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    De l’équivoque érotique dans la poésie italienne de la Renaissance, et de l’érotisme discret de l’Arioste en particulier

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    Pour ne pas remonter trop loin et m’en tenir au domaine de la poésie italienne, je me limiterai, en guise d’entrée en matière, à rappeler la conclusion de la cinquième journée du Décaméron, où un des conteurs, Dioneo, prié par la nouvelle reine de chanter une chanson, avant de se résoudre à « laisse[r] là les bêtises » et en chanter « une belle », énumère les premiers vers de pas moins de neuf ballades licencieuses, dont les éclats de rire des sept jeunes femmes présentes indiquent à l’éviden..

    Le decorum chez l’Arétin. De la ‘convenance’ aux convenances

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    Actes des journées d’étude du 19 octobre 2010 et du 28 mai 2011 réunis par N. DauvoisInternational audienc

    Per Alcide Bonneau, traduttore dei «Ragionamenti» aretiniani: un pioniere ingiustamente dimenticato

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    La passe des papes. Citation de Paul Larivaille : Vie quotidienne des courtisanes en Italie au temps de la Renaissance, Hachette

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    Larivaille Paul. La passe des papes. Citation de Paul Larivaille : Vie quotidienne des courtisanes en Italie au temps de la Renaissance, Hachette . In: Sorcières : les femmes vivent, n°3, 1976. Se prostituer. p. 31

    La passe des papes. Citation de Paul Larivaille : Vie quotidienne des courtisanes en Italie au temps de la Renaissance, Hachette

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    Larivaille Paul. La passe des papes. Citation de Paul Larivaille : Vie quotidienne des courtisanes en Italie au temps de la Renaissance, Hachette . In: Sorcières : les femmes vivent, n°3, 1976. Se prostituer. p. 31

    Castiglione et la « beffa »

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    Quelles qu’aient pu être les raisons qui avaient conduit Castiglione à exclure le terme de beffa et à le remplacer par celui de burla, l’adoption d’un autre mot ne change rien ni au contenu ni au déroulement de l’action. Il y a bien dans le Courtisan censure ou projet de censure de la beffa, de même que des récits facétieux (festive narrazioni) trop vulgaires ou des réparties (motti) excessivement mordantes. Mais loin d’être écartée du traité, la beffa s’y trouve simplement (hypocritement ?) masquée : et qui plus est, parmi les quelques beffe données à titre d’exemples sous le nom de burle, l’innocuité prônée par Castiglione et son porte-parole est parfois beaucoup moins évidente qu’il n’y paraît. Dans son intitulé même, cette étude ne peut qu’enregistrer les préventions nourries par Castiglione vis-à-vis d’un genre – la beffa – que de toute évidence il n’envisage qu’avec beaucoup de circonspection. Si l’enjouement fait figure, en son traité, de qualité fort recherchée, […] la beffa y occupe une place des plus restreintes, et y prend moins l’allure d’une réalité vivante que d’un jeu convenu et d’une référence obligée
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