la survie spécifique de ces patientes à celles d'une cohorte historique de 118 malades qui avaient été traités au Centre Alexis Vautrin pour un cancer du canal anal durant la période 1976-1994. La survie globale tous stades confondus était de 31,2 % à 5 ans et la survie spécifique à 5 ans de 35,1 %, contre respectivement 60 % et 75 % dans la cohorte historique du Centre Alexis Vautrin. Un antécédent de cancer du col serait donc un facteur de mauvais pronostique dans le cancer du canal anal. La nécessité de préserver la zone pelvienne déjà irradiée lors du traitement du cancer cervical est l'hypothèse la plus probable pour expliquer ces différences en termes de survie. L'intérêt d'un traitement conservateur (radiothérapie +/- chimiothérapie) pourrait donc être remis en cause en cas d'antécédent d'irradiation pelvienne, et une amputation abdominopérinéale pourrait être indiquée chez ces malades.NANCY1-SCD Medecine (545472101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Anticorps antigliadine, antitransglutaminase et antiendomysium circulants chez une population de patients cirrhotiques (marqueurs de la maladie coeliaque asymptomatique ou conséquence d'une augmentation de la perméabilité intestinale)

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    Une étude menée par le Service d'Hépato Gastro Entérologie des Hôpitaux de Thionville en 1995, a mis en évidence une prévalence élevée (10/100) d'anticorps antigliadine, antitransglutaminase et antiendomysium chez les patients cirrhotiques ou éthyliques chroniques. Une seconde étude prospective a eu pour but détudier la signification de ces anticorps et les facteurs pouvant déterminer leur apparition, notemment l'augmentation de la perméabilité intestinale. Les résultats sérologiques précédemment mis en évidence n'ont pas été confirmés. Aucune des biopsies intestinales réalisées n&rsquo;a mis en évidence d&rsquo;atrophie villositaire. Ces anticorps, chez le patient cirrhotique, n'auraient donc pas la signification d'une maladie cœliaque. L'augmentation de la perméabilité intestinale dans la cirrhose pourrait être à l'origine des processus immunogéniques décrits, avec sensibilisation à la gliadine, sans lésions auto immunes associées.NANCY1-SCD Medecine (545472101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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