5 research outputs found

    Introduction to the special section on the EMSLAB-Juan de Fuca experiment

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    Electrical properties provide a window on processes that are of great interest in understanding Earth. Elec

    Molecular Detection of Cellulosimicrobium cellulans as the Etiological Agent of a Chronic Tongue Ulcer in a Human Immunodeficiency Virus-Positive Patient

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    Ulcerations appeared on the tongue of a 48-year-old human immunodeficiency virus-positive man. Histological findings of the biopsy specimen and the fact that the patient had resided in Louisiana led us to suspect “American histoplasmosis.” A new ulcer appeared while the patient was being treated with itraconazole, and the gene for 16S rRNA of Cellulosimicrobium cellulans was amplified. The lesions healed during treatment with oral penicillin and azithromycin

    Description of Acidovorax wautersii sp. nov. to accommodate clinical isolates and an environmental isolate, most closely related to Acidovorax avenae

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    Three Gram-negative strains, NF 1078T, NF 1598 and NF 1715, were isolated from clinical (two) and environmental (one) samples, respectively. Sequence analysis of the 16S rRNA genes revealed similarity of 100 % among the three strains and next highest similarity to the type strain of Acidovorax avenae (98.16 %). The three strains were able to acidify lactose and rhamnose on low peptone phenol red agar and to alkalinize citrate on Simmons’ agar and were negative for nitrate reduction. The DNA G+C content of strain NF 1078T was 67.1 mol%. The level of DNA–DNA relatedness between this strain and the type strains of A. avenae (ATCC 19860T, LMG 2117T) was 29 %. Based on these phylogenetic, phenotypic and genotypic analyses, the three strains could be distinguished clearly from all other recognized Acidovorax species and should be classified as representatives of a novel species of the genus Acidovorax, for which the name Acidovorax wautersii sp. nov. is proposed. The type strain is NF 1078T (5LMG 26971T5CCUG 62584T)

    Le prince, l'argent, les hommes au Moyen Ă‚ge

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    L’histoire de l’impôt, de la monnaie et des institutions financières propres à la principauté bretonne du temps des ducs de la maison de Montfort (1364-1514) a fourni sa nécessaire trame à la thèse d’État de Jean Kerhervé avec la mise en place et le développement des services centraux d’ordonnancement et de contrôle de la dépense, le renforcement des structures de gestion du domaine et, étape cruciale, l’institution de prélèvements réguliers sur les fruits de la terre, la consommation urbaine et les échanges marchands. L’impôt, sa perception, son emploi, les fluctuations de la monnaie dessinent un premier axe de ce livre : l’histoire des finances. Cependant, sans les hommes qui les animent, les institutions ne seraient rien et Jean Kerhervé s’est toujours attaché à une approche sociale des milieux professionnels liés au monde de l’argent. Les gens de finance, qu’ils soient gestionnaires de quelque fraction reculée du domaine ducal, receveurs de droits affermés, comptables centraux, conseillers de la Chambre des comptes… appartiennent tous à une parentèle avec sa stratégie propre, ses réussites, ses échecs parfois ; ils disposent aussi d’un patrimoine, et l’on connaît assez bien les manoirs ruraux comme les maisons en ville des plus fortunés. Grâce aux apports incomparables de la prosopographie, la connaissance des hommes, de leur culture, de leur mode de vie devient le prolongement naturel du dévoilement des mécanismes fiscaux. Cet argent collecté par le prince l’est dans la perspective d’affirmer le rang de son duché dans le concert des puissances atlantiques aux deux derniers siècles du Moyen Âge. La construction d’un État princier suppose aussi une idéologie qui le légitime. Le recours au passé se révèle essentiel pour l’illustrer : l’historiographie modèle le destin des principautés émergentes dans les décennies marquées par la guerre de Cent Ans. L’étude de ces convergences fécondées par la réinterprétation du passé oriente donc logiquement un dernier axe de cohérence
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