125 research outputs found

    Empirical propagation laws of intergranular corrosion defects affecting 2024 T351 alloy in chloride solutions

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    In the present work, a first attempt was made to determine propagation laws of intergranular corrosion defects for Al 2024 T351 in various NaCl solutions as a first step for future predictive modeling of 2024 alloy. In a first step, the effect of chloride concentration on the susceptibility to intergranular corrosion of 2024 alloy was studied using current–potential curves. In a second step, conventional immersion tests were performed in chloride-containing solutions and statistical analysis was carried out to determine the depth of the intergranular corrosion defects, depending on the chloride concentration and on the immersion time. The results were compared to those obtained by measuring the load to failure of precorroded tensile specimens versus preimmersion time in a chloride solution. The latter method was selected to measure the depth of the intergranular defects even though results showed that it was not possible to use it for chloride concentrations higher than 3 M and immersion times longer than 1200 h, considering the chloride concentrations and the durations of immersion studied in this work. Thus, empirical propagation laws are proposed for chloride contents as high as 3 M and immersion times as long as 1200 h

    Intergranular Corrosion of 2024 Alloy in Chloride Solutions

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    Experiments were performed to determine the propagation kinetics of intergranular corrosion on 2024 aluminum alloy immersed in 1 and 3 M chloride solutions. Tests consisting of immersion in a corrosive solution followed by optical observations on sectioned samples were carried out. This method was found to be time consuming and led to a lack of reproducibility due to the random nature of the corrosion attacks. Another method proved to be more efficient; it consisted of measuring the load to failure on precorroded tensile specimens vs preimmersion time in an aggressive environment. This method was found to allow the mean depth of the corrosion defects to be determined. Further, in 1 and 3 M chloride solution, intergranular corrosion led to the formation of a nonbearing zone, the thickness of which was equal to the mean depth of the corrosion defects. This corroded zone explained the premature failure of the specimens when a uniaxial tensile stress was applied

    Étude des minéralisations aurifères du district de Mana, Burkina Faso. Évolution hydrothermale d’un système aurifère et contraintes tectono-métamorphiques

