71 research outputs found

    H-ATLAS/GAMA: magnification bias tomography. Astrophysical constraints above ~1 arcmin

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    An unambiguous manifestation of the magnification bias is the cross-correlation between two source samples with non-overlapping redshift distributions. In this work we measure and study the cross-correlation signal between a foreground sample of GAMA galaxies with spectroscopic redshifts in the range 0.2<z<0.8, and a background sample of H-ATLAS galaxies with photometric redshifts gsim1.2. It constitutes a substantial improvement over the cross-correlation measurements made by Gonzalez-Nuevo et al. (2014) with updated catalogues and wider area (with S/Ngsim 5 below 10 arcmin and reaching S/N~ 20 below 30 arcsec). The better statistics allow us to split the sample in different redshift bins and to perform a tomographic analysis (with S/Ngsim 3 below 10 arcmin and reaching S/N~ 15 below 30 arcsec). Moreover, we implement a halo model to extract astrophysical information about the background galaxies and the deflectors that are producing the lensing link between the foreground (lenses) and background (sources) samples. In the case of the sources, we find typical mass values in agreement with previous studies: a minimum halo mass to host a central galaxy, Mmin~ 1012.26 M⊙, and a pivot halo mass to have at least one sub-halo satellite, M1~ 1012.84 M⊙. However, the lenses are massive galaxies or even galaxy groups/clusters, with minimum mass of Mminlens~ 1013.06 M⊙. Above a mass of M1lens~ 1014.57 M⊙ they contain at least one additional satellite galaxy which contributes to the lensing effect. The tomographic analysis shows that, while M1lens is almost redshift independent, there is a clear evolution of increase Mminlens with redshift in agreement with theoretical estimations. Finally, the halo modeling allows us to identify a strong lensing contribution to the cross-correlation for angular scales below 30 arcsec. This interpretation is supported by the results of basic but effective simulations

    Rabditis (Crustorhabditis) stasileonovi (Belugov) from beach hoppers (Talitridae;Amphipoda) from the Pacific Coast of North America

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    Des spécimens récoltés sur les espaces intersegmentaires situés entre les plaques dorsales (péréonites) de talitres provenant de la côte pacifique d'Amérique du Nord sont rapportés ici à #Rhabditis (Crustorhabditis) stasileonovi (Belogurov, 1977) Sudhaus & Nimrich, 1989 (#Rhabditida ; #Rhabditidae). Cette espèce, connue jusqu'ici par les seules données de l'anatomie des femelles, a été décrite, à partir de spécimens provenant de laisses des plages des îles Commander, par Belugorov (1977) qui propose de la classer dans un nouveau genre, #Marispelodera, créé pour elle. Sudhaus et Nimrich (1989) signalent cette même espèce dans des laisses provenant de plages de l'île de Vancouver, mais la rapportent au sous-genre #Rhabditis (#Crustorhabditis). Les femelles apparaissent exceptionnelles par leur queue extrêmement courte et arrondie, les mâles, décrits ici, sont conformes pour l'essentiel au sous-genre #Rhabditis (#Crustorhabditis) et permettent donc de confirmer l'opinion de Sudhaus et Nimrich (1989). Des adultes et des formes larvaires ont été collectées sur les espaces intersegmentaires de #Megalorchestia californiana, #M. benedicti et #Traskorchestia traskiana provenant de la région de Bamfield, BC, Canada. Seules des larves ont été collectées sur ces trois hôtes et sur #M. corniculata provenant de Santa Barbara, CA, USA, mais ces larves ont pu être élevées jusqu'au stade adulte sur agar. Le matériel provenant de ces deux localités diffèrent par des caractères morphologiques mineurs et par leur cycle biologique : au Canada, les larves, les mâles et les femelles ovovivipares sont tous présents sur l'hôte, tandis qu'en Californie, seules les larves sont présentes sur l'hôte et les femelles provenant de leur élevage sont ovipares. (Résumé d'auteur

    Rabditis (Crustorhabditis) stasileonovi (Belugov) from beach hoppers (Talitridae;Amphipoda) from the Pacific Coast of North America

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    Des spécimens récoltés sur les espaces intersegmentaires situés entre les plaques dorsales (péréonites) de talitres provenant de la côte pacifique d'Amérique du Nord sont rapportés ici à #Rhabditis (Crustorhabditis) stasileonovi (Belogurov, 1977) Sudhaus & Nimrich, 1989 (#Rhabditida ; #Rhabditidae). Cette espèce, connue jusqu'ici par les seules données de l'anatomie des femelles, a été décrite, à partir de spécimens provenant de laisses des plages des îles Commander, par Belugorov (1977) qui propose de la classer dans un nouveau genre, #Marispelodera, créé pour elle. Sudhaus et Nimrich (1989) signalent cette même espèce dans des laisses provenant de plages de l'île de Vancouver, mais la rapportent au sous-genre #Rhabditis (#Crustorhabditis). Les femelles apparaissent exceptionnelles par leur queue extrêmement courte et arrondie, les mâles, décrits ici, sont conformes pour l'essentiel au sous-genre #Rhabditis (#Crustorhabditis) et permettent donc de confirmer l'opinion de Sudhaus et Nimrich (1989). Des adultes et des formes larvaires ont été collectées sur les espaces intersegmentaires de #Megalorchestia californiana, #M. benedicti et #Traskorchestia traskiana provenant de la région de Bamfield, BC, Canada. Seules des larves ont été collectées sur ces trois hôtes et sur #M. corniculata provenant de Santa Barbara, CA, USA, mais ces larves ont pu être élevées jusqu'au stade adulte sur agar. Le matériel provenant de ces deux localités diffèrent par des caractères morphologiques mineurs et par leur cycle biologique : au Canada, les larves, les mâles et les femelles ovovivipares sont tous présents sur l'hôte, tandis qu'en Californie, seules les larves sont présentes sur l'hôte et les femelles provenant de leur élevage sont ovipares. (Résumé d'auteur

    Difetto del setto interventricolare

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    Advancing ocean monitoring near coral reefs

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    [Extract] Because of the sensitivity of corals to environmental factors, bleaching events are seen\ud as indicators of the changing state of the world’s oceans as climate warms. In 1997–1998, a worldwide bleaching event occurred. Since then, bleaching has been observed in\ud every ocean basin with increased frequency and severity. For example, in 2010 reefs in Southeastern Asia bleached at record levels, parts of the Hawaiian archipelago have\ud experienced mild bleaching, and current monitoring and forecasts indicate significant to severe bleaching in the Caribbean.\ud \ud Observing the physical properties of ocean waters around coral reefs provides important insights for linking environmental changes to such biological consequences.\ud Remotely sensed data are particularly valuable, providing broad spatial coverage in a timely fashion to inform\ud actions by reef managers. However, there remain significant gaps in monitoring capability and scientific understanding of coral ecosystem responses to changes in the physical environment.\u
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