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    Pneumocystis jiroveci Dihydropteroate Synthase Genotypes in Immunocompetent Infants and Immunosuppressed Adults, Amiens, France

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    To date, investigations of Pneumocystis jiroveci circulation in the human reservoir through the dihydropteroate synthase (DHPS) locus analysis have only been conducted by examining P. jirovecii isolates from immunosuppressed patients with Pneumocystis pneumonia (PCP). Our study identifies P. jirovecii genotypes at this locus in 33 immunocompetent infants colonized with P. jirovecii contemporaneously with a bronchiolitis episode and in 13 adults with PCP; both groups of patients were monitored in Amiens, France. The results have pointed out identical features of P. jirovecii DHPS genotypes in the two groups, suggesting that in these two groups, transmission cycles of P. jirovecii infections are linked. If these two groups represent sentinel populations for P. jirovecii infections, our results suggest that all persons parasitized by P. jirovecii, whatever their risk factor for infection and the form of parasitism they have, act as interwoven circulation networks of P. jirovecii

    Prise en charge de l'asthme de l'enfant aux urgences pédiatriques du CHU d'Amiens (étude sur l'année 2001)

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    L'asthme est la maladie chronique la plus fréquente de l'enfant dans le monde occidental. Sa prévalence est en constante progression. Il se définit comme une affection inflammatoire chronique des voies aériennes dans laquelle interviennent de nombreuses cellules. Chez des sujets prédisposés, cette inflammation provoque des épisodes de sibilance, de dyspnée, de toux, habituellement associés à un trouble ventilatoire obstructif d'intensité variable, réversible, au moins partiellement, spontanément ou sous traitement et une hyper-réactivité bronchique non spécifique à divers stimuli. Les services d'accueil et d'urgences pédiatriques doivent faire face à l'heure actuelle à une augmentation de leur activité médicale. Les exacerbations de l'asthme y tiennent une grande place car elles sont le motif fréquent de consultation avec un taux élevé d'hospitalisations. L'objectif de cette étude faite aux urgences pédiatriques du CHU d'Amiens sur l'année 2001 est d'analyser le mode de recours aux soins, l'état de santé et la qualité de prise en charge des enfants consultant pour l'asthme. Les résultats montrent que le service d'urgences pédiatriques doit assurer une prise en charge optimale de la crise d'asthme, prendre une part décisive dans l'initiation du suivi au long cours. De plus, il constitue un important indicateur épidémiologique de la maladieAMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    LES ACCIDENTS DE LA VOIE PUBLIQUE CHEZ L'ENFANT (A PARTIR DE 333 OBSERVATIONS ET REVUE DE LA LITTERATURE)

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    AMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Les pneumopathies interstitielles diffuses de l'enfant (Ă  propos de 19 cas au CHU d'Amiens)

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    Les pneumopathies interstitielles diffuses sont rares chez l'enfant, elles sont souvent méconnues et sous estimées. Il s'agit d'un groupe hétérogène d'affections correspondant à une réponse tissulaire excessive au niveau de l'interstitium inter alvéolaire allant de l'alvéolite aigue à la fibrose interstitielle irréversible. Elles se caractérisent par une clinique frustre et non spécifique, un infiltrat pulmonaire diffus, une atteinte restrictive et des échanges gazeux anormaux. Notre travail avait pour but de faire le point sur cette pathologie au CHU d'Amiens par une étude rétrospective sur 20 ans. Nous avons donc travaillé sur 19 dossiers. Le diagnostic est évoqué le plus souvent à la suite d'une symptomatologie respiratoire ayant amené à réaliser un cliché thoracique, mais dans un certain nombre de cas, en particulier dans l'histiocytose langerhansienne, l'atteinte pulmonaire est de découverte fortuite lors d'un bilan pulmonaire systématique. La démarche diagnostique doit être rigoureuse et complète afin de permettre un diagnostic précis. Les explorations paracliniques sont une grande aide au diagnostic mais l'étude histologique est souvent indispensable. Dans notre travail la réalisation d'une biopsie pulmonaire n'a été réalisée que dans 16% des cas mais une étude anatomopathologique a été réalisée chez 63% des enfants. Les traitements ont fait le plus souvent appel à la corticothérapie orale (68% des cas). Le pronostic pulmonaire fut mauvais pour 4 enfants et nous avons eu deux décès. Notre travail nous a permis de constater la faible prévalence des pneumopathies interstitielles au CHU d'Amiens. Les pneumopathies interstitielles diffuses de l'enfant continue d'être un challenge pour le pédiatre car son diagnostic reste difficile et la prise en charge thérapeutique est loin d'être optimale et elle évolue peu. Ces difficultés font que les pneumopathies interstitielles gardent souvent un pronostic réservéAMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Bronchiolite aiguë du nourrisson (étude prospective de 232 cas pris en charge au CHU d'Amiens du 1er décembre 2001 au 28 février 2002)

