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    La rhinite allergique‎ : fréquence du diagnostic étiologique et motifs de non diagnostic en Haute Normandie

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    La rhinite allergique atteint 20 à 30% de la population française. Le diagnostic étiologique en permet un bon management thérapeutique. Il semble qu'il ne soit réalisé que dans moins de la moitié des cas. MÉTHODE : Nous avons réalisé par questionnaire une étude rétrospective des pratiques d'un panel de médecins généralistes Hauts Normands. Ces derniers ont inclus leurs trois derniers patients atteints de rhinite allergique vus en consultation. Ont été recueillis : la durée, la sévérité de l'atteinte, les comorbidités, la méthode diagnostique pour connaître l'allergène ou le motif du non diagnostic. L'objectif principal était d'évaluer la fréquence de réalisation du diagnostic étiologique. L'objectif secondaire était d'approcher les facteurs de sa non réalisation. RÉSULTATS : Quarante-deux médecins généralistes ont inclus 112 patients du 15 mars au 15 juillet 2014. Parmi eux, 63% souffraient d'une atteinte persistante et 59% d'une atteinte modérée à sévère. Au moins une comorbidité associée était relevée dans 80% des cas. Les résultats montrent que 39,3% de la population de l'étude (soit 44 patients) avait bénéficié d'un diagnostic étiologique. Une sous analyse sur les patients présentant des critères de gravité (n=103) ne révèle que 41,7% de bilan diagnostique. Les motifs de non diagnostic invoqués sont : l'efficacité des traitements instaurés, une démarche thérapeutique non influencée par la réalisation de ce diagnostic (influence forte), l'absence de disponibilité de l'allergologue (influence moyenne), le refus du patient et le coût des examens (influence faible). CONCLUSION : Seuls 39,3% des patients atteints de rhinite présumée allergique en Haute Normandie ont bénéficié d'un diagnostic étiologique. Le non diagnostic peut conduire à une perte de chance par une baisse de qualité de vie du patient et par l'aggravation des atteintes associées. Une étude qualitative est nécessaire pour explorer plus en profondeur les raisons des médecins

    AlcaloĂŻdes Indoliques de Rauvolfia biauriculata

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    [2e volume de l'atlas de Trudaine pour la généralité de Paris]

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    Comprend : N°IX, Route de Paris à Meaux dite des petits Ponts ; N°X, Grande Route de Paris en Allemagne par Chelles, Lagny, Coulommiers, la Ferté Gaucher depuis Paris jusqu'au Village de Tréfou a l'extrémité de la Généralité de Paris ; N°XI, Grande Route de Paris en Champagne par Saint Maur Champigny Tournant Rozoy depuis Paris Jusqu'au Village de Mousseaux a l'extremité de la Généralité de Paris ; N°XII, Grande Route de Chaume a la Ferté Milon par Fontenay, Coutevroux, Couilly, Meaux, Varedde, depuis Châume jusqu'au Village du Gué de Trême a l'extremité de la Généralité de Paris ; N°XIII, Communication de la Route et Ville de Rozoy en Brie, a la Grande route de Paris en Champagne par Troyes prés Vernouillet ; N°XIV, Route de Paris en Brie par Villiers, Malnoüe, Croissy, Fontenelle, &ct ; N°XV, Route de Paris passant par Nogent sur Marne jusqu'à GuiermandeAppartient à l’ensemble documentaire : IledeFr

    Specific Real-Time PCR for Simultaneous Detection and Identification of Legionella pneumophila Serogroup 1 in Water and Clinical Samples▿ †

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    Legionella pneumophila, a bacterium that replicates within aquatic amoebae and persists in the environment as a free-living microbe, is the causative agent of Legionnaires' disease. Among the many Legionella species described, L. pneumophila is associated with 90% of human disease, and within the 15 serogroups (Sg), L. pneumophila Sg1 causes more than 84% of Legionnaires' disease worldwide. Thus, rapid and specific identification of L. pneumophila Sg1 is of the utmost importance for evaluation of the contamination of collective water systems and the risk posed. Previously we had shown that about 20 kb of the 33-kb locus carrying the genes coding for the proteins involved in lipopolysaccharide biosynthesis (LPS gene cluster) by L. pneumophila was highly specific for Sg1 strains and that three genes (lpp0831, wzm, and wzt) may serve as genetic markers. Here we report the sequencing and comparative analyses of this specific region of the LPS gene cluster in L. pneumophila Sg6, -10, -12, -13, and -14. Indeed, the wzm and wzt genes were present only in the Sg1 LPS gene cluster, which showed a very specific gene content with respect to the other five serogroups investigated. Based on this observation, we designed primers and developed a classical and a real-time PCR method for the detection and simultaneous identification of L. pneumophila Sg1 in clinical and environmental isolates. Evaluation of the selected primers with 454 Legionella and 38 non-Legionella strains demonstrated 100% specificity. Sensitivity, specificity, and predictive values were further evaluated with 209 DNA extracts from water samples of hospital water supply systems and with 96 respiratory specimens. The results showed that the newly developed quantitative Sg1-specific PCR method is a highly specific and efficient tool for the surveillance and rapid detection of high-risk L. pneumophila Sg1 in water and clinical samples
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