535 research outputs found

    Brocap trap to control the coffee berry borer in Indonesia

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    The coffee berry borer (CBB, Hypothenemus hampei Ferr.) is the most serious insect pest on coffee in Indonesia. It causes significant yield losses in terms of coffee production, but also reduces coffee bean quality, resulting in low productivity and the poor quality of Indonesian coffee. On average, CBB infestation on Indonesian coffee is more than 20%, and it results in yield losses of more than 10%. Using traps is the new CBB control method and the Brocap trap, developed by CIRAD and PROCAFE in El Salvador, is specially designed for Hypothenemus hampei. The trap is considered as a useful addition to IPM for CBB control in Indonesia. (Résumé d'auteur

    Elevage et biologie de Myndus taffini Bonfils (Homoptera : Cixiidae), vecteur du déperissement foliaire du cocotier au Vanuatu

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    Le Cixiidae #Myndus taffini# Bonfils, vecteur du virus responsable de la maladie du Dépérissement foliaire du cocotier au Vanuatu, a été élevé au laboratoire. Les oeufs sont pondus dans les racines de #Hibiscus tiliaceus# un arbuste très commun appelé bourao et les larves se développent dans le réseau des racines superficielles. La durée de développement est de 4 à 5 mois dont 3 à 4 semaines pour l'incubation des oeufs. La fécondité des femelles est d'au moins une centaine d'oeufs. Les larves sont blanches et pourvues d'une touffe de poils cireux à l'extrémité de l'abdomen. Six stades larvaires ont été observés. Les adultes se nourrissent sur les folioles de cocotier mais une survie de plusieurs jours est possible sur des palmacées indigènes sylvestres; #M. taffini# peut donc exister en forêt en l'absence de cocotier. La maîtrise de l'élevage permet d'entreprendre des études sur l'acquisition et la transmission du virus

    La récolte, le conditionnement et l'envoi d'échantillons d'insectes pour identification

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    En raison de la diversité et de l'importance du monde des insectes, l'identification d'une espèce n'est souvent possible que par un spécialiste ; encore faut-il que l'échantillon ait été correctement récolté et préparé. On trouvera dans les lignes suivantes des renseignements pratiques qui guideront les personnes qui voudront faire déterminer des insectes. Les insectes sont décrits et conservés en collection sous la forme adulte. C'est donc à ce stade que l'insecte sera récolté. Toutefois pour aider l'entomologiste chargé de l'identification, on pourra toujours en plus très utilement fournir d'autres stades et principalement la forme nuisible lorsqu'il s'agit du ravageur d'une plante. (Résumé d'auteur

    La biologie de Coelaenomenodera elaeidis Mlk. VI. La mortalité naturelle des larves

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    Dans l'étude précédente [3], on a examiné la mortalité au stade oeuf de Coelaenomenodera elaeidis MJk. (Coleoptera, Hispinae). Rappelons brièvement que cette mortalité est essentiellement le fait de 2 parasites (Eulophidae et Trichogrammatidae) et de la température. La mortalité peut être extrêmement variable d'une plantation à une autre et d'une saison à l'autre malgré la faible amplitude des températures. C'est cependant avec l'état des populations que l'on constate les plus importantes variations. Lorsque le ravageur est en état de pullulation, avec des générations successives qui ne se recouvrent pas, l'activité des parasites est très diminuée et la mortalité globale ne dépassera pas 40 p. 100. Dans le cas contraire, c'est-à-dire lorsque le Coelaenomenodera se trouve à l'état endémique, on observe à tout moment tous les stades de développement, ce qui facilite la multiplication des parasites ; on note alors une mortalité totale de l'ordre de 90 p. 100. L'incubation des oeufs ne représente qu'un peu plus de 20 p. 100 de la durée totale du cycle. De l'éclosion de l'oeuf à la ponte de la génération suivante, il reste 76 jours pendant lesquels la mortalité devra être encore très élevée si l'on veut conserver un équilibre des populations. On sait en effet que le nombre d'oeufs déposés par une seule femelle étant de 350 à 400 [2] et le sex-ratio de 1, la mortalité globale devra se situer entre 99,4 et 99,5 p. 100. On examinera successivement les différents facteurs de mortalité qui, après le stade oeuf, affectent principalement les larves, la réduction des populations nymphale et imaginale étant moins importante. (Résumé d'auteur

    ContrĂ´les sanitaires des plantations adultes de palmiers Ă  huile en Afrique de l'Ouest. I. ContrĂ´les ordinaires

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    Même lorsqu'une plantation de palmies à huile ne présente aucun signe d'attaque par des ravageurs il est nécessaire que chaque planteur connaisse les populations dans sa plantation. Indication de la périodicité des contrôles et de leurs modalités d'exécution. Les ravageurs étant différents d'une zone géographique à l'autre, les techniques de contrôle sont elles-mêmes différentes. Dans ces "Conseils" seul le cas de l'Afrique de l'Ouest est examin

    Contrôles sanitaires des plantations adultes de palmiers à huile en Afrique de l'Ouest. II. Contrôles spéciaux

