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    Introduction Ă  la mycologie en zones tropicales

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    Troisième partie : Maladies fongiques</p

    Microbiological characteristics of clinical isolates of Cryptococcus spp. in Bahia, Brazil: molecular types and antifungal susceptibilities

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    To determine the profiles of susceptibility to antifungal and the genotypes of clinical isolates of Cryptococcus in Bahia, Brazil, 62 isolates were collected from cases of meningitis in the period from 2006 to 2010. Their susceptibilities to fluconazole, itraconazole, amphotericin B and 5-flucytosine were determined by the broth microdilution technique described by the Clinical and Laboratory Standards Institute and genotyping of the URA5 gene was accomplished by restriction fragment length polymorphism. C. neoformans accounted for 79% of the identified yeast and C. gattii represented the remaining 21%. Evaluation of the genotypes determined that 100% of the C. gattii isolates belong to the VGII genotype, and 98% of the C. neoformans isolates belong to the VNI genotype. Determination of susceptibility revealed isolates resistant to fluconazole (4.8%), 5-flucytosine (1.6%) and amphotericin B (3.2%); the stratification of sensitivity results for each species showed significant differences in susceptibility to azoles. This study is the first to describe the susceptibility profiles of molecular and clinical isolates of Cryptococcus in Bahia, Brazil. The high percentage of C. gattii isolates belonging to the VGII genotype and its lower susceptibility to antifungal agents highlight the importance of knowing which species are involved in cryptococcal infections in northeastern Brazil

    Evolution and pathology in Chagas disease: a review

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    La transition épidémiologique des mycoses en Afrique subsaharienne : de la surface vers la profondeur

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    International audienceLes champignons sont à l'origine de pathologies infectieuses regroupées classiquement en trois grandes caté-gories : mycoses superficielles, sous-cutanées, profondes, et la transition épidémiologique en Afrique subsaharienne n'a pas les mêmes conséquences pour ces trois groupes de pathologies. Dans les zones tropicales, les mycoses superfi-cielles dues aux champignons dermatophytes ou à Malasse-zia (Pityriasis versicolor) sont fréquentes, connues de lon-gue date, et liées aux conditions climatiques ainsi qu'à la promiscuité. Plus rares, les mycoses sous-cutanées sont des maladies principalement dues à des champignons dimorphi-ques présents dans le milieu extérieur et pénétrant l'orga-nisme humain par des effractions cutanées. Ces derniers champignons sont à l'origine de pathologies souvent chroni-ques comme les chromoblastomycoses, les rhinoentomoph-toromycoses ou les mycétomes, d'aspects spectaculaires, et elles aussi bien connues des praticiens. Les mycoses profon-des (ou systémiques ou invasives) posent un problème diffé-rent. Il s'agit de pathologies qui touchent des sites profonds et a priori stériles, avec des conséquences rapidement dra-matiques pour le patient. Si l'un des exemples les plus mar-quants a été la flambée de la cryptococcose neuro-méningée dans le cadre de l'épidémie VIH, d'autres mycoses profon-des sont à présent à redouter. Il s'agit en effet de pathologies qui surviennent dans des conditions épidémiologiques parti-culières, actuellement plus le fait des pays industrialisés mais en passe de s'installer à présent en Afrique. L'augmentation de maladies telles que le diabète, l'allongement de la durée de vie et des pathologies afférentes, le développement des prises en charge thérapeutique comme les réanimations intensives, les chimiothérapies ou à présent les transplanta-tions, sont tous des événements associés à des conditions immunosuppressives favorisant la pénétration des champi-gnons dans l'organisme. Compte tenu de l'évolution médi-cale du continent, ces mycoses profondes vont croître dans les années à venir comme elles ont crû dans les pays du nord ces 20 dernières années ; d'une part les conséquences d'un tel événement ne sont pas seulement cliniques : les démar-ches et méthodes de diagnostic sont différentes des autres mycoses, la recherche et l'identification des champignons se faisant dans un contexte d'urgence, sous peine d'une mor-talité frôlant les 100 % dans certaines conditions ; d'autre part la prise en charge en est également particulière, avec des médicaments de maniement délicat, souvent onéreux, et des patients sous haute surveillance pendant de longues périodes, ce qui majore d'autant le coût. Il faut dès à présent anticiper à tous les niveaux ces nouvelles entités cliniques que sont les mycoses profondes, nouvelle rançon du déve-loppement socio-économique de l'Afrique intertropicale. Mots clés Mycoses invasives · Diagnostic · Traitement · Afrique subsaharienne Abstract Fungi are schematically responsible for three distinct kinds of infections: superficial mycoses, subcutaneous and deep ones. The current socio-epidemiological transition observed in sub-Saharan Africa does not actually lead to similar consequences regarding these three categories of fungal entities. For instance, it has long been known that superficial mycoses are very prevalent in tropical areas, since they are partly due to the warm climate and the promiscuity. They are mostly caused by dermatophytic fungi or Malassezia sp. (Pityriasis versicolor). Subcutaneous mycoses are rarer, and usually due to dimorphic fungi which are accidentally ino-culated into the body after a skin injury or a trauma. Sometimes very spectacular, the clinical outcome is then described as chronic. Thus, chromoblastomycosis, rhinoentomophto-romycosis or mycetoma are some examples of subcutaneous mycoses which remain well-known by practitioners of ende-mic countries. Deep mycoses (or invasive / systemic myco-ses) are defined by fungal infections of deep anatomical sites J. Chandenier (*) · G. Desoubeaux Parasitologie-mycologie-médecine tropicale

    Sur les Trypanosomes d’oiseaux Estrildidae

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    Les auteurs rapportent les résultats d’une étude réalisée chez 22 Estrilda melpoda et 4 Estrilda astrild.Neuf oiseaux sont trouvés parasités par des Trypanosomes. Il s’agit de quatre espèces différentes dont l’une est connue (T. everetti) et trois sont nouvelles et nommées (T. chabaudi, T. david-molineuxi, T. gentilinii). Plusieurs infections mixtes sont constatées.Le suivi des infections révèle le monomorphisme de chaque espèce dans le sang circulant de leur hôte. Il est suggéré que le polymorphisme décrit dans diverses publications provient d’un polyparasitisme et non d’un polymorphisme vrai

    n. sp., parasite du passeriforme

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    Sur les Trypanosomes d’oiseaux Estrildidae

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    Une étude biologique des quatre Trypanosomes d’Estrildidae décrits dans un précédent travail (Chandenier et coll., 1988) est réalisée. Chez Culicoides nubeculosus, le développement complet de ces parasites s’effectue en sept jours. L’apparition des formes trypomastigotes infestantes est précédée d’une intense phase de multiplication du parasite sous forme amastigote. Les formes infestantes sont par ailleurs obtenues en treize jours en culture sur milieu NNN. La transmission des Trypanosomes à des Oiseaux sains est tentée à plusieurs reprises. Dans deux cas sur huit essais, une parasitémie satisfaisante est obtenue et un nouveau passage est tenté. De façon étonnante, ces Trypanosomes nouvellement apparus se révèlent incapables de se développer, tant en culture que chez le Culicoïde. L’absence d’un facteur indispensable à la maturation complète des parasites est l’hypothèse retenue pour tenter d’expliquer ce fait

    Sur la transmission expérimentale des Trypanosomes de Passériformes par culicoïdes

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    Trente expériences de transmission de Trypanosoma chabaudi et de T. davidmolyneuxi par Culicoides nubeculosus ont été réalisées : elles ont apporté les renseignements suivants sur le cycle expérimental chez le vecteur et l’Oiseau : a) la spécificité pour l’hôte vertébré est faible; des transmissions croisées entre différentes espèces d’Oiseaux appartenant à deux familles (Estrildidae et Fringillidae) ont été réalisées; b) la parasitémie (1 à 10 parasites par 10 µl) et la morphologie du parasite chez les Oiseaux sont stables ;toute variation de la morphologie ou du taux de parasitémie entraînent l’impossibilité pour les Trypanosomes de se développer chez le vecteur ; c) à l’exception de la voie trans-conjonctivale, toutes les autres voies d’infestation éprouvées (SC, IM, IP, PO) sont efficaces.L’ensemble des observations amènent les auteurs à conclure que, dans des conditions normales, les Trypanosomes ne se multiplient pas chez l’Oiseau
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