17 research outputs found

    Anuncio de diagnotico, acetiaçao e crença

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    Myopathie facio-scapulo-humérale à début précoce (spécificités et éude d'un cas clinique)

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    AIX-MARSEILLE2-BU MĂ©d/Odontol. (130552103) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Inter-letter spacing and eye movements in typical developing readers and dyslexics.

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    International audienceMost studies today agree about the link between visual-attention and oculomotor control during reading: attention seems to affect saccadic programming, that is, the position where the eyes land in a word. In a previous eye movement study (Bellocchi & Ducrot, submitted), it has been showed that fifth grade typical reading children take the direction of attentional scanning (left-to-right) into account, which results in asymmetrical landing-position pattern: this mechanism depends on the discreteness of the stimulus and interestingly, it is less irrepressible in lower reading level children and in children with reading disability. Furthermore, some studies have demonstrated that increasing inter-letter spacing or inter-word spacing improves the legibility of texts, especially for dyslexic children (e.g. Zorzi et al., 2012): is this improvement linked to a bigger inter-letter saliency which produces, in turn, a more precise saccade programming? To explore this question we assessed the eye movements of three groups of children: dyslexic readers, unimpaired reading-level controls, and unimpaired chronological-age controls, using a lateralized bisection task (participants were asked to move their eyes to a position they thought to be the middle of the stimulus) and a lexical decision task. The type of stimulus – bisection task (words vs. non-linguistic stimuli), LDT (words vs. pseudowords) and crowding (spaced vs. unspaced) - in combination with the stimulus presentation side (left vs. right) were manipulated. Main results showed that saccade computation seems to be modulated by crowding, stimulus presentation side and reading level. Results are discussed with respect to current models of oculomotor control in typical and defective reading

    Augmenter l’espacement entre les caractères des mots : une aide pour guider le regard des enfants dyslexiques ?

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    National audienceLa plupart des études aujourd'hui s'accordent sur le lien entre les compétences visuo attentionnelles et le contrôle oculomoteur lors de la lecture. Dans une étude précédente, nous avons montré que les enfants normo-lecteurs de CM2 sont capables de mettre en place, tout comme les lecteurs experts, un balayage visuo-attentionnel gauche-droite, se traduisant par une asymétrie dans le patron d'atterrissage de la position d'arrivée dans les mots (Bellocchi et al, 2013). Ce mécanisme dépend de la présence d’espaces entre les caractères (i.e. caractère discret du stimulus, Ducrot et Pynte, 2002). Par ailleurs, il semblerait que celui-ci soit moins automatisé chez des enfants avec un plus faible niveau de lecture ou atteints d’une dyslexie. En outre, certaines études ont montré récemment que l'augmentation de l'espacement entre les lettres (ou entre les mots) améliore la lisibilité des textes, en particulier pour les enfants dyslexiques (ex. Perea et al., 2012 ; Zorzi et al., 2012). Compte tenu de l'importance du caractère discret dans la programmation des saccades et de l'importance de l'augmentation de l'espacement inter-lettre pour la lisibilité du texte chez les dyslexiques, l'objectif de cette étude est d'examiner si l'augmentation de l’espacement inter-lettre pouvait générer une programmation saccadique plus précise, et de cette façon aider plus spécifiquement les apprentis lecteurs et les enfants dyslexiques.Pour explorer cette question, nous avons mesuré les mouvements oculaires de trois groupes d'enfants : dyslexiques, normo-lecteurs avec le même âge lexical des dyslexiques et normo-lecteurs avec le même âge chronologique des dyslexiques. Pendant l’enregistrement des mouvements oculaires, les participants ont effectué deux tâches chacun, présentées de manière contrebalancée : une tâche de bissection oculaire latéralisée (les participants devaient viser avec leur yeux une position qu'ils pensaient être le milieu du stimulus) et une tâche de décision lexicale latéralisée (TDL). Le type de stimulus - tâche de bissection (mots vs stimuli non-linguistiques), TDL (mots vs pseudo-mots) et l’espacement (espacé vs espacement normal) - en combinaison avec le champ visuel de présentation (gauche vs droite) ont été manipulés.Les résultats principaux ont montré que la programmation de la saccade est modulée par l’espacement, le champ visuel et le niveau de lecture. En particulier, la taille de l’asymétrie est plus importante dans la TDL qui nécessite davantage de se positionner au bon endroit dans les deux champs visuels. De plus, les dyslexiques et les apprentis lecteurs sont capables d’augmenter la taille de leur saccade dans la TDL : leur stratégie de lecture étant encore parfois basée sur le décodage, il est d’autant plus important de se positionner au début des mots dans la TDL. Pour terminer, les résultats ne semblent pas aller dans le sens d’un effet de facilitation de l’augmentation de l’espacement sur la programmation saccadique, quel que soit le niveau de lecture des enfants