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    En présence anormale d'un ravageur dans des plantations de palmier à huile (en général Coelaenomenodera) il est nécessaire d'effectuer des contrôles spéciaux. Le but est de déterminer l'étendue du foyer et le niveau exact des populations. Pour cela, il convient de procéder au comptage des insectes vivants sur une feuille, de faire un échantillonnage et de contrôler l'évolution de l'infestation. La marche à suivre est détaillé

    Les ravageurs et maladies du palmier à huile et du cocotier. Chenilles défoliatrices de la famille des Hesperidae en Afrique Occidentale

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    Deux espèces de la famille des Hesperidae s'attaquent au palmier à huile. La plus fréquente est Zophopetes dismephila, la seconde espèce est Pteroteinon laufella. Le développement de l'insecte et la description des dégâts sont présentés; ainsi que les méthodes de lutte biologique par un chalcidien du genre Tetrastichus et un champignon. Les moyens de lutte chimique sont également examiné

    La biologie de Coelaenomenodera elaeidis Mlk. V. La mortalité au niveau des oeufs

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    Dans des études antérieures, on a donné la description des principaux parasites des oeufs et des larves de Coelaenomenodera elaeidis Mlk. ( Coleoptera, Hispinae) et étudié leur biologie [4]. La dynamique des populations de ces parasites, liée à celle du ravageur, a également fait l'objet d'une étude particulière [6J. Il y a maintenant lieu d'examiner leur rôle dans la réduction des populations de l'hôte s'ajoutant à celui d'autres facteurs biotiques et abiotiques. On sait également que le pouvoir de reproduction est, chez cet insecte, particulièrement élevé puisqu'une femelle dépose de 350 à 400 oeufs [5]. Le sex-ratio étant égal à 1, il est nécessaire, pour que les populations restent stables, que ces divers facteurs détruisent de 99,4 à 99,5 p. 100 des populations du ravageur à ses différents stades de développement. Dans ce premier article consacré à l'étude de la mortalité, on examinera ce qui se passe au niveau des oeufs ; une prochaine étude sera consacrée à la mortalité larvaire. Les facteurs jouant un rôle sont d'une part d'ordre biotique: principalement les parasites et très secondairement les prédateurs, et d'autre part d'ordre abiotique; la température et l'ensoleillement constituant des facteurs déterminants. Ces différents points seront examinés successivement en considérant l'insecte dans des conditions naturelles ou semi-naturelles. (Résumé d'auteur

    La biologie de Coelaenomenodera elaeidis. IV. La dynamique des populations du ravageur et de ses parasites

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    Etude de la dynamique des populations du complexe hôte-parasites lorsque le ravageur se trouve, soit à l'état endémique, soit à l'état de pullulation. Dans le premier cas, on observe en permanence sur le palmier, l'insecte à tous les stades de son développement. Les parasites, trouvant toujours des hôtes, sont présents en nombre suffisant pour réagir rapidement à toute augmentation des populations du ravageur; leur efficacité est alors très grande. En cas de pullulation, les cycles de développement sont très différenciés et ce n'est qu'à certaines périodes que l'on rencontre soit des oeufs, soit des larves ou des nymphes. Les parasites suivent ces fluctuations et, compte tenu du décalage qui se produit entre l'augmentation de leur population et de celle, plus précoce et plus rapide de l'hôte, leur efficacité diminue considérablement. Dans ce cas, ils ne sont plus suffisants pour contenir l'accroissement des populations de Coelaenomenodera. Deux méthodes de lutte sont envisagées : lutte chimique contre les larves, et lutte biologique par l'introduction d'un parasite ayant un spectre d'action plus étendu que les parasites locaux qui ne s'attaquent qu'à une très courte période de la vie larvaire du ravageu

    Méthode de lutte contre Coelaenomenodera (Coleoptera Hispidae) par injection d'insecticides systémiques dans le stipe du palmier à huile

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    Coelaenomenodera elaeidis est un coléoptère hispidae dont les larves sont mineuses des feuilles du palmier à huile en Afrique occidentale. Les traitements classiques par voies aérienne ou terrestre donnent des résultats irréguliers et se révèlent particulièrement toxiques à l'égard de l'entomofaune prédatrice et parasite. Il a été mis au point une technique qui consiste à injecter dans le stipe un insecticide systémique qui, véhiculé par la sève, sera distribué dans la couronne foliaire du palmier. Les études ont porté sur la technique d'injection, un screening d'insecticides, le moment le plus favorable par rapport au cycle de développement de l'insecte, les résidus dans les feuilles et dans les fruits et les traumatismes provoqués au palmier. Seul, le monocrotophos s'est révélé réellement efficace à la dose de 14 g de matière active par arbre. Le traitement est surtout efficace contre les adultes et est principalement concentré dans les feuilles les plus jeunes. La mortalité obtenue est voisine de 100 p. 100 et le palmier souffre peu des blessures réalisées pour l'injection. Il n'a été trouvé aucun résidu d'insecticide dans les fruits. Ce type de traitement n'a qu'une action indirecte faible sur les prédateurs et les parasite
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