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    L'Afrique de l'Ouest est désormais un acteur majeur dans la production d'or mondial avec de nombreux gisements d'or encaissés dans les ceintures de roches vertes du Paléoprotérozoïque. Cependant, ces ceintures ne sont encore que peu explorées et leur formation ainsi que leur évolution durant l'orogénèse Éburnéenne restent incertaines. Le district de Mana est situé dans la partie nord de la ceinture de roches vertes de Houndé d'âge Birimien (2,2-2,0 Ga), dans la partie ouest du Burkina Faso. C'est un district de classe mondiale qui contient 5 gisements aurifères orogéniques pour un total de ~8 Moz. Plusieurs typologies de minéralisation ont été identifiées dans différentes roches hôtes en lien avec des déformations polyphasées. Ce projet de recherche visait à déterminer l'évolution structurale, hydrothermale et l'origine de la source de l'or du district de Mana dans le but de guider les travaux d'exploration à l'échelle locale et régionale et potentiellement dans le reste de l'Afrique de l'Ouest. Pour mener à bien ce projet, les caractéristiques stratigraphiques et structurales ainsi que les minéralisations ont été étudiées aux échelles locale et régionale. L'étude de la colonne lithostratigraphique couplée aux données de géophysiques et de géochronologies ont permis d'identifier trois groupes stratigraphiques distincts (le Birimien inférieur, le Birimien supérieur et le type Tarkwaïen) sous des conditions métamorphiques du faciès des schistes verts. Le Birimien inférieur (< 2172 Ma) est composé de roches basaltiques en alternance avec des roches volcano-sédimentaires qui contiennent des niveaux de shales noirs riches en pyrites diagénétiques et d'une séquence calco-alcaline andésitique dans sa partie sommitale. Les études lithogéochimiques sur les basaltes ont permis de définir une affinité tholéiitique avec une mise en place en contexte de plateau océanique en lien avec une plume mantellique. Ce type de basaltes a le potentiel d'être pré-enrichi en or, tout comme les pyrites diagénétiques dans les niveaux de shales noirs. Ces unités sont interprétées comme la source principale de l'or à l'échelle du district. Les groupes du Birimien supérieur (2172-2113 Ma) et du type Tarkwaïen (~2113 Ma) sont associés à des bassins sédimentaires et leur contribution comme source primaire de l'or est considérée comme très limitée. L'histoire structurale du district de Mana a enregistré des déformations polyphasées. La première déformation D1MD opère durant l'évènement Éoéburnéen (~2172 Ma) et développe des plis isoclinaux F1MD et des failles inverses qui affectent le Birimien inférieur durant la mise en place pré- à syn-tectonique des granodiorites de bordures. La sédimentation du Birimien supérieur (2172-2113 Ma) suit une période d'extension (D2MD) avec la formation du bassin de Mana et à la fin, des bassins clastiques de type Tarkwaïen. La déformation D3MD marque l'évolution vers un régime transpressif de direction E-W à WNW-ESE durant l'évènement Éburnéen (~2113-2090 Ma). Cette déformation replisse les plis F1MD pour former des plis F3MD et développe des zones cisaillement dextre. La déformation majeure D4MD réactive les failles majeures et forme des plis F4MD suivant un régime transpressif de direction NNW-SSE en lien avec la mise en place du pluton dioritique de Kokoï. La déformation tardive D5MD est liée à une compression N-S qui forme des clivages de crénulation, des failles inverses et des fractures. Cette déformation pourrait être aussi jeune que ~2022 Ma. L'étude des minéralisations aurifères révèle que l'activité hydrothermale du district de Mana était polyphasée et caractérisée par 4 pulses en lien avec deux systèmes hydrothermaux ayant des sources distinctes. Le premier pulse hydrothermal est généré pendant la déformation D1MD et est enregistré dans les gisements de Fofina et Siou en lien avec des minéralisations sous forme de veines de quartz et de pyrites disséminés. L'étude au LA-ICP-MS des éléments traces dans les pyrites permet de déduire la présence d'un fluide métamorphique (As, Ni, Cu, Ag, Sb, W, Au et Pb) à Fofina et d'un fluide magmatique (Au, Ag, Bi, Te, W ± Sb) à Siou. Le deuxième pulse hydrothermal est documenté dans le gisement de Nyafé durant la déformation D3MD et se manifeste par des veinules à sulfures formant des stockwerks. Les pyrites de Nyafé se caractérisent par la présence de couronnes riches en Au-As formées durant la précipitation des arsénopyrites. Le troisième pulse hydrothermal s'est produit pendant la déformation D4MD, et correspond à la formation d'une silicification massive et de sulfures (pyrite et arsénopyrite) dans les gisements de Wona-Kona et Yaho. Tout comme à Nyafé, les couronnes en Au-As sont présentes sur les pyrites dans les deux gisements. Ces pyrites zonées (Nyafé, Wona-Kona, Yaho) sont interprétées comme étant les produits d'un même système hydrothermal, dont la source des fluides et de l'or provient du métamorphisme du Birimien inférieur et plus particulièrement des shales noirs (pyrite diagénétique) et possiblement des basaltes tholéiitiques. Le dernier épisode hydrothermal se déroule durant la fin de la déformation D4MD ou durant D5MD en lien avec la formation d'or libre dans des fractures tardives aux gisements de Wona-Kona et Siou. L'étude du district de Mana démontre une histoire métallogénique et tectonique polyphasée qui a permis de produire des gisements aurifères économiques. De nouveaux outils d'exploration pour les gisements aurifères orogéniques, incluant en outre des diagrammes binaires (chimie des basaltes et des pyrites), ont été développés afin d'estimer rapidement la fertilité aurifère d'une ceinture de roches vertes

    A autoridade, o desejo e a alquimia da política: linguagem e poder na constituição do papado medieval (1060-1120)

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    Facteurs de contrôle et processus métallogéniques des minéralisations aurifères du gisement de Wona, Mine Mana, Burkina Faso

