19 research outputs found

    Signes et couleurs des identitĂ©s politiques du Moyen Âge Ă  nos jours

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    Textes issus du colloque international organisĂ© Ă  Poitiers, du 14 au 16 juin 2007, par le Centre d'Ă©tudes supĂ©rieures de civilisation mĂ©diĂ©vale, le Groupe d'Ă©tudes et de recherches historiques du Centre-Ouest atlantique, l'Institut d'Ă©tudes politiques. - ISBN : 978-2-7535-0641-1 - [En ligne], 61 | automne 2011, mis en ligne le 21 janvier 2012, consultĂ© le 08 mars 2013. URL : http://medievales.revues.org/6587DĂšs le Moyen Âge, les hommes groupĂ©s autour d'un projet commun ont transcrit leur union sous forme d'emblĂšmes, d'insignes, de sentences ou de couleurs, pour se rendre visibles aux autres et pour se reconnaĂźtre mutuellement. Ces signes deviennent le support symbolique d'un message ou d'une profession de foi commune. DerriĂšre les moyens et les codes propres Ă  chaque pĂ©riode et Ă  chaque groupe, derriĂšre ces signes de lutte ou de cohĂ©sion, se dĂ©gagent les grands traits communs et l'Ă©volution d'une emblĂ©matique politique occidentale

    Chapitre 16. Les radicaux et l’Europe

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    Les radicaux ont Ă©tĂ© Ă  l’origine, puis constamment prĂ©occupĂ©s, – depuis la fondation du Parti radical et mĂȘme auparavant –, par la rĂ©flexion Ă  Ă©laborer autour de l’évolution des rapports de force internationaux, des contours Ă  leur donner, et par la nĂ©cessitĂ© d’une dĂ©finition du concept de sĂ©curitĂ© collective. La figure emblĂ©matique d’un LĂ©on Bourgeois ainsi que son rĂŽle lors des confĂ©rences internationales de La Haye (1899 et 1907) incarne parfaitement cette prĂ©occupation majeure du radicali..

    Les Jouvenel

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    Manigand Christine. Les Jouvenel. In: VingtiÚme SiÚcle, revue d'histoire, n°71, juillet-septembre 2001. Dossier : Apprendre l'histoire de l'Europe. pp. 119-120

    Les jeunes Français et l’Europe

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    « L’Europe a en ce moment le vent en poupe car la mode est Ă  la jeunesse et la jeunesse est europĂ©enne ». AffirmĂ©e en 1962 par RenĂ© Mayer, alors prĂ©sident de la section française du Mouvement europĂ©en, la confiance en la jeune gĂ©nĂ©ration est un sentiment partagĂ© par les dĂ©cideurs, les acteurs et les observateurs de l’intĂ©gration communautaire : elle incarne un avenir supranational par le dĂ©passement des sentiments nationaux. L’idĂ©e reçue selon laquelle les jeunes seraient plus acquis Ă  l’Euro..

    Le PRL et les problÚmes de politique extérieure

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    D’emblĂ©e le constat s’impose. Il est vraiment difficile de discerner une conception spĂ©cifique du PRL en matiĂšre de politique Ă©trangĂšre. On peut rĂ©pondre que ce parti politique emprunte au discours et au fonds commun de valeurs des partis de droite ou des partis modĂ©rĂ©s selon la place qu’on veut bien lui confĂ©rer sur l’échiquier politique de la France d’aprĂšs 1945. Sans vouloir chercher Ă  tout prix une quelconque originalitĂ© de ce parti dans ce domaine, que l’on ne trouvera pas, il faut bien ..

    Circonscriptions régionales et élections européennes : le cas français (2004-2009)

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    En dĂ©pit des vƓux rĂ©itĂ©rĂ©s depuis longtemps par de nombreuses personnalitĂ©s europĂ©ennes, on pourrait presque dire, sans forcer le trait, qu’en matiĂšre Ă©lectorale chacun des pays composant l’Union europĂ©enne se diffĂ©rencie par son systĂšme Ă©lectoral et son mode de dĂ©coupage prĂ©sidant Ă  l’élection des dĂ©putĂ©s au Parlement europĂ©en. Ainsi chaque État a-t-il ses propres procĂ©dures, fruit d’une histoire diffĂ©rente et de logiques spĂ©cifiques. La France, jusqu’en 2004, a optĂ© pour un mode de scrutin ..

