63 research outputs found

    Campagnes Nizery Togo 5 (01 au 03.03.84), Togo 6 (26 au 28.06.84) : résultats des chalutages

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    Ce document présente les résultats des chalutages de fond effectués au cours des campagnes TOGO 5 et TOGO 6 par le navire océanographique "André Nizery" sur le plateau continental togolais dans le cadre du programme d'évaluation des ressources halieutiques. Le rapport comprend : 1° - Le compte rendu des campagnes TOGO 5 et TOGO 6 ; 2° - Des informations sur le mode de présentation des résultats ; 3° - Les fiches de chalutages pour les deux campagnes ; 4° - Les distributions de fréquences de tailles des échantillons mesurés. (Résumé d'auteur

    Le recrutement des postlarves de Penaeus subtilis et Xiphopenaeus kroyeri dans l'estuaire du Sinnamary (Guyane française)

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    Dans le but de disposer d'éléments permettant une meilleure gestion de la pêcherie industrielle de crevettes pénéides en Guyane française, des recherches ont été menées sur les stades jeunes du cycle vital : postlarves et juvéniles. Une méthodologie de capture des postlarves en estuaire a été définie. Les variations d'abondance des postlarves des espèces #Penaeus subtilis, #Xiphopenaeus kroyeri et de #Macrobrachium sp. ont été analysées. Au niveau d'un cycle de marée, la salinité et le débit sont les principales variables explicatives des variations d'abondance des postlarves de #Penaeus subtilis. Un indice d'abondance des postlarves en estuaire a été calculé ; cet indice a été relié à deux autres indices relatifs au stock adulte en mer : un indice de la reproduction et un indice du recrutement des juvéniles dans la pêcherie. La mise en relation de ces trois indices permet d'avoir une idée de la chronologie du cycle vital en Guyane. La durée du stade juvénile correspondant au délai séparant les pics d'abondance des postlarves des pics de capture de petits individus par la pêcherie varie de trois à cinq mois. Un indice de nourricerie a permis une comparaison des nourriceries entre elles et une mesure de l'évolution interannuelle du recrutement en postlarves. Les résultats ne confirment pas l'idée répandue parmi les professionnels de la pêche selon laquelle l'estuaire du Sinnamary serait la nourricerie la plus importante de Guyane pour les crevettes. A l'heure actuelle, le problème de la localisation des nourriceries de crevettes en Guyane ne peut être considéré comme totalement résolu : les estuaires ne jouent probablement pas le rôle de nourriceries et l'hypothèse d'une nourricerie côtière continue située au niveau de la frange littorale est avancée. (Résumé d'auteur

    Les espaces de l'halieutique

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    Les crevettes pénéides (essentiellement #Penaeus indicus$) sont capturées à Madagascar par trois grands types de pêcheries : industrielle, artisanale et traditionelle. La pêche traditionnelle exploite la frange la plus côtière avec des moyens restreints. Cette appellation recouvre un certain nombre de formes d'exploitation qui, au premier abord, n'ont souvent en commun que la ressource. Les systèmes d'exploitation que l'on rencontre tout au long du littoral peuvent se caractériser dans une première analyse par les engins de pêche utilisé (valakira, filets maillants, sennes à crevettes, kopiko) qui se répartissent de manière fractionnée. Cette répartition définit ainsi une structuration spatiale forte des zones d'exploitations et un découpage du littoral en entités homogènes. Dans chaque zone, l'impact des différentes formes d'exploitation sur la ressource montre des résultats totalement différents au niveau des rendements, des variations saisonnières et des quantités débarquées. Deux grands axes se profilent dont l'un met en opposition côte est et ouest et l'autre les régions nord et sud révélant des potentialités de pêche très inégales. Emboîtés dans ces gradients généraux se dessinent des espaces localisés d'exploitation liés aux conditions environnementales (présence de mangrove, baies, estuaires) et dépendants de la distribution du réseau hydrographique. Cette dissociation doit être nuancée en fonction des caractéristiques propres à chaque baie : nature du fond conditionnant la mise en oeuvre des engins, caractéristiques marines ou continentales du milieu. En définitive, cette division en plusieurs biotopes où des systèmes d'exploitations différents se sont développés renvoie à la disponibilité de la ressource, mais également à une adaptation des pêcheurs à des conditions particulières. (Résumé d'auteur
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