    Intérêt de l'évaluation des processus visuo-attentionnels et oculomoteurs dans le diagnostic des troubles de l'apprentissage : une réflexion autour des profils d'enfants dyslexiques ou souffrant d'un trouble d'acquisition de la coordination

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    National audienceA l'heure actuelle, l'ensemble de la communauté scientifique s'accorde autour de l'idée que la lecture est avant tout une tâche linguistique et elle reconnait la présence d'un déficit de traitement des représentations phonologiques chez les personnes dyslexiques. En ce sens, la plupart des outils de dépistage, diagnostics et pédagogiques, à disposition des professionnels se centrent sur l'évaluation et la remédiation des difficultés de langage oral des enfants et notamment des difficultés d'acquisition des capacités phonologiques (e.g., NEEL, BILO, L2MA2). Cependant, de plus en plus de recherches montrent l'importance des facteurs oculomoteurs et visuo-attentionnels dans l'acquisition de la lecture chez l'enfant. Dans une perspective neuro-constructiviste (e.g. Goswami, 2003), des études longitudinales montrent, par exemple, que l'attention visuelle chez les prelecteurs constitue un important prédicteur de leur futures performances en lecture (e.g. Franceschini, Gori, Ruffino, Pedrolli, & Facoetti, 2012). Ces résultats attestent ainsi de l'intérêt d'évaluer ces capacités dès la maternelle afin de pouvoir repérer précocement les enfants susceptibles de présenter des difficultés en lecture par la suite. De plus, les études portant sur des personnes dyslexiques montrent que, dans certain cas, ce trouble s'accompagne de déficits de l'attention visuelle et du contrôle oculomoteur sous-tendant l'activité de lecture (pour une revue, Bellocchi, Muneaux, Bastien-Toniazzo, & Ducrot, 2013). On constate, par ailleurs, que de plus en plus de centres de référence des troubles des apprentissages ou de services spécialisés auprès d'enfants dyslexiques demandent des bilans oculomoteurs à la recherche de « troubles du regard » (Mazeau & Le Lostec, 2010) voire intègrent, dans leur équipe, des orthoptistes. Face à la très grande hétérogénéité caractérisant la manifestation clinique des troubles neurodéveloppementaux, le développement de l'évaluation des capacités oculomotrices et visuo-attentionnelles permettrait de compléter les tests actuels de dépistage et de diagnostic des troubles de l'apprentissage. C'est dans ce contexte que se place notre étude ; nous présenterons des éléments sur l'évaluation du fonctionnement visuo-attentionnel et oculomoteur d'enfants tout-venant ou avec une dyslexie développementale, ou un trouble de l'acquisition de la coordination (TAC). Les enfants ont entre 8 et 12 ans et ont, dans le cadre de leur participation à un vaste projet de recherche (ANR DYSTAC-MAP), passé un bilan orthophonique, psychomoteur ainsi que des tests visuo-attentionnels [EVADYS (Logiciel d'évaluation de l'empan visuo-attentionnel chez l'enfant dyslexique) (Valdois, Guinet, & Embs, 2014)] et oculomoteurs [DEM (Developmental Eye Movement Test) (Garzia, Richman, Nicholson, & Gaines, 1990)]. Les résultats présentés tentent de mettre en lien les performances des enfants aux tests EVADYS et DEM avec celles présentées dans les tâches de lecture de mots habituellement utilisées dans les bilans de la dyslexie [Alouette-R (Lefavrais, 2005) ; ODEDYS (Outil de Dépistage des Dyslexies) (Jacquier-Roux, Valdois, & Zorman, 2002)]. A la lumière de ces données, nous discuterons (1) de la nécessité de prendre en compte les processus oculomoteurs et visuo-attentionnels dans le diagnostic des troubles de l'apprentissage, ainsi que (2) du pouvoir diagnostique de tests utilisés dans cette étude et (3) de l'utilité de ces tests dans la mise en évidence de différences et de points communs entre troubles différents

    Intérêt de l'évaluation des processus visuo-attentionnels et oculomoteurs dans le diagnostic des troubles de l'apprentissage : une réflexion autour des profils d'enfants dyslexiques ou souffrant d'un trouble d'acquisition de la coordination

