12 research outputs found

    12. Les Musées des Techniques et Cultures comtoises

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    Les rĂ©flexions qui suivent ne sont pas d’un historien, mais d’un praticien qui doute, cherche, sait que l’expĂ©rience qu’il mĂšne n’est pas « achevĂ©e », mais qu’elle permet, ici avec vous, de poser des questions qui s’éprouvent et s’expĂ©rimentent sur le terrain.Une des caractĂ©ristiques du patrimoine industriel et de nos pratiques consiste en effet en une certaine remise en question des catĂ©gories Ă©tablies : nous crĂ©ons, je l’espĂšre, un peu de porositĂ© entre les domaines suivants, parce que nou..

    De quelques prémices françaises du patrimoine culturel immatériel

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    The 2003 intangible cultural heritage convention is often interpreted as a radical break with earlier definitions of heritage which were Western, centered on materiality and on the knowledge of experts. By incorporating intangible dimensions and by placing communities at the heart of the definition of what heritage is, this text appears to operate a major reversal. In this article, however, we try to understand this UNESCO convention in the context of preoccupations that are in fact as old as the definition of heritage in France, whereby the quality of material evidence is linked to the wealth of contextual data, which struggled for conservation in situ rather than displacement, seen to be the equivalent of destruction. This approach ultimately results in the inclusion of the community in the conservation process, although this inclusion raises its own problems. In his ‘Letters in Miranda’, in 1796, Quatremùre de Quincy contests the ‘repatriation of artworks’ and refers to this ‘crowd of objects without value for study, now unrelated to the ideas that gave them life’. Here perhaps are some sources for an archaeology of the intangible cultural heritage and seeds for the future development of the notion of context. This new attention given to the preeminence of the context, including the role of the community as a subject of its development, is to be found in the French model of eco-museums. Authors such as Chanzeaux, Laurence Wylie, or Chebika and Jean Duvignaud submit their statements not only to the scrutiny of the scientific community, but also share their observations with the human community which is the object of these observations. Science and its criteria thus expose themselves to the non-scholarly world, in open discussions, and undertake to assess how this knowledge affects human groups and to favour the process of invention of the heritage as it mobilises actors as a whole, rather than only the thing designated. What becomes the notions of expertise, authenticity and universality if heritage now consists of what a community generates and which, under the terms of the convention, ‘provides a sense of identity and continuity’

    Cultures du travail : Identités et savoirs industriels dans la France contemporaine

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    Qu’est-ce qu’une culture du travail ? Comment la dĂ©finir autrement qu’en opposition Ă  la culture savante ? Quelles relations une sociĂ©tĂ© entretient-elle avec son ou ses industries ? Comment dĂ©finir et apprĂ©hender ce qu’on appelle la culture d’entreprise ? A ces questions ethnologues, sociologues, gĂ©ographes et historiens apportent ici des rĂ©ponses.Ce livre est aussi consacrĂ© Ă  l’intĂ©rĂȘt que ces sociĂ©tĂ©s, villes, petites rĂ©gions, entreprises, portent Ă  ce qui constitue leur patrimoine industriel. Plus que des matĂ©riels, rapidement obsolĂštes, il s’agit d’une compĂ©tence collective, du savoir-faire d’un groupe, considĂ©rĂ© comme un capital culturel valorisant et rentable. Comment, par exemple, Saint-Étienne, vieille mĂ©tropole manufacturiĂšre, a-t-elle jouĂ© de ses atouts dans les diffĂ©rentes phases de son dĂ©veloppement ? Quelle image a-t-elle voulu donner d’elle-mĂȘme ?Ces sociĂ©tĂ©s du travail ont connu ces derniers temps des crises. Elles ne parviennent plus Ă  se reproduire en l’état. Le changement passe aussi par les mentalitĂ©s. Plusieurs communications suggĂšrent de ce point de vue des pistes intĂ©ressantes. L’histoire de la culture d’entreprise de la SNCF, par exemple, Ă©claire d’une façon originale les grandes grĂšves de l’hiver 1986.Enfin on trouvera Ă  la suite des communications l’essentiel des discussions, qui montrent la dĂ©marche suivie par chaque chercheur. La confrontation des terrains et des mĂ©thodes a donnĂ© lieu Ă  des dĂ©bats critiques enrichissants, utiles Ă  la constitution d’une anthropologie industrielle interdisciplinaire

    Liste des participants

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    Georges Bertrand, ComitĂ© d’entreprise d’edf. François Calame, drac, Amiens. David Charrasse, Association pour la prĂ©servation du Patrimoine. Jean-Marie Chevallier, Association « MĂ©moires », Soissons. Denis Chevallier, Mission du Patrimoine ethnologique, Paris. Françoise Clavairolle, alfised, Montpellier. Phanette Cornu, lersco, Nantes. Jean-Luc Deshayes, Longwy-apep. Pierre Durupt, SociĂ©tĂ© d’Histoire de Remiremont. Elizabeth Fleury, Mission du Patrimoine ethnologique, Paris. Pierre Gaudin, cr..

    Cultures du travail

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    Qu’est-ce qu’une culture du travail ? Comment la dĂ©finir autrement qu’en opposition Ă  la culture savante ? Quelles relations une sociĂ©tĂ© entretient-elle avec son ou ses industries ? Comment dĂ©finir et apprĂ©hender ce qu’on appelle la culture d’entreprise ? A ces questions ethnologues, sociologues, gĂ©ographes et historiens apportent ici des rĂ©ponses.Ce livre est aussi consacrĂ© Ă  l’intĂ©rĂȘt que ces sociĂ©tĂ©s, villes, petites rĂ©gions, entreprises, portent Ă  ce qui constitue leur patrimoine industriel. Plus que des matĂ©riels, rapidement obsolĂštes, il s’agit d’une compĂ©tence collective, du savoir-faire d’un groupe, considĂ©rĂ© comme un capital culturel valorisant et rentable. Comment, par exemple, Saint-Étienne, vieille mĂ©tropole manufacturiĂšre, a-t-elle jouĂ© de ses atouts dans les diffĂ©rentes phases de son dĂ©veloppement ? Quelle image a-t-elle voulu donner d’elle-mĂȘme ?Ces sociĂ©tĂ©s du travail ont connu ces derniers temps des crises. Elles ne parviennent plus Ă  se reproduire en l’état. Le changement passe aussi par les mentalitĂ©s. Plusieurs communications suggĂšrent de ce point de vue des pistes intĂ©ressantes. L’histoire de la culture d’entreprise de la SNCF, par exemple, Ă©claire d’une façon originale les grandes grĂšves de l’hiver 1986.Enfin on trouvera Ă  la suite des communications l’essentiel des discussions, qui montrent la dĂ©marche suivie par chaque chercheur. La confrontation des terrains et des mĂ©thodes a donnĂ© lieu Ă  des dĂ©bats critiques enrichissants, utiles Ă  la constitution d’une anthropologie industrielle interdisciplinaire

    MĂ©langes

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    Comment évolue notre société ? Le retour à Roussillon, 37 ans aprÚs son premier séjour, de l'anthropologue américain L. Wylie, l'interprétation du rituel toujours vivace des arbres de mai, l'intégration des ruraux dans un milieu urbain sont quelques-uns des exemples qui tentent de répondre a cette question
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