37 research outputs found

    Étude de l’épuration pulmonaire chez l’homme aprĂšs administration d’aĂ©rosols de particules radioactives

    No full text
    A l’occasion de bilans fonctionnels respiratoires, l’étude de l’épuration du poumon profond a Ă©tĂ© effectuĂ©e sur deux groupes de sujets, composĂ©s, l’un, de 20 sujets normaux, l’autre, de 18 sujets atteints pour la plupart d’affections diverses : sarcoĂŻdose, tuberculose, bronchite chronique, et pneumoconiose. Chaque groupe comprend des sujets fumeurs et non fumeurs. Le produit administrĂ© sous forme d’aĂ©rosol est pour le premier de l’or 198, pour le deuxiĂšme des billes de polystyrĂšne marquĂ©es au chrome 51. Les mesures effectuĂ©es Ă  l’aide d’une installation de spectromĂ©trie gamma pour l’ensemble du corps, Ă  bas niveau d’activitĂ©, ont Ă©tĂ© conduites pendant plusieurs semaines ou plusieurs mois. Les courbes de rĂ©tention sont d’allure exponentielle, et les pĂ©riodes calculĂ©es sont comparĂ©es Ă  diverses donnĂ©es : Ăąge, sexe, profession, consommation de tabac, Ă©preuves spiromĂ©triques, Ă©tiologie dans le cas des malades. La pĂ©riode biologique normale est voisine de 68 jours : elle est augmentĂ©e de façon significative par la consommation de tabac : elle est allongĂ©e Ă©galement dans les Ă©tats pathologiques considĂ©rĂ©s, exceptĂ© dans la sarcoĂŻdos

    Radiopathologie

    No full text
    C'est dans une perspective clinique que les auteurs analysent les principales questions relatives à la radiopathologie, branche des sciences médicales qui étudie les lésions induites par les rayonnements, en vue essentiellement du diagnostic et du traitement. AprÚs avoir évoqué la question de la radiosensibilité et le problÚme des risques consentis en pratique médicale, ils analysent les cas relatifs aux accidents aigus locaux, à l'irradiation globale aiguë, aux modifications tardives provoquées par les rayonnements et aux contaminations interne et externe

    Effect of intra-articular Botulinum toxin injections on temporo-mandibular joint pain

    No full text
    International audienceTemporo-mandibular joint dysfunction can be painful and disabling. In some cases, it is refractory to classical treatment. Intra-articular Botulinum toxin injections have been shown to have an anti-inflammatory and analgesic effect. The aim of this study was to evaluate the effectiveness of such injections on severe, refractory temporo-mandibular joint pain. This was a retrospective study. Patients were included if they still had joint pain≄5 on a Visual Analogue Scale following completion of all other treatments. A complete treatment protocol (including physiotherapy, tongue splints, intra muscular injections of Botulinum toxin and injections of hyaluronic acid, excluding surgery) having being done before the injection of 30 Botox* units (Botulinum toxin A), the treatment being considered clinically successful if the Visual Analogue Scale decreases by at least 2 points. Seventy-seven patients were included. Sixty-six percent of patients have a significant reduction in pain at 1 month which lasted at least until 3 months. Mouth opening and quality of life also improved. Moreover, no complications were reported. Further randomized, controlled studies are needed to confirm the results, however this study suggests intra-articular injection of Botulinum toxin is a safe and effective treatment for severe, refractory temporo-mandibular joint pain, avoiding surgery

    Dysfonction de l’appareil manducateur : approches rĂ©Ă©ducative et posturale

    No full text
    International audienceRehabilitation of temporomandibular joint dysfunctions has for a long time tried to treat symptoms: pain relief, joint kinetics restoration, disk re-capture by manual maneuvers. The authors present their own therapeutic approach, which is no longer limited to symptoms, but addresses the causes and identifies risk factors to prevent relapse

    Etude prospective de la symptomatologie clinique précoce aprÚs irradiation corporelle totale thérapeutique de 2 Gy

    No full text
    La tolérance humaine précoce d'une irradiation corporelle totale (ICT) en fonction de la dose reçue n'est principalement connue que par le biais d'études rétrospectives. Nous avons étudié de maniÚre prospective la Symptomatologie clinique de 13 patients bénéficiant d'une ICT à visée thérapeutique, dans le cadre d'un conditionnement avant greffe de moelle osseuse. Tous ces patients sauf un étaient traités pour une hémopathie maligne et étaient en rémission clinique au moment de l'ICT. La moyenne d'ùge était de 43 ans et on comptait 3 femmes pour 10 hommes. L'ICT débutait par une fraction de 2 Gy délivrée le matin et l'évaluation clinique portait sur les 10 premiÚres heures suivant cette séance. Les nausées et vomissements étaient systématiquement prévenus par le granisétron intraveineux à raison de 3 mg, 1 h avant le début de l'ICT. Les principaux effets secondaires constatés sont la somnolence (69 %), les céphalées (62 %), la sécheresse buccale (62 %), les nausées et vomissements (46 %), l'anorexie (38 %), la douleur parotidienne (23 %) et les douleurs abdominales (8 %). Ces symptÎmes ont toujours été modérés, excepté pour 2 patients atteints de vomissements rebelles. Ces informations permettront d'évaluer plus précocement et plus précisément la dose reçue au cours d'une irradiation accidentelle. En particulier, la présence d'une fiÚvre supérieure à 38 °C à la 6e heure ne plaidera pas en faveur d'une dose d'irradiation inférieure ou égale à 2 Gy
    corecore