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    National audienceA l'heure actuelle, l'ensemble de la communauté scientifique s'accorde autour de l'idée que la lecture est avant tout une tâche linguistique et elle reconnait la présence d'un déficit de traitement des représentations phonologiques chez les personnes dyslexiques. En ce sens, la plupart des outils de dépistage, diagnostics et pédagogiques, à disposition des professionnels se centrent sur l'évaluation et la remédiation des difficultés de langage oral des enfants et notamment des difficultés d'acquisition des capacités phonologiques (e.g., NEEL, BILO, L2MA2). Cependant, de plus en plus de recherches montrent l'importance des facteurs oculomoteurs et visuo-attentionnels dans l'acquisition de la lecture chez l'enfant. Dans une perspective neuro-constructiviste (e.g. Goswami, 2003), des études longitudinales montrent, par exemple, que l'attention visuelle chez les prelecteurs constitue un important prédicteur de leur futures performances en lecture (e.g. Franceschini, Gori, Ruffino, Pedrolli, & Facoetti, 2012). Ces résultats attestent ainsi de l'intérêt d'évaluer ces capacités dès la maternelle afin de pouvoir repérer précocement les enfants susceptibles de présenter des difficultés en lecture par la suite. De plus, les études portant sur des personnes dyslexiques montrent que, dans certain cas, ce trouble s'accompagne de déficits de l'attention visuelle et du contrôle oculomoteur sous-tendant l'activité de lecture (pour une revue, Bellocchi, Muneaux, Bastien-Toniazzo, & Ducrot, 2013). On constate, par ailleurs, que de plus en plus de centres de référence des troubles des apprentissages ou de services spécialisés auprès d'enfants dyslexiques demandent des bilans oculomoteurs à la recherche de « troubles du regard » (Mazeau & Le Lostec, 2010) voire intègrent, dans leur équipe, des orthoptistes. Face à la très grande hétérogénéité caractérisant la manifestation clinique des troubles neurodéveloppementaux, le développement de l'évaluation des capacités oculomotrices et visuo-attentionnelles permettrait de compléter les tests actuels de dépistage et de diagnostic des troubles de l'apprentissage. C'est dans ce contexte que se place notre étude ; nous présenterons des éléments sur l'évaluation du fonctionnement visuo-attentionnel et oculomoteur d'enfants tout-venant ou avec une dyslexie développementale, ou un trouble de l'acquisition de la coordination (TAC). Les enfants ont entre 8 et 12 ans et ont, dans le cadre de leur participation à un vaste projet de recherche (ANR DYSTAC-MAP), passé un bilan orthophonique, psychomoteur ainsi que des tests visuo-attentionnels [EVADYS (Logiciel d'évaluation de l'empan visuo-attentionnel chez l'enfant dyslexique) (Valdois, Guinet, & Embs, 2014)] et oculomoteurs [DEM (Developmental Eye Movement Test) (Garzia, Richman, Nicholson, & Gaines, 1990)]. Les résultats présentés tentent de mettre en lien les performances des enfants aux tests EVADYS et DEM avec celles présentées dans les tâches de lecture de mots habituellement utilisées dans les bilans de la dyslexie [Alouette-R (Lefavrais, 2005) ; ODEDYS (Outil de Dépistage des Dyslexies) (Jacquier-Roux, Valdois, & Zorman, 2002)]. A la lumière de ces données, nous discuterons (1) de la nécessité de prendre en compte les processus oculomoteurs et visuo-attentionnels dans le diagnostic des troubles de l'apprentissage, ainsi que (2) du pouvoir diagnostique de tests utilisés dans cette étude et (3) de l'utilité de ces tests dans la mise en évidence de différences et de points communs entre troubles différents

    Feedforward motor control in developmental dyslexia and developmental coordination disorder: Does comorbidity matter?

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    International audienceBackground and aimFeedforward and online controls are two facets of predictive motor control from internal models, which is suspected to be impaired in learning disorders. We examined whether the feedforward component is affected in children (8–12 years) with developmental dyslexia (DD) and/or with developmental coordination disorder (DCD) compared to typically developing (TD) children.MethodsChildren underwent a bimanual unloading paradigm during which a load supported to one arm, the postural arm, was either unexpectedly unloaded by a computer or voluntary unloaded by the subject with the other arm.ResultsAll children showed a better stabilization (lower flexion) of the postural arm and an earlier inhibition of the arm flexors during voluntary unloading, indicating anticipation of unloading. Between-group comparisons of kinematics and electromyographic activity of the postural arm revealed that the difference during voluntary unloading was between DD-DCD children and the other groups, with the former showing a delayed inhibition of the flexor muscles.ConclusionDeficit of the feedforward component of motor control may particularly apply to comorbid subtypes, here the DD-DCD subtype. The development of a comprehensive framework for motor performance deficits in children with learning disorders will be achieved only by dissociating key components of motor prediction and focusing on subtypes and comorbidities
    corecore