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    Afin d'harmoniser la prise en charge thérapeutique de la bronchiolite aiguë du nourrisson, qui faisait jusqu'alors l'objet de grandes disparités, l'Agence Nationale d'Accréditation et d'Evaluation en Santé (ANAES) organisait en septembre 2000 une conférence de consensus. Cette étude prospective réalisée durant l'hiver 2001-2002 au sein de l'unité d'accueil des urgences pédiatriques du C.H.U d'Amiens a permis de mesurer l'impact épidémiologique de cette pathologie dans le département de la Somme, avec 232 cas inclus, ne présentant pas de variations significatives par rapport aux études antérieurement publiées (sexe ratio = 1.07, âge moyen 6.27). Notre étude a également permis d'évaluer la portée des recommandations émises par l'ANAES, auprès des différents intervenants de la filière de soin et objective des résultats encourageants quant à la place de la kinésithérapie et des mesures générales, mais il persiste, toutefois dans de moindres proportions que dans les études précédemment menées, une prescription importante en ville des corticoïdes (24%), des antibiotiques (40%) et des mucolytiques (46%). La place des bronchodilatateurs inhalés reste controversée, notre centre faisant partie de ceux continuant à les utiliser chez les sujets répondeursAMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Utilisation du test de diagnostic rapide des angines à streptocoque A dans le service des urgences pédiatriques du CHU d'Amiens

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    L'angine aiguë est un motif de consultation fréquent en médecine. Une origine virale est retrouvée dans 50 à 90% des cas. Le streptocoque du groupe A est à l'origine des principales angines bactériennes. C'est lui qui pose le problème au médecin qui doit traiter une angine. En effet cette bactérie entraîne des complications graves mais rares (RAA). Pendant longtemps, en l'absence d'outils adaptés au diagnostic des angines à Streptocoque du groupe A, l'attitude était de traiter toutes les angines, par des antibiotiques. Mais le TDR est devenu un outil indispensable pour la prise en charge des angines. Il est utilisé en France depuis octobre 2002 afin de ne traiter par antibiotiques, que les angines à Streptocoque A. Ceci a pour but de réaliser une économie conséquente et de prévenir l'augmentation croissante des résistances aux antibiotiques. Actuellement l'Afssaps recommande de pratiquer un TDR pour tous les enfants et pour les adultes ayant un score de Mac Isaac supérieur ou égal à 2. Elle recommande de traiter uniquement les angines lorsque le TDR est positif. Notre étude rétrospective concerne 320 enfants (âgés de 6 mois à 15 ans), ayant eu un TDR aux urgences pédiatriques du CHU d' Amiens pendant la période de novembre 2002 à novembre 2003. Nous retrouvons 23,75% d'angines à Streptocoque bêta hémolytique du groupe A. Le TDR s'est avéré un test fiable, reproductible et facile d'utilisation pour la population pédiatrique. Il a permis une diminution de 65% de la prescription des antibiotiques. Nos résultats nous montrent qu'il serait possible d'adapter les recommandations de l'Afssaps de l'adulte à l'enfant de 3 à 15 ans, en utilisant le score de Mac Isaac. Ainsi un score inférieur à 2 permettrait de ne pas utiliser le TDR, tout en sachant que 5,3% des enfants atteints du SBGA ne seraient pas dépistés. Notre étude montre qu'il existe des angines à Streptocoque Bêta hémolytique du groupe A chez des enfants âgés de moins de 3 ans. Il serait donc intéressant de réaliser une étude prospective à grande échelle dont l'objectif serait d'étudier l'utilité du score de Mac Isaac et du TDR pour les enfants de moins de 3 ans.AMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Intérêts du dosage de la procalcitonine aux urgences pédiatriques dans les infections ORL et pulmonaires de l'enfant

