37 research outputs found

    Compte rendu bibliographique : Laurence Moal, Auray, 1364. Un combat pour la Bretagne

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    La Bretagne, une terre de châteaux forts ? Un dictionnaire des châteaux médiévaux de Bretagne

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    https://bretagnegp.hypotheses.org/296.Hypothese

    Les châteaux du Léon : entre archéologie et histoire.

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    ISBN : 2-951392-21-4National audienceL'ancien comté et diocèse de Léon compta quelques dizaines de châteaux d'importance très variable. Leur étude s'appuie à la fois sur l'archéologie et sur l'examen des sources écrites

    Finistère. Les fortifications médiévales du Finistère

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    Kernévez Patrick. Finistère. Les fortifications médiévales du Finistère. In: Archéologie médiévale, tome 25, 1995. pp. 325-326

    Les trois vies du château de Guémené-sur-Scorff

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    International audiencePlusieurs auteurs se sont intéressés à l’histoire et à l’architecture du château de Guéméné-sur-Scorff parfois décrit comme étant « l’un des plus importants de Bretagne ». Citons notamment les écrits de Joseph-Marie Le Méné en 1891 et 1915, Hervé du Halgouët en 1925, Paul Le Bourlais en 1963 et Charles Floquet en 1989. La contribution la plus importante est cependant contenue dans les notes manuscrites de Léonce Modille de Villeneuve, véritable « clerc-archéologue », auteur des observations archéologiques opérées lors du démantèlement du château, vers 1926-1931, dont le manuscrit vient d’être publié. Notre propos se limite à une mise en perspective de ces données parfois anciennes et à quelques remises en cause, en fonction des progrès de la recherche historique, sans pour autant initier une étude approfondie qui exigerait de reprendre un dossier à la fois architectural, archéologique et historique

    La mort des châteaux forts en Bretagne (Xe-XXIe siècle)

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    Finistère. Les fortifications médiévales du Finistère

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    Kernévez Patrick. Finistère. Les fortifications médiévales du Finistère. In: Archéologie médiévale, tome 25, 1995. pp. 325-326

    Des marges et des châteaux : l’exemple de la Bretagne médiévale

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    Avec la collaboration de Gary German et Hélène TétrelInternational audienceLes châteaux majeurs de Bretagne ont constitué des pôles de commandement parfois édifiés dans d’anciens centres de pouvoir comme les chefs-lieux de cité ou des sites déjà fortifiés ou occupés antérieurement qui n’ont pas toujours formellement été identifiés comme tels, faute d’investigations archéologiques. Les constructeurs des forteresses ont fréquemment privilégié les implantations le long des fleuves qui constituaient les limites, les marges, entre les pagi minores, subdivision des comtés et des diocèses. Ils ont ainsi contribué à la disparition de ces anciennes circonscriptions au profit des nouvelles, les châtellenies, et de nouveaux chefs-lieux, les bourgs castraux, pour assurer leur autorité et l’ordre public plutôt qu’à des fins militaires et stratégiques. Les maîtres de ces nouveaux centres ont organisé des réseaux avec des châteaux secondaires et des réseaux de mottes, d’enceintes ou de maisons fortes, tenus par des vassaux astreints au service militaire. Des marges sont apparues en lisière de ces ensembles mais ont pu à leur tour connaître l’édification de forteresses, « verrous » ou point de fixation d’une nouvelle entité en cas de succès ou « motte anonyme » en cas d’échec. Ces retranchements innombrables situés dans les marges sont souvent privés d’histoire tant ils ont été éphémères, tout comme les velléités de certains lignages confrontés à plus puissants qu’eux, victimes d’un accident généalogique ou encore trop nombreux pour favoriser l’émergence d’une famille plutôt qu’une autre. La géographie féodale bretonne a été bien mouvante avant le XIIIe siècle, occasionnant la disparition ou le déclassement de ces retranchements restés en marge, à défaut d’avoir durablement servi à l’expansion d’un lignage

    Le Roc’h Morvan (La Roche-Maurice) et les rocas, roches ou roc’h bretons

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    International audienceDe nombreux inventaires ont été consacrés aux châteaux, aux mottes et aux fortifications médiévales des différentes régions françaises. Les mottes ont souvent focalisé l’attention pour les périodes des XIe et XIIe siècles au point qu’on a pu croire qu’il s’agissait alors de l’archétype du château, un paradigme. C’est oublier que le choix d’un site peut êre conditionné par la topographie : on s’est quelquefois contenté d’aménager ou de retailler les flancs d’une éminence naturelle ou d’un promontoire pour y implanter une forteresse. Dans certains cas, on a édifié une tour au sommet d’un rocher. Ce type de site perché appelé roca (ou rocca) est caractéristique de certaines régions du Massif Central, où ils prédominent au XIe siècle. Il se distingue morphologiquement d’une motte implantée à l’extrémité d’un éperon, dominant la pente naturelle et isolée par un fossé dont les terres ont servi à surhausser le tertre semi-artificiel. L’un comme l’autre ont pu être désignés sous le vocable de « roche », « la roche », roc’h en breton, roca, rocha ou encore rupe en latin. Il est régulièrement associé au nom d’un homme que l’on peut identifier comme étant celui du constructeur du château. Certaines de ces forteresses ont eu une existence éphémère ; d’autres ont pu être occupées plus durablement, donner naissance à un habitat associé ou être dotées de logis neufs à l’époque moderne. Un rapide recensement permet d’identifier plus d’une quinzaine de roches anthroponymiques en Bretagne. Bon nombre de ces sites sont aujourd’hui délaissés, à l’état de ruines, voire éventrés par des carrières. L’un d’eux, La Roche-Maurice, dont l’occupation est attestée du XIIe au XVIIe siècle, a été l’objet d’investigations archéologiques et d’une mise en valeur récentes
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