56 research outputs found

    Hommage au poÚte José-Agustín Goytisolo, récemment disparu

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    Zoraida Carandell envia a Asunción Carandell el programa del recital de poemes, organitzat per Voix de la Méditerranée, a càrrec de Paco Ibåñez i Tachia Quintanar

    Les voix des hĂ©roĂŻnes de Geraldine Chaplin dans le cinĂ©ma de Carlos Saura ou la mise en lumiĂšre d’une collaboration artistique

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    International audienceGeraldine Chaplin opened the way for the apparition of the feminine in Carlos Saura's filmography, in a dichotomous rĂŽle which relies to a great extent upon the voice in that, depending on the different films, the actress's voice is dubbed or not. The dubbed voice, which is artificial due to the presence of Chaplin's real voice in certain films, could have proved a stumbling block to the recognition of her talent by demonstrating the helplessness of an actress faced with a film-maker who controls the creation of a character via the sound editing process. However, Chaplin asserts herself in the cinematographic text of the works from La Madriguera – a film she co-wrote and in which she retains her own voice – onwards, bestowing a new maturity upon the duality of her character. Chaplin's voice, which is necessary to the assertion of her persona, reveals her body, her capabilities as an actress and ushers in a new form of film-writing. By assuming all the different functions of the voice – in, over, as a reader and as a narrator...- she becomes fully cinematographic and produces enunciative frictions which, whilst revealing a collaboration (far from free of contrasts) between actress and film-maker, escort the film-writing of these works towards their accomplishment.Dans la filmographie de Carlos Saura, Geraldine Chaplin a permis l'apparition du fĂ©minin en en incarnant une reprĂ©sentation dichotomique qui repose grandement sur la voix dans la mesure oĂč, selon les Ɠuvres, l'actrice est doublĂ©e ou non. Ce doublage artificiel en raison de la prĂ©sence intermittente de la vraie voix de Chaplin, aurait pu empĂȘcher la reconnaissance de son talent, en dĂ©montrant l'inutilitĂ© de l'actrice face Ă  un cinĂ©aste qui maĂźtrise la crĂ©ation du personnage au montage son. Cependant, Chaplin s’affirme dans l'Ă©criture cinĂ©matographique des Ɠuvres dĂšs La madriguera – film qu'elle coĂ©crit et oĂč elle conserve sa voix – en confĂ©rant Ă  la dualitĂ© de son personnage une nouvelle maturitĂ©. La voix de Chaplin, nĂ©cessaire Ă  l'affirmation de sa persona, rĂ©vĂšle son corps, ses capacitĂ©s actorales et appelle une nouvelle Ă©criture filmique. En y assumant toutes les fonctions possibles de la voix – in, over, lectrice, narratrice... –, elle devient pleinement cinĂ©matographique et produit des frictions Ă©nonciatrices qui, tout en relevant d'une collaboration non dĂ©nuĂ©e d'oppositions entre cinĂ©aste et actrice, accompagnent l'Ă©criture filmique des Ɠuvres vers son accomplissement

    Les mouvements sociaux porte-paroles des sans-voix: dispositifs communicationnels et réception

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    En Belgique, la sociĂ©tĂ© civile s’est organisĂ©e ces derniĂšres annĂ©es pour prendre la parole dans le cadre des nĂ©gociations des deux traitĂ©s de libre Ă©change TTIP et CETA. Ces mouvements sociaux se revendiquent de la contentious politics (McAdam et al., 2001) et se posent en challenger ou outsider (Fillieule, 2009). Certains ont vu le jour Ă  cette occasion (Alliance D19-20), d’autres ont mis ces thĂ©matiques Ă  leur agenda (Tout Autre Chose, CNCD-11.11.11), et certains se sont regroupĂ©s en plateforme (No-Transat, Stop TTIP). Leur importance rĂ©side dans leur capacitĂ© Ă  donner la parole Ă  des groupes ou des individus exclus des espaces publics de discussion (McAdam, 1999). L’enjeu Ă©tait de reprĂ©senter une voix alternative aux grands acteurs du dĂ©bat public - les partis et les syndicats - pour construire un problĂšme public (CĂ©faĂŻ, 1996) plus transversal et englobant. Dans cet espace de dĂ©bat trĂšs institutionnalisĂ©, il est en effet trĂšs difficile pour les sans-voix de s’exprimer. Ces mouvements insistent sur leur capacitĂ© Ă  mieux reprĂ©senter les diverses couches de la population, en incluant les femmes, les jeunes et les chĂŽmeurs dans le dĂ©bat et les actions. L’organisation mĂȘme de ces mouvements a pour but d’impliquer les plus faibles qui seraient davantage touchĂ©s par ces traitĂ©s et d’en ĂȘtre les porte-voix. Cette prĂ©sentation mettra en lumiĂšre la maniĂšre dont ces collectifs doivent se rendre visibles et se communiquer pour pouvoir atteindre leurs objectifs. Le web continuant, dans ce cadre, Ă  ĂȘtre perçu comme porteur d’espoir pour que chaque citoyen puisse donner son avis (Castells, 2007 ; Benkler et al., 2013). L’analyse de leur instrumentation communicationnelle et de leurs dispositifs socio-techniques rĂ©vĂšlera toutefois leurs difficultĂ©s de faire accĂ©der cette population “faible” aux dĂ©bats et Ă  une visibilitĂ© dans l’espace public. Cette prĂ©sentation relĂšvera Ă©galement que cette volontĂ© de reprĂ©sentation se heurte Ă  une construction de la communication qui configure, et peut restreindre, les publics cibles. En effet, les acteurs chargĂ©s de la communication sont Ă©duquĂ©s et formĂ©s, induisant un biais de communication excluant certaines couches de la population. Cela se manifeste dans leurs discours (engagĂ©s politiquement et jouant avec des notions complexes) et dans leurs actions (souvent de dĂ©sobĂ©issance civile). Les donnĂ©es prĂ©sentĂ©es ont Ă©tĂ© rĂ©coltĂ©es en ligne ou par des entretiens et produites par de l’observation participante au sein de plusieurs associations belges. Cette mĂ©thode nous a permis de nous placer du point de vue des acteurs et surtout d’assister aux pratiques participatives et communicationnelles dans l’interaction, de suivre les acteurs dans la multiplicitĂ© de leurs lieux et moments d’interaction et d’ainsi capter la maniĂšre dont ils tentent d’inclure les publics dominĂ©s ou Ă  faible ressource

    1789, l'année révolutionnaire / "La Voix du Nord"

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    Contient une table des matiĂšresAvec mode text

    PrĂ©sence de portraits photographiques d’écrivains en revues : le cas de Jazz

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    Se basant sur des analyses de portraits d’écrivains parus dans la revue Jazz Ă  la fin des annĂ©es 1920, ce texte montre que le portrait rapproche du lecteur en mĂȘme temps qu’il l’éloigne du texte, surtout dans une revue oĂč l’espace est comptĂ©, oĂč toute image est volĂ©e au texte. Les pages de la revue sont le lieu d’un partage entre textuel et visuel
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