    Georges Pompidou et le bonheur : une certaine idée de la France heureuse

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    National audience« Les peuples heureux n’ont pas d’histoire ». La citation est peut-ĂȘtre trop connue, elle n’en conserve pas moins tout son intĂ©rĂȘt car, lorsque Georges Pompidou s’exprima en ces termes, il figea par la mĂȘme occasion une part de ce que la mĂ©moire collective conserve de son septennat tronquĂ©. Sans doute en aurait-il conçu une lĂ©gitime fiertĂ© et Ă©galement serait-il interloquĂ© par certaines lectures contestataires et Ă  charge faites dĂ©sormais de cette pĂ©riode.Les historiens, censĂ©s donc, selon ses souhaits, ne pas avoir trop de travail avec cette pĂ©riode, se trouvent dĂ©sormais placĂ©s au contraire devant l’exploration de ce qui semblait aller de soi.L’empirisme et le subjectivisme du questionnement s’effacent devant l’identification d’indicateurs dits « sĂ©rieux ». En la matiĂšre, l’histoire des reprĂ©sentations s’adosse au chapitre d’une solide histoire des modernitĂ©s matĂ©rielles. Il reste que l’on ne tombe pas amoureux d’une croissance Ă©conomique et que le bonheur national n’est pas que la somme de vies heureuses Ă©goĂŻstes et insouciantes
 L’analyse de la place laissĂ©e par un PrĂ©sident, certes en majestĂ©, mais discret et non intrusif, permet de rĂ©interprĂ©ter les canons d’un bonheur privĂ© susceptible d’ĂȘtre ressenti par chaque citoyen. Ce dont la France pompidolienne hĂ©rite, ce qu’elle porte de neuf, de durable, ce qu’elle rend plus accessible et ce qu’elle va lĂ©guer par la suite, voilĂ  les perspectives que ce livre entend explorer au cours d’une rĂ©flexion collective nourrie par la confrontation avec des acteurs

    Le moment PRL : Le Parti républicain de la liberté. 1946-1951

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    La brĂšve histoire du Parti rĂ©publicain de la libertĂ© (PRL) demeure une histoire largement mĂ©connue. Couvrant la pĂ©riode allant de l’hiver 1945-1946 Ă  l’échĂ©ance dĂ©cisive des Ă©lections lĂ©gislatives de 1951, c’est-Ă -dire les annĂ©es correspondant en gros Ă  la reconstruction du systĂšme des forces politiques organisĂ©es au lendemain des ruptures de 1939-1945, elle n’en constitue pas moins un moment important et particuliĂšrement rĂ©vĂ©lateur de l’histoire des droites dites parlementaires. Les fondateurs du PRL Ă©taient animĂ©s par une vaste ambition, celle de doter la France d’une organisation fortement structurĂ©e, destinĂ©e Ă  regrouper l’ensemble des forces situĂ©es Ă  droite et au centre droit de l’échiquier politique. Cette formation se fixe comme objectif de se hisser au niveau d’un « quatriĂšme parti », capable de faire piĂšce aux trois grands du tripartisme (PCF, SFIO, MRP) dominant la scĂšne Ă©lectorale et parlementaire depuis 1945. En dĂ©pit des espoirs suscitĂ©s et d’un certain nombre de succĂšs ponctuels, la tentative a dĂ©bouchĂ© sur un Ă©chec, l’absorption, en 1951, par le Centre national des indĂ©pendants et paysans (CNIP) apposant un point final Ă  l’entreprise. Mais le retour en grĂące de la droite modĂ©rĂ©e qui a caractĂ©risĂ© la seconde moitiĂ© de la IVe RĂ©publique ne peut pas ĂȘtre compris si l’on ne prend pas en compte cet effort d’organisation, les causes multiples de son Ă©chec et les leçons qui ont Ă©tĂ© tirĂ©es de ce dernier. C’est ce qui est proposĂ© d’examiner dans cet ouvrage de synthĂšse, prenant appui sur une documentation largement inĂ©dite
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