24 research outputs found

    L'anthracnose du pois protéagineux

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    National audienc

    Spatio-temporal development of pea root disease through secondary infections during a crop cycle

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    International audienceSpatio-temporal development of pea root rot was experimentally characterized. Experiments performed under controlled conditions with trap plants located at varying distances from a diseased source plant indicated that disease spread from a diseased plant to a healthy one was generally below 15 cm. A field experiment was conducted to measure disease spread gradients and the rate of secondary infection at two planting densities, 70 and 140 plants/m(2). Relationships between plant and root disease incidences, and between root disease incidence and root disease severity indicated a strong disease intensification both within and between diseased plants. Measurement of disease gradients indicated that disease did not spread farther than 10 cm from the diseased source plant, i.e. one and two plants away along a row at low and high planting densities respectively. Disease did not spread to neighbouring rows, located 15 cm away. Rates of secondary infection over 14-day periods ranged between zero (no disease increase) and 0.35 plant/plant/day, and was in general larger in high-density plots than in low-density plots. Implications of the results for disease management are discussed

    Les maladies aeriennes fongiques et bacteriennes; observatoire 1991

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    National audienc

    Comparaison de la réceptivité des sols aux agents de la pourriture des tubercules de pomme de terre : Fusarium spp. et Phoma sp

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    National audienceDry rot, one of the most damaging diseases of potato tubers, is principally caused by 3 fungi : F. solani var. coeruleum, F. roseum var. sambucinum, P. exigua var. foveata. Soil is the main site in which they survive and multiply and the relations, during the growing period, between soil and inoculum will give more or less rot during storage. Amount of disease may depend of the conduciveness of the soil to each fungus. This concept is based on the soil’s capacity to permit a more or less complete expression of pathogenicity on a susceptible population of plants. This paper describes the characteristics of soil conduciveness (or its converse, suppressiveness) and its extension. Soil conduciveness was evaluated by spreading 100 mg infested soil with different inoculum doses on freshly cut half-tubers (table 1). A study with 3 soils (1 heathland soil and 2 cultivation soils) showed that : 1) the level of soil suppressiveness was expressed directly after soil infestation for F. roseum, or after a soil incubation period of 4 weeks for F. solani and P. exigua (fig. 1) ; 2) the level of soil conduciveness was not modified by the type of inoculum (macroconidia or chlamydospores for Fusarium, mycelium of pycniospores for Phoma (table 2) ; 3) the suppressiveness of a soil was not general for the 3 fungi but was specific to each of them : e.g. the heathland soil was suppressive for F. solani but very conducive for F. roseum and P. exigua (fig. 1). The phenomenon of conduciveness was studied with 100 potato soils differing in soil-texture, rotation time and type, pH. Following artificial infestation, these showed different levels of conduciveness to each of the 3 fungi (fig. 2 and table 3), and it seemed that the mechanism of suppressiveness was not the same.En conservation, les pourritures sèches des tubercules de pomme de terre sont principalement dues à Fusarium solani var. coeruleum, F. roseum var. sambucinum et Phoma exigua var. foveata. Le lieu privilégié de leur multiplication et de leur conservation étant le sol, les relations de ce dernier avec l’inoculum pendant la période de végétation conditionnent l’évolution des pourritures lors de l’entreposage du plant. C’est le niveau de réceptivité des sols aux Fusarium et Phoma qui constitue le facteur important susceptible de modifier l’équilibre parasitaire en culture et de là, détermine l’importance du phénomène de pourriture en conservation. Il ressort de ce travail que : - les niveaux de réceptivité des sols à chacun des parasites sont différents : certains sont très réceptifs, d’autres très peu ; - le faible niveau de réceptivité d’un sol peut s’exprimer soit immédiatement après l’infestation du sol (c’est le cas du F. roseum) soit après un délai d’incubation du sol de 4 semaines (c’est le cas de F. solani et P. exigua) ; - le classement des 3 sols pour leur niveau de réceptivité n’est pas modifié par le type d’inoculum (conidies ou chlamydospores pour les Fusarium, mycélium ou pycniospores pour Phoma) ; - le faible niveau de réceptivité d’un sol n’est pas généralisé à l’ensemble des 3 parasites mais est spécifique à chaque parasite. Ainsi, le sol de lande est le moins réceptif à F. solani alors qu’il est plus sensible aux 2 autres parasites ; - enfin, le mécanisme de la réceptivité n’est sans doute pas identique pour les 3 parasites étudiés. L’extrapolation de la technique utilisée pour l’étude des 3 sols déterminés à 100 sols de différentes parcelles de culture de pomme de terre exprime bien le comportement varié de ceux-ci à la suite de l’infestation par chacun des agents de pourriture. A cette échelle, les résultats confirment l’étude précédente à savoir que chaque sol, immédiatement après l’infestation ou après incubation de 4 semaines possède son propre niveau de réceptivité à un ou plusieurs parasites

    Epidemiological studies of Ascochyta blight (M.Pinodes) development on pea: understanding and predicting epidemics

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    International audienc

    Relation entre le pH des sols et leur niveau de receptivite a Fusarium solani var coeruleum et Fusarium roseum var sambucinum agents de la pourriture seche des tubercules de pomme de terre

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    National audienceA study of the relations between the pH of soils and their level of conduciveness to F solani var coeruleum and F roseum var sambucinum has been carried out. In the 100 potato soils with pH values from 5.1 to 6.2 (fig 1), a direct relation is observed between the low values of pH and the suppressiveness of soils to F solani var coeruleum. The critical value between conducive and suppressive soils is about pH 5.3; under this pH, most soils are suppressive. With F roseum var sambucinum, the frequency of suppressive soils is independent of the pH; at each pH value, 10 to 20% of soils are suppressive. The experimental confirmation from a heathland soil with an initial pH 3.9 which was subsequently limed to increase pH, is in agreement with previous observations (fig 2, fig 3). In the case of F solani var coeruleum, the pathogen persists in the conducive soils with chlamydospores whereas in the suppressive soils, the pathogen is completely lysed and the formation of resting spores is inhibited (fig 4).Une étude des relations entre le pH des sols et leur niveau de réceptivité à Fusarium roseum var sambucinum et à F solani var coeruleum agents de la pourriture sèche des tubercules de pomme de terre est réalisée. Dans le cas de 100 sols de culture dont les pH s’échelonnent de 5,1 à 6,2, un lien direct existe entre les faibles valeurs de pH et les faibles niveaux de réceptivité des sols à F solani var coeruleum. Le point critique, entre sols réceptifs et sols qui ne le sont pas, se situe aux environs du pH 5,3 ; en dessous de ce pH, la majorité des sols sont résistants. Chez F roseum var sambucinum, la distribution des sols non réceptifs est indépendante du pH : à chaque valeur de pH, 10 à 20% des sols sont résistants. La confirmation expérimentale à partir d’un sol de lande de pH initial 3,9 amendé par de la chaux vive afin d’augmenter progressivement le pH corrobore les observations précédentes. Dans le cas de F solani var coeruleum, le parasite survit dans les sols réceptifs sous forme de chlamydospores, tandis que dans les sols non réceptifs, l’inoculum est entièrement lysé. La différence de comportement de F roseum var sambucinum et F solani var coeruleum dans un même type de sol suggère des mécanismes de résistance des sols spécifiques à chacun des deux parasites
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