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    Le but de cette étude initiée avec la compagnie minière SEMAFO INC. (Société d'Exploration Aurifère en Afrique de l'Ouest) et le LAMEQ (laboratoire de métallogénie expérimentale et quantitative) de l'Université du Québec à Chicoutimi, est de comprendre les facteurs de contrôle et les processus à l'origine des minéralisations aurifères du gisement Wona au Burkina Faso. La méthodologie combine une étude de terrain (cartographie et description des carottes de forage) et des études en laboratoire (pétrographie, LA-ÎCP-MS sur les sulfures, microsonde sur les magnetites et pyrites, Micro-XRF sur les carbonates). Le gisement aurifère de Wona est situé à 300 km à l'ouest de Ouagadougou. Il est encaissé dans des unités volcaniques et volcano-sédimentaires métamorphisées aux faciès des schistes verts au sein d'un corridor de déformation polyphasée. Ces unités font partie de la ceinture de roches vertes de Houndé (Birimien 2.1 Ga). Les roches volcano-sédimentaires sont constituées de volcanoclastites mafiques, de shales et d'unités gréseuses qui se sont formées dans un environnement sous-marin de bassin d'arrière arc (anté 2112 Ma). Les unités volcaniques sont recoupées par des essaims de dykes felsiques et intermédiaires. Les unités stratigraphiques sont de direction N045- N030 avec un pendage subvertical et sont affectées par un couloir de déformation myionitique et de nombreuses failles. La déformation ductile est intense et forme une schistosité de flux de direction N045-N030. La minéralisation aurifère y est spatialement associée de manière systématique et elle est très continue latéralement. Trois phases principales de déformation ont été observées dans la fosse de Wona au cours de ce projet. Une première phase (D1), marquée par une fabrique planaire à pendage vertical qui matérialise le raccourcissement régional NW-SE de l'orogenèse d'accrétion éburnéenne (2112-2110 Ma). Une deuxième phase (D2) qui reprend la fabrique S1, correspond à une schistosité de flux (S2) avec une linéation d'étirement subhorizontale d'orientation NE-SW. Les indicateurs cinematiques indiquent un mouvement en cisaillement dextre (2096- 2073 Ma). Une troisième phase (D3) est manifestée par le développent d'un clivage (CC) d'orientation N85°. Ce clivage, en relation avec l'orientation du corridor de déformation D2, suggère un mouvement tardif senestre (2000-1950 Ma). Les minéralisations se présentent sous forme de corps massifs silicifiés et de différentes familles de veines de sulfures à gangue siîicatée et de sulfures disséminés primaires. La signature géochimique est à V, Co, Ni, Cu, Zn, As, Ag,Sb, Te, Au, Pb et Bi. Des variations des concentrations en éléments suivant les styles de minéralisation, montrent que deux fluides hydrothermaux ont circulé. Un provenant du bassin et l'autre d'origine métamorphique avec un apport en sulfures de natures diverses. Trois groupes de pyrites et deux groupes d'arsénopyrites sont discriminés : 1) Les pyrites primaires disséminées, riches en métaux, dans les bordures du gîte, 2) Les pyrites et arsénopyrites métamorphiques sans métaux, réparties dans la partie centrale et 3) les pyrites recristallisées en lien avec la silicification et les arsénopyrites finement disséminées. Ces dernières pourraient être associées au deuxième système hydrothermal. Trois zonaiiîés d'altération verticale d'intensité moyenne à forte, sont visibles à Wona. Elles marquent l'évolution de deux systèmes hydrothermaux :1) une zonalité distale à chlorite-caicite-magnétite, 2) une zonalité proximale à séricite-ankérite-dolomie qui se termine par la silicification (3). Les relations de chronologie relative entre les événements, les séquences stratigraphiques, l'hydrothermalisme et les épisodes de déformation régionale confirment l'origine orogénique du système minéralisé. La séquence évolutive proposée pour expliquer les observations déterminées dans la zone d'étude implique la mise en place de deux systèmes hydrothermaux dans le temps en contexte orogénique. Le premier système hydrothermal a apporté la chlorite, la calcite, la magnetite et les sulfures primaires disséminés dans un domaine de bassin d'arrière arc ; que l'on retrouve dans les bordures (Anté à Syn-D1). La mise en place du raccourcissement régional D1 verticalise les unités stratigraphiques et injecte des essaims de dykes felsiques et intermédiaires. Deux épisodes de cisaillement se déroulent pendant les phases D2 et D3 en dextre, puis senestre. Le deuxième système hydrothermal, plus riche en soufre et Fe, percoie dans les zones de dilatation du S2 crées par les déformations D2- D3. L'