70 research outputs found

    Hygiène des Fruits de Mer consommés dans la région algéroise

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    Identification et étude des activités métaboliques de 290 souches de bacillus isolées à partir de divers milieux aquatiques

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    Il ressort de l'étude de deux cent quatre-vingt-dix souches de Bacillus provenant de quatre milieux aquatiques différents : lac hypersalé, atoll du Pacifique, eaux de rivières et de mer, que dix espèces prédominent, les plus fréquentes étant B. cereus, B. megaterium, B. licheniformis, B. subtilis ; les espèces B. pumilus, B. firmus, B. lentus, B. laterosporus, B. brevis et B. sphaericus sont présentes, mais fréquemment isolées. En fonction des milieux étudiés certaines espèces sont favorisées ; au sein de chaque espèce des différences portant sur les caractères biochimiques sont notées en fonction de l'environnement

    Etude du métabolisme de l'atrazine sur lignées cellulaire d'hépatomes et sur microsomes hépatiques

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    L'atrazine est un des herbicides les plus couramment utilisés en agriculture. Ses propriétés toxiques au niveau hépatique chez le rat et ses produits de transformation in vivo sont connus. Cette étude a consisté à comparer la métabolisation in vitro de ce pesticide sur différents modèles : d'une part, sur lignées cellulaires d'hépatomes humains (cellules Hep G2 et Hep 3B) et d'autre part, sur des microsomes hépatiques humains et de rat. L'influence de la concentration en atrazine sur le taux de métabolisation a été étudiée. La détermination des metabolites de ce xénobiotique a été effectuée par CLHP, en employant deux méthodes de traitement des échantillons : extraction au dichlorométhane et déprotéinisation-lyophilisation. Les cellules Hep G2 et les microsomes produisent les mêmes composés : métabolites monodéalkylés, mais en proportions différentes selon les modèles

    Survie dans l'eau de mer de 20 souches de virus Ă  ADN et ARN

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    La survie de 20 souches de virus à ADN et ARN a été suivie en eau de mer naturelle, en eau de mer autoclavée et synthétique à plusieurs températures pendant des périodes dépassant 400 jours. L'étude confirme le rôle primordial de la température sur l'inactivation des virus, des différences de comportement sont notées d'un groupe viral à l'autre, d'un sérotype à l'autre et même entre les souches appartenant au même sérotype. Les survies sont largement suffisantes pour expliquer une diffusion en mer de particules viables à distance des égouts. Quelques expériences portant sur le mécanisme d'inactivation complètent le travail
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