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    Use of CNS medications and cognitive decline in the aged: a longitudinal population-based study

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>Previous studies have found associations between the use of central nervous system medication and the risk of cognitive decline in the aged. Our aim was to assess whether the use of a single central nervous system (CNS) medication and, on the other hand, the combined use of multiple CNS medications over time are related to the risk of cognitive decline in an older (≄ 65 yrs) population that is cognitively intact at baseline.</p> <p>Methods</p> <p>We conducted a longitudinal population-based study of cognitively intact older adults. The participants were 65 years old or older and had Mini-Mental State Examination (MMSE) sum scores of 24 points or higher. The study included a 7.6-year follow-up. The use of benzodiazepines and related drugs (BZDs), antipsychotics (APs), antidepressants (ADs), opioids (Ops), anticholinergics (AChs) and antiepileptics (AEs) was determined at baseline and after a 7.6-years of the follow-up period. Cognitive functioning was used as an outcome variable measured with MMSE at baseline and at the mean follow-up of 7.6 years. Control variables were adjusted with analyses of covariance.</p> <p>Results</p> <p>After adjusting for control variables, the use of Ops and the concomitant use of Ops and BZDs as well as the use of Ops and any CNS medication were associated with cognitive decline. The use of AChs was associated with decline in cognitive functioning only in men.</p> <p>Conclusions</p> <p>Of all the CNS medications analyzed in this study, the use of Ops may have the greatest effect on cognitive functioning in the ageing population. Due to small sample sizes these findings cannot be generalized to the unselected ageing population. More studies are needed concerning the long-term use of CNS medications, especially their concomitant use, and their potential cognitive effects.</p

    Chapitre III. Le jeu de l’acteur tragique

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    HupokritĂšs, tragĂ©dien et acteur tragique Dans la GrĂšce antique, l’acteur est un hupokritĂšs. L’art de l’acteur s’est ainsi appelĂ© l’hupokrisis. Il a surtout Ă©tĂ© dĂ©fini Ă  partir du ive siĂšcle par Aristote (RhĂ©torique, III, 1, 1403) et les orateurs. En effet, la rhĂ©torique et l’art de l’acteur utilisent les mĂȘmes techniques. DĂ©mosthĂšnes qui a reçu des leçons de Satyros ou d’Andronicos, grands tragĂ©diens du ive siĂšcle, considĂšre que l’hupokrisis est l’élĂ©ment fondamental de l’art oratoire. David ..

    Chapitre II. Les formes du chƓur tragique

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    Du chƓur rituel au chƓur tragique Aristote (PoĂ©tique, 4, 49, a 11) donne comme origine directe au thĂ©Ăątre les chƓurs rituels, en particulier ceux en l’honneur de Dionysos. Le dithyrambe, qui serait Ă  l’origine du chƓur tragique, Ă©tait exĂ©cutĂ© autour de l’autel du dieu par un groupe de personnes guidĂ© par un exarkhon. Ce chant improvisĂ© par l’exarkhon possĂ©dĂ© par Dionysos, permettait d’évoquer et de cĂ©lĂ©brer Dionysos. DĂšs la fin du VIe siĂšcle, le dithyrambe s’est formalisé : le chant a Ă©tĂ© com..

    Chapitre I. Les usages de l’espace

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    L’espace grec Les Ɠuvres tragiques que nous avons conservĂ©es ont Ă©tĂ© conçues pour un espace particulier, le thĂ©Ăątre de Dionysos Ă  AthĂšnes. La performance Ă©tait liĂ©e aux contraintes de cet espace, mais inversement, l’architecture thĂ©Ăątrale a Ă©voluĂ© en fonction des nĂ©cessitĂ©s du spectacle. Les premiĂšres reprĂ©sentations tragiques furent donnĂ©es sur l’agora oĂč l’on installait des bancs de bois face Ă  un espace plan, rectangulaire. Au dĂ©but du ve siĂšcle, les bancs s’écroulĂšrent, et l’on transfĂ©ra ..

    Chapitre IV. Des tragédies grecques japonaises ou africaines

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    La mise en scĂšne interculturelle La tendance Ă  l’interculturalisme dans les performances thĂ©Ăątrales s’est largement dĂ©veloppĂ©e depuis les annĂ©es 70, aussi bien en Occident, qu’en Asie ou en Afrique. Faire un thĂ©Ăątre inter-ou transculturel consiste Ă  utiliser des pratiques issues d’une certaine culture pour mettre en scĂšne une Ɠuvre dramatique venue d’une autre. C’est par exemple Ariane Mnouchkine utilisant la danse indienne du kathakali dans sa mise en scĂšne des Atrides. Cette mĂ©thode permet ..

    Les tragédies grecques sur la scÚne moderne : Une utopie théùtrale

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    L’histoire de la mise en scĂšne des tragĂ©dies grecques se confond avec celle de l’invention de la scĂšne moderne. En effet dans leur quĂȘte de ce thĂ©Ăątre des origines, les metteurs en scĂšne ont construit l’utopie d’un spectacle total, capable Ă  la fois de rĂ©nover les pratiques scĂ©niques, de crĂ©er un Ă©vĂ©nement social ou mystique et de susciter la terreur et la pitiĂ© chĂšres Ă  Aristote. En partant d’une reconstitution des conventions thĂ©Ăątrales antiques, l’auteur cherche Ă  Ă©valuer le rapport qu’entretiennent les crĂ©ateurs contemporains avec un thĂ©Ăątre devenu mythique : de la radicalisation de la distance qui les sĂ©pare de l’AntiquitĂ© Ă  la volontĂ© de surmonter cette distance, tous ont fondĂ©, Ă  partir de ce matĂ©riau, un thĂ©Ăątre de la modernitĂ©

    Des fantĂŽmes Ă©piques aux fantĂŽmes tragiques : hĂ©ritage, transformations, inventions dans l’antiquitĂ© grecque

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    Le fantĂŽme grec Ă©pique ou tragique est d’abord culturel : il est en rapport avec des croyances religieuses concernant les morts. Comme l’explique J.-P. Vernant, « au terme des rites funĂ©raires, le corps humain revĂȘt la forme d’une rĂ©alitĂ© Ă  deux faces dont chacune renvoie Ă  l’autre et implique sa contrepartie : une face visible et localisĂ©e » (le cadavre dont les ossements, aprĂšs incinĂ©ration, sont recueillis dans une urne et enterrĂ©s Ă  un endroit marquĂ© d’un monument), « et une face invisibl..

    Les tragédies grecques sur la scÚne moderne

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    L’histoire de la mise en scĂšne des tragĂ©dies grecques se confond avec celle de l’invention de la scĂšne moderne. En effet dans leur quĂȘte de ce thĂ©Ăątre des origines, les metteurs en scĂšne ont construit l’utopie d’un spectacle total, capable Ă  la fois de rĂ©nover les pratiques scĂ©niques, de crĂ©er un Ă©vĂ©nement social ou mystique et de susciter la terreur et la pitiĂ© chĂšres Ă  Aristote. En partant d’une reconstitution des conventions thĂ©Ăątrales antiques, l’auteur cherche Ă  Ă©valuer le rapport qu’entretiennent les crĂ©ateurs contemporains avec un thĂ©Ăątre devenu mythique : de la radicalisation de la distance qui les sĂ©pare de l’AntiquitĂ© Ă  la volontĂ© de surmonter cette distance, tous ont fondĂ©, Ă  partir de ce matĂ©riau, un thĂ©Ăątre de la modernitĂ©
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