Soybean maturity group and planting date effects on seed yield and population densities of Heterodera glycines

Au cours de deux séries d'expérimentations factorielles ont été étudiés les effets de la classe de précocité et de la date du semis du soja sur les rendements en grains du soja et sur les taux de populations d'#Heterodera glycines$, le nématode à kyste du soja (SCN). La première série d'expérimentations a évalué les effets de semis en mai ou juin pour des cultivars de soja appartenant à deux classes de précocité (V et VI, hâtive et tardive), avec ou sans traitement nématicide, dans quatre localisations différentes (environnements différents) de la Caroline du Nord en 1986 et 1987. La deuxième série d'expérimentations a comparé les effets de trois dates de semis (avril, mai et juin) pour des cultivars de soja appartenant à quatre classes de précocité (IV à VII) dans six localisations différentes, de 1989 à 1992. Les semis tardifs ont provoqué une diminution significative (P < 0.05) des taux de population initiale (Pi) du SCN. La date de semis provoque un effet généralement significatif, mais impossible à prédire, sur les taux de population finale (Pf) du SCN. Les différences liées aux dates de semis et aux localisations des expérimentations sont probablement à l'origine des taux de Pf plus ou moins élevés. Le taux de Pf du SCN a été toujours plus élevé (P < 0.0001) avec les cultivars tardifs qu'avec les cultivars précoces. Les rendements du soja ont été plus élevés avec des semis précoces et avec des traitements nématicides (P < 0.05), mais pas avec des semis tardifs, probablement en relation avec la baisse des taux de Pi du SCN associée aux semis tardifs. Les semis effectués à la mi-mai correspondent généralement aux meilleurs rendements du soja. (Résumé d'auteur

Identifying New Sources of Resistance to Brown Stem Rot in Soybean

Brown stem rot (BSR), caused by the fungus Phialophora gregata f. sp. sojae (Allington & D.W. Chamberlain) W. Gams (syn. Cadophora gregata), causes yield losses up to 38%. Three dominant BSR-resistant genes have been identified: Rbs1, Rbs2, and Rbs3. Additional BSR resistance loci will complement breeding efforts by expanding the soybean [Glycine max (L.) Merr.] genetic base. The objective of this research was to determine if PI 594637, PI 594638B, PI 594650A, and PI 594858B contained novel BSR resistance genes. The accessions were crossed to three genotypes with known BSR resistance genes and populations were developed for allelism studies. A minimum of 60 F2:3 families tracing to individual F2 plants in each population were used, and six seeds from each F2:3 family were tested. Resistant and susceptible controls and parents were also included. The BSR symptoms were assessed under growth chamber conditions 5 wk after inoculation by measuring foliar and stem severities and recovery of P. gregata from stem sections. Allelism tests of F2:3 plants from crosses of PI 594638B, PI 594858B, and PI 594650A with the resistant sources fit a 15:1 ratio, indicating that the resistant gene possessed by each of the PIs was nonallelic to Rbs1, Rbs2, and Rbs3. The three PIs contain at least one novel BSR resistance gene and have the potential to serve as donors to elite germplasm, increasing stability of host resistance to P. gregata. Allelism tests of PI 594637 segregated in a 3:1 ratio and no significant difference was found between PI 594637 and the susceptible controls, indicating that PI 594637 is susceptible to BSR

Soybean maturity group and planting date effects on seed yield and population densities of Heterodera glycines

Au cours de deux séries d'expérimentations factorielles ont été étudiés les effets de la classe de précocité et de la date du semis du soja sur les rendements en grains du soja et sur les taux de populations d'#Heterodera glycines$, le nématode à kyste du soja (SCN). La première série d'expérimentations a évalué les effets de semis en mai ou juin pour des cultivars de soja appartenant à deux classes de précocité (V et VI, hâtive et tardive), avec ou sans traitement nématicide, dans quatre localisations différentes (environnements différents) de la Caroline du Nord en 1986 et 1987. La deuxième série d'expérimentations a comparé les effets de trois dates de semis (avril, mai et juin) pour des cultivars de soja appartenant à quatre classes de précocité (IV à VII) dans six localisations différentes, de 1989 à 1992. Les semis tardifs ont provoqué une diminution significative (P < 0.05) des taux de population initiale (Pi) du SCN. La date de semis provoque un effet généralement significatif, mais impossible à prédire, sur les taux de population finale (Pf) du SCN. Les différences liées aux dates de semis et aux localisations des expérimentations sont probablement à l'origine des taux de Pf plus ou moins élevés. Le taux de Pf du SCN a été toujours plus élevé (P < 0.0001) avec les cultivars tardifs qu'avec les cultivars précoces. Les rendements du soja ont été plus élevés avec des semis précoces et avec des traitements nématicides (P < 0.05), mais pas avec des semis tardifs, probablement en relation avec la baisse des taux de Pi du SCN associée aux semis tardifs. Les semis effectués à la mi-mai correspondent généralement aux meilleurs rendements du soja. (Résumé d'auteur