320 research outputs found

    Le nom propre dans la tragédie shakespearienne

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    Démonétisation et tyrannie dans Edouard II

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    Hommage Ă  Laurence Olivier

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    Interpretation and “logique du sens”: the Problem Plays’ problematizing of language

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    Assumant ce qu’il peut y avoir de politiquement incorrect dans l’argument qu’elle dĂ©fend, cette communication prend comme point de dĂ©part la thĂšse de Stephen Booth, pour qui Shakespeare est le poĂšte « que nous sous-estimons le plus », thĂšse selon laquelle ce dernier est un « King Kong » comparĂ© aux « autres singes ». Ce qui amĂšne l’auteur Ă  dĂ©fendre ici ce qu’elle appelle un « Shakespeare lent » en Ă©bauchant, plutĂŽt que l’analyse de « cruxes» (passages, ou mots, Ă©nigmatiques) pris un peu au hasard, une forme de plasticitĂ© verbale Ă  mettre sur le compte, au moins en partie, du fait que l’inconscient lui-mĂȘme est structurĂ© « comme un langage ». C’est la raison pour laquelle le commentaire ne porte que sur les « piĂšces Ă  problĂšme », car si « problĂšme » il y a, la cause est Ă  chercher notamment de ce cĂŽtĂ©-lĂ .Assuming its—to some—political incorrectness, the paper takes as its starting point Stephen Booth’s simile of Shakespeare, “our most underrated poet”, as representing a “King Kong” compared to “other monkeys”; accordingly it puts the case for what it calls “slow Shakespeare”, attempting to go beyond analysis of random clusters of cruxes so as to suggest something approaching a form of verbal plasticity informed, at least in part, by the unconscious’ being itself structured “like a language” (Lacan). This is why it looks more specifically at the “Problem Plays”, arguing that the above outline plays no small part in their very problematicity

    Langue du lecteur, langue du texte

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    Lorsque j’ai parcouru le texte de cadrage de ce sĂ©minaire, ma premiĂšre rĂ©action a Ă©tĂ© de me dire : « OĂč est le problĂšme ? » Tant il Ă©tait clair pour moi que la langue de lecture Ă©tait la langue du texte : Ll=Lt. Les hasards de la vie font que je lis quotidiennement dans trois langues, deux que je possĂšde, et une troisiĂšme, l’italien, que je possĂšde mal mais qui est chez moi, en tant que demi Corse, l’objet d’un fort investissement affectif. MĂȘme devant un texte italien, oĂč il me manque souven..

    Dracula et la politique

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    Pourquoi le mythe de Dracula, roman brutalement misogyne, continue-t-il de fasciner et de perdurer ? Cet article se propose de considérer neuf questions pour cerner cet attrait paradoxal, et voir en quoi, lieu d'affects violents, le roman est délibérément réactionnaire, au contraire du Frankenstein de Mary Shelley ; si Frankenstein constitue un « événement » au sens de Badiou, c'est le concept de « mine psychique » de Bodei qui peut éclairer Dracula et sa misogynie brutale, sa xénophobie et son mythe des origines.This paper addresses the question of the contrast between the popularity of the myth of Dracula and the reactionary nature of the text. Why is such a reactionary novel so fascinating? Whereas Frankenstein, for instance, may be read as an « event » in Badiou's sense of the word, this paper uses Bodei's Le logiche del delirio to answer nine questions concerning the novel's brutal chauvinism, its myth of origins and above all its representation of the Other in political and gendered terms

    La folie de Lear ou de l’inceste alimentaire

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