87 research outputs found

    New business histories! Plurality in business history research methods

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    We agree with de Jong et al.'s argument that business historians should make their methods more explicit and welcome a more general debate about the most appropriate methods for business historical research. But rather than advocating one ‘new business history’, we argue that contemporary debates about methodology in business history need greater appreciation for the diversity of approaches that have developed in the last decade. And while the hypothesis-testing framework prevalent in the mainstream social sciences favoured by de Jong et al. should have its place among these methodologies, we identify a number of additional streams of research that can legitimately claim to have contributed novel methodological insights by broadening the range of interpretative and qualitative approaches to business history. Thus, we reject privileging a single method, whatever it may be, and argue instead in favour of recognising the plurality of methods being developed and used by business historians – both within their own field and as a basis for interactions with others

    Re-imagining Capitalism -from the perspective of international business-

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    特集Ⅰ : 日本経済の再構築 -日本企業と地方の課題-Special IssueⅠ : Japan\u27s Economic Reconstruction : The Agenda of Global Business and Local Governments\n第1部 基調講演 : グローバル資本主義社会の再考と日本企業への示唆第2部 パネルディスカッションPart1 Keynote Speech : Re-imagining CapitalismPart2 Panel discussio

    History in organization and management theory: more than meets the eye

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    There has been a growing debate about the role of history in management research with several authors making suggestions on how to bring the two (back) together and others even highlighting the need for a “historic turn”. What we argue in this paper is that, while history was indeed sidelined by the scientization of management since the late 1950s, it started to make a comeback from the 1980s onwards and is increasingly employed in a number of research programs. We stress that the crucial question for management scholars engaging with history (or wanting to do so) is how it relates to theory. First of all, we present a systematic overview of the way history has been used—both at the micro (organizational) and macro-levels of analysis—distinguishing between what we refer to as “history to theory” and “history in theory”. In the former, we consider those research programs, such as (neo-)institutionalism, where history serves as evidence to develop, modify or test theories. In the case of “history in theory” we identify research programs where history or the past are part of the theoretical model itself as a driver or moderator, with “imprinting” as a prime example. Second, we also identify a growing number of studies that go further by displaying what we call “historical cognizance” in the sense of incorporating period effects or historical contingencies into their theorizing efforts. Finally, drawing on our broad overview, we make more specific suggestions for increasing the visibility and influence of history in organization and management theory

    La France et les origines de l’Union européenne

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    À l'heure de l'euro et de la perspective d'un élargissement de l'Union européenne vers l'Est, pourquoi revenir en arrière et examiner en détail l'origine de l'Union européenne : le 9 mai 1950 quand Robert Schuman propose une mise en commun des industries charbonnières et sidérurgiques de la France et de l'Allemagne fédérale ? Matthias Kipping donne une nouvelle perspective à cette étape déterminante de la construction européenne en mettant en évidence l'importance des industries de transformation - automobile et mécanique - en France, industries directement concernées par la Communauté européenne du Charbon et de l'Acier (CECA). Avec leur soutien, Jean Monnet, véritable instigateur de la proposition française, peut ainsi imposer sa vision d'une Europe concurrentielle contre les résistances des sidérurgistes, des fédérations industrielles et d'hommes politiques qui auraient préféré la solution d'ententes directes entre les producteurs, comme dans l'entre-deux-guerres. Par l'histoire d'une rupture, confirmée et complétée lors des étapes suivantes de l'intégration européenne, l'auteur contribue aux débats actuels sur les facteurs déterminants de l'avantage concurrentiel, le rôle des États-Unis et de leurs entreprises comme modèle économique et organisationnel. Enfin, il éclaire le processus complexe de décision au sein d'un État industriel moderne. Comme le souligne dans sa préface Raymond Barre : « Voici un livre qui devrait passionner toute personne qui s'intéresse à l'Europe, mais aussi quiconque cherche à comprendre comment des décisions mûrissent, sont prises et passent dans les faits ».Le Comité pour l'histoire économique et financière est présidé par le ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, son vice-président est Maurice Lévy-Leboyer. a. Commission administrative : Les directeurs et chefs de service du ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, le gouverneur de la Banque de France, le directeur général des Archives de France, le président de la Bibliothèque de France, le président de l'Imprimerie nationale. b. Commission scientifique : Michel Aglietta, Louis Amigues, Agnès d'Angio, Michel Antoine, Guy Antonetti, Jean-Charles Asselain, Françoise Bayard, Louis Bergeron, Jean-Jacques Bienvenu, Christian de Boissieu, Eric Bussière, Jacques Campet, François Caron, Philippe Contamine, Robert Frank, Patrick Fridenson, René Girault (t), Jean-Noël Jeanneney, Jean Kerhervé, Michel Lescure, Maurice Lévy-Leboyer, Michel Margairaz, Jacques Marseille, Yves Mény, François Monnier, Gabriel Montagnier, Alain Plessis, Raymond Poidevin (t), Albert Rigaudière, Guy Thuillier, Jean Tulard, Denis Woronoff. La mission du Comité est de contribuer à une meilleure connaissance de l'histoire de l'État et de son rôle en matière économique et financière depuis le Moyen Âge jusqu'à nos jours, de susciter des travaux scientifiques et d'en aider la diffusion

    Quatrième partie la ratification du traité en France

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    « Monnet pouvait agir de temps en temps comme un conspirateur. Mais en général son approche fut d’une simplicité presque incroyable. En principe, il allait là où il pouvait obtenir ce qu’il voulait obtenir, et s’y présentait. Le seul mystère, c’était le fait qu’il parvenait et qu’il était sûr de parvenir à faire ce que la plupart des gens ne pensait même pas à tenter ».François Duchêne I. LES DIVERGENCES AU SEIN DE L’INDUSTRIE La signature du traité sur la Communauté européenne du charbon et ..

    La Banque européenne d’investissement, de l’idée à la réalité (1949-1968)

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    Introduction Parmi les institutions européennes établies par le traité de Rome, il y a une qui attire très peu l’attention. Il s’agit de la Banque européenne d’investissement (BEI), domiciliée à Luxembourg. Son rôle actuel est néanmoins considérable. Avec 29,5 milliards d’euros de prêts et 30,1 milliards d’euros d’emprunts sur les marchés internationaux de capitaux en 1998, l’institution financière de l’Union européenne occupe une position de leader parmi les institutions financières multilat..
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