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    La procalcitonine (PCT) est considérée comme un nouveau marqueur de l'infection bactérienne. Elle a fait l'objet de nombreuses études chez l'enfant, notamment dans les méningites, les pyélonéphrites et en réanimation. Nous nous sommes intéressés au dosage de la PCT dans les infections ORL (angines, otites, rhinopharyngites...) et dans les infections pulmonaires (bronchiolites, bronchites, pneumopathies). L'objectif était de savoir si la PCT pouvait aider à discerner les infections sévères des infections localisées, à distinguer les étiologies virales et bactériennes et éventuellement réduire la prescription d'antibiotique. L'étude inclut 269 enfants ayant consulté aux urgences pédiatriques durant une période de 6 mois. Les résultats ont montré une PCT significativement plus élevée dans les pneumopathies (moyenne 6 ng/mL) que dans les autres pathologies (moyenne < 1 ng/mL). Dans les infections localisées comme les otites, les angines, les bronchiolites, la PCT se révèle peu discriminative car elle est souvent normale ou peu augmentée quel que soit l'agent causal. Parmi les enfants ayant une PCT comprise entre 0.5 et 2 ng/mL, 49 % n'ont pas été traités par antibiotique et n'ont pas présenté de complications. La PCT n'apparaît pas dans les infections ORL et dans certaines infections pulmonaires de l'enfant comme un marqueur pouvant différencier l'étiologie virale et bactérienne et de ce fait réduire la prescription d'antibiotique. Cependant, une PCT supérieure à 2 ng/mL doit faire rechercher une infection invasive. De nouvelles études sont nécessaires pour préciser des valeurs seuils de positivité et optimaliser l'utilisation de la PCT aux urgences.AMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Genotypes at the Internal Transcribed Spacers of the Nuclear rRNA Operon of Pneumocystis jiroveci in Nonimmunosuppressed Infants without Severe Pneumonia

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    The frequency of Pneumocystis jiroveci (human-derived Pneumocystis) in immunocompetent infants developing acute respiratory syndromes has recently been evaluated and has been shown to be close to 25%. Until now, there have been no data on the genomic characteristics of the fungus in these patients, while molecular typing of P. jiroveci organisms was mostly performed with samples from immunosuppressed patients with pneumocystosis (Pneumocystis carinii pneumonia [PCP]). The present report describes the genotypes of P. jiroveci organisms in 26 nonimmunosuppressed infants developing a mild Pneumocystis infection contemporaneously with an episode of bronchioloalveolitis. The typing was based on sequence analysis of internal transcribed spacers (ITSs) 1 and 2 of the rRNA operon, followed by the use of two typing scores. By use of the first score, 11 P. jiroveci ITS types were identified: 10 were previously reported in immunosuppressed patients with PCP, while 1 was newly described. By use of the second score, 13 types were identified, of which 2 were newly described. The most frequent type was identified as type B(1)a(3) (first score), which corresponds to type Eg (second score). Mixed infections were diagnosed in three infants. The occurrence of such diversity of P. jiroveci ITS types, an identical main type, and mixed infections has previously been reported in immunosuppressed patients with PCP. Thus, the P. jiroveci ITS genotypes detected in immunocompetent infants and immunosuppressed patients developing different forms of Pneumocystis infection share characteristics, suggesting that both groups of individuals make up a common human reservoir for the fungus. Finally, the frequency of P. jiroveci in nonimmunosuppressed infants with acute respiratory syndromes and the genotyping results provide evidence that this infant population is an important reservoir for the fungus
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