L’ADN et la vie

Le mot « vie », qui joue dans notre pensée un rôle autrement plus fondamental que celui de phlogistique, n’est lui aussi qu’un cache-misère conceptuel… La découverte de l’ADN élimine toutes les difficultés relatives au concept de vie, en fondant la distinction entre les objets inanimés et les êtres vivants non sur un « principe vital », mais sur la présence d’une molécule sans mystère

Hébert Jean-Pierre — Race et intelligence; Eysenck HJ — L'inégalité de l'homme

Jacquard Albert. Hébert Jean-Pierre — Race et intelligence; Eysenck HJ — L'inégalité de l'homme. In: Population, 33ᵉ année, n°2, 1978. p. 472

Population genetics

Le fait que l'on puisse distinguer plusieurs races au sein de l'espèce humaine est une idée reçue. Cet article donne des arguments pour le démontrer et exlique précisément comment calculer la distance génétique entre des populations et des individus

Préparer demain

L'espace qui les entoure a toujours semblé aux hommes illimité. Face aux difficultés rencontrées dans un environnement devenu hostile ou dépourvu des ressources nécessaires, ils allaient chercher ailleurs un domaine plus accueillant. La plupart des cultures imaginent un pays de cocagne qu'il suffirait d'atteindre pour ne plus avoir à supporter les privations quotidiennes. Aller ailleurs est la solution miracle ; d'où les aventures des grands conquérants, Attila, Genghis Khan, Tamerlan. Encore..

Nei Masatoshi — Molecular population genetics and evolution

Jacquard A. Nei Masatoshi — Molecular population genetics and evolution. In: Population, 32ᵉ année, n°1, 1977. pp. 208-209

Ruffie Jacques — De la biologie à la culture

Jacquard Albert. Ruffie Jacques — De la biologie à la culture. In: Population, 32ᵉ année, n°3, 1977. pp. 721-722

Panmixie et structure des familles

Les études génétiques de population seraient certainement très simplifiées si les familles avaient toutes la même dimension, c'est-à-dire le même nombre d'enfants. Comme il n'en est pas ainsi et comme le souci de simplicité reste impérieux, les généticiens font souvent intervenir la variance de la dimension de la famille. Celle-ci se révèle elle-même souvent insuffisante et conduit à étudier de plus près la loi de la répartition selon le nombre d'enfants. M. A. Jacquard, chef de recherches à l'I.N.E.D., montre ici que la loi de Poisson, souvent utilisée, peut être reliée, au prix de certaines hypothèses, au concept de panmixie.Jacquard A. Panmixie et structure des familles. In: Population, 25ᵉ année, n°1, 1970. pp. 69-76