101 research outputs found

    Vibration sensitive afferents rather than spatial acuity determine tactile roughness discrimineration

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    The human hand is a wondrous instrument that serves us extremely well in a multitude of applications. In every day life, we frequently explore surfaces with our fingertips to estimate different aspects of their physics. We use our hands to identify objects and surface textures with high accuracy. Tactile information tells a person how much force to use when grasping objects, which range from rigid, such as a steel marble to delicate, such as a tomato. Researchers are currently working on developing prosthetic systems that incorporate touch-sensitive feedback. Understanding the neurobiology of roughness perception could be revolutionary to the utility of hand prosthetics. In this thesis, a psychophysical method to estimate roughness threshold with the sandpaper set was developed and validated. Secondarily, we examined the relative contribution of remote mechanoreceptors to perception of roughness versus spatial acuity in various conditions that affect innervation of the index finger differently as carpal tunnel syndrome or surgically repaired complete traumatic median nerve section at the wrist. In conclusion, all studies indicated that vibration sensitive afferents rather than spatial acuity determine roughness discrimination. These investigations have important implications for the development of technologies that may provide prosthetic hand users with a realistic restoration of sensory feedback systems.(MED - Sciences médicales) -- UCL, 201

    Lésions de l’avant-bras

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    Neuropathies compressives au membre supérieur. Généralités

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    Les nerfs périphériques qui véhiculent des influx sensitifs, moteurs et autonomiques par leurs axones, faisant chacun suite à un corps cellulaire sont soumis à des contraintes mécaniques au cours de leur cheminement dans les membres. Ces contraintes sont des étirements et des compressions qui perturbent le métabolisme local du nerf, en créant notamment une ischémie dans l’endonèvre où passent les axones entourés de cellules de Schwann qui forment une gaine de myéline pour les plus gros axones. Les étirements sont conditionnés par la position imposée au membre et à la capacité de glissement du nerf dans son site anatomique. De plus, si un nerf passe dans une zone fibreuse, son glissement qui est fréquemment de plusieurs cm au niveau d’une articulation se trouve limité et la tension sur le nerf augmente. Les compressions sont fréquemment notées lorsqu’un nerf passe sous une arcade anatomique étroite. Les sites principaux seront exposés dans la suite du chapitre. La sévérité des répercussions cliniques sensitives, motrices et autonomiques est en relation immédiate avec les atteintes histologiques du nerf. Le traitement d’une neuropathie compressive débutante est habituellement conservateur, visant à éviter la traction et la pression (conseils de position, attelles). Une infiltration de corticoïdes peut être utile. En cas de récidive ou d’atteinte plus sévère, une libération chirurgicale simple sera réalisée afin d’éviter les séquelles. Les compressions des mêmes axones à plusieurs endroits de leur trajet (« double crush ») ne sont pas rares

    Les infections de la main

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    Neuropathies compressives au membre supérieur. Formes particulières

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    Syndrome des loges du membre supérieur

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    Les fractures des métacarpiens et des phalanges

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    Lésions de l’appareil tendineux extenseur de la main

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    Lésions de l’appareil tendineux extenseur de la mai
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