6 research outputs found

    The Genetic Facets of Dravet Syndrome: Recent Insights

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    Dravet syndrome (DS), previously known as severe myoclonic epilepsy of infancy, is a severe epileptic syndrome affecting children, with an incidence of 1/22,000 to 1/49,900 live births annually. Characterized by resistant and prolonged seizures, it often leads to intellectual impairment, with males being twice as susceptible as females. Its clinical features include recurrent seizures triggered by fever initially, but later occurring spontaneously, developmental delays, behavioral issues, and movement disorders. Sodium voltage-gated channel alpha subunit 1 (SCN1A) mutations, observed in about 90% of cases, are usually de novo, while mutations in other genes, such as protocadherin 19 (PCDH19), gamma-aminobutyric acid type A receptor subunit gamma 2 (GABRG2), and sodium voltage-gated channel alpha subunit 2 (SCN2A), can also contribute to the condition. Next-generation sequencing aids in identifying these genetic abnormalities. First-line treatments include anticonvulsant drugs such as valproate, clobazam, stiripentol, topiramate, and bromide. Second-line treatments for drug-resistant DS include stiripentol, fenfluramine, and cannabidiol. This literature review provides a comprehensive update on the genetic underpinnings of DS, highlighting SCN1A's predominant role and the emerging significance of other genes. Moreover, it emphasizes novel therapeutic approaches for drug-resistant forms, showcasing the efficacy of newer drugs such as stiripentol, fenfluramine, and cannabidiol. This synthesis contributes to our understanding of the genetic landscape of DS and informs clinicians about evolving treatment strategies for enhanced patient care

    Anémie de fanconi au CHU Hassan II Fès: à propos de 6 observations

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    L'anémie de Fanconi est une maladie récessive associée à une instabilité chromosomique, elle est marquée par une hétérogénéité phénotypique qui inclut une insuffisance médullaire, un syndrome malformatif variable, une prédisposition à développer des leucémies aiguës myéloïdes (LAM) et une hypersensibilité cellulaire aux agents pontant l'ADN. Le diagnostic est basé sur l'augmentation anormale du taux de cassures chromosomiques spontanées mais surtout, et de manière spécifique, sur une augmentation nette de ces cassures chromosomiques en présence d'agents alkylants bifonctionnels, ce qui est le cas pour nos six patients. Le conseil génétique rejoint celui des maladies autosomiques récessives. Nous rapportons nos premières observations au CHU Hassan II Fès, confirmées par la mise en évidence d'une grande instabilité chromosomique après culture sous Mitomycine C en comparaison avec un témoin normal. Le but de cet article est la mise à jour de nos connaissances sur la génétique de l'Anémie de Fanconi et à travers ces six observations nous illustrons le rôle de la cytogénétique dans le diagnostic et le conseil génétique pour une meilleure prise en charge aussi bien des enfants atteints que de leurs familles

    Syndrome de Lynch: à propos d’un cas et revue de la litterature

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    Le syndrome de Lynch, ou cancer colorectal héréditaire sans polypose ou HNPCC (hereditary non-polyposis colorectal cancer), est la forme la plus fréquente de cancer colorectal héréditaire. Il conduit à une augmentation de la susceptibilité à développer des cancers, au premier rang le cancer colorectal, le cancer de l’endomètre chez les femmes, et dans une moindre mesure, d’autres cancers (ovaire, intestin grêle, estomac, voies excrétrices urinaires et hépatobiliaires). Ainsi, le risque cumulé de développer un cancer colorectal ou de l’endomètre à l’âge de 80 ans s’élève respectivement à 20 et 40 %. Ces cancers sont caractérisés par leur contexte d’atteinte familiale, leur survenue à un âge précoce, ainsi que par le développement de cancers métachrones chez un même individu. Ce syndrome se transmet de manière autosomique dominante. Les gènes dont l'altération est associée à l'existence d'un syndrome HNPCC appartiennent à la famille des gènes de réparation des mésappariements de l'ADN (DNA mismatch repair ou MMR): MSH2, MLH1 et MSH6 sont impliqués, par ordre décroissant de fréquence, dans respectivement 35%, 25% et 2% des cas. Une surveillance coloscopique et gynécologique est proposée aux personnes porteuses d'une mutation constitutionnelle du gène MSH2, MLH1 ou MSH6. Nous rapportons une des premières observations marocaines d’un syndrome de Lynch dont la mutation constitutionnelle du gène MLH1 a été identifiée chez un des membres de la famille atteint d’un cancer du côlon. Suite à la demande d’autres sujets sains de la même famille, un diagnostic presymptomatique a été effectué conduisant à une stratégie de surveillance adaptée. A travers notre observation nous illustrons le rôle de l’oncogénétique dans la prise en charge des patients cancéreux et de leurs familles.The Pan African Medical Journal 2016;2

    Pancreatic surgery outcomes: multicentre prospective snapshot study in 67 countries

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    Background: Pancreatic surgery remains associated with high morbidity rates. Although postoperative mortality appears to have improved with specialization, the outcomes reported in the literature reflect the activity of highly specialized centres. The aim of this study was to evaluate the outcomes following pancreatic surgery worldwide.Methods: This was an international, prospective, multicentre, cross-sectional snapshot study of consecutive patients undergoing pancreatic operations worldwide in a 3-month interval in 2021. The primary outcome was postoperative mortality within 90 days of surgery. Multivariable logistic regression was used to explore relationships with Human Development Index (HDI) and other parameters.Results: A total of 4223 patients from 67 countries were analysed. A complication of any severity was detected in 68.7 percent of patients (2901 of 4223). Major complication rates (Clavien-Dindo grade at least IIIa) were 24, 18, and 27 percent, and mortality rates were 10, 5, and 5 per cent in low-to-middle-, high-, and very high-HDI countries respectively. The 90-day postoperative mortality rate was 5.4 per cent (229 of 4223) overall, but was significantly higher in the low-to-middle-HDI group (adjusted OR 2.88, 95 per cent c.i. 1.80 to 4.48). The overall failure-to-rescue rate was 21 percent; however, it was 41 per cent in low-to-middle-compared with 19 per cent in very high-HDI countries.Conclusion: Excess mortality in low-to-middle-HDI countries could be attributable to failure to rescue of patients from severe complications. The authors call for a collaborative response from international and regional associations of pancreatic surgeons to address management related to death from postoperative complications to tackle the global disparities in the outcomes of pancreatic surgery (NCT04652271; ISRCTN95140761)
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