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    Replanting/underplanting strategy for old coconut plantations in Papua New Guinea

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    Dans la plupart des pays producteurs, la population de cocotiers vieillit et les moyens visant à leur remplacement sont rarement mis en oeuvre pour assurer le maintien de la production et sauvegarde l'avenir de l'industrie et sa rentabilité. La réhabilitation/replantation des cocoteraies et l'adoption de systèmes de cultures associées adaptés est l'un des principaux défis à relever pour l'avenir du cocotier dans la région Asie - Pacifique. L'exemple de la Papouasie-Nouvelle-Guinée (PNG) montre l'un des plus faibles rendements à l'hectare parmi les pays de la zone Asie-Pacifique. On dénombre près de 106 000 ha plantés entre 1910 et 1940, représentant environ 40% de la cocoteraie, et on peut donc envisager la disparition de 80 à 100 000 ha dans les vingt prochaines années. Face à cette prévision, l'Institut de Recherche sur le Cacao et le Cocotier de PNG (CCRI) a entrepris plusieurs actions à partir de la création d'un centre de recherche cocotier sur la Grande Terre de PNG : étude d'une stratégie de replantation des vieilles cocoteraies à partir de matériel végétal hybride, diffusion de matériel végétal amélioré à partir de la création d'un champ semencier et mise au point d'un outil de lutte pour contrôler les populations de ravageurs dans les zones à haut risque. L'expérimentation mise en place sur station vise à optimiser la date d'abattage des vieux arbres en mesurant les effets de compétition avec les hybrides complantés, et à déterminer d'un point de vue économique la meilleure stratégie à appliquer pour la mise en place de programmes de réhabilitation et/ou de replantation des cocoteraies âgées. Les résultats de ces actions sont présentés dans cette communication. (Résumé d'auteur

    INCO Project ERB 18 CT 970199. New technology of pest management against insect pests of oil palm and coconut crops. Research and development of selective trapping using synthetic attractants. Year 2 - Annual report : CCRI report

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    Les études ont porté sur Scapanes australis et Rhynchophorus bilineatus. Le principal objectif était de déterminer le mode de communication de Scapanes. On a maintenant confirmé qu'il était phéromonal. Les Scapanes mâles produisent une phéromone d'agrégation en adoptant une position particulière à l'entrée des galeries, aux premières heures de la nuit. Trois composés ont été identifiés dans cette secrétion. Les essais en champ ont montré que le 2-butanol (Sc1) était un compsé essentiel. De nouvelles informations ont été obtenues sur les lieux de reproduction de Scapanes. De nombreux essais ont été également effectués pour évaluer les réponses de Scapanes et Rhynchophorus aux phéromones synthétiques avec ou non ajout de matière végétale (fibre de coco, canne à sucre) et améliorer le piégeage. Des diffuseurs de phéromones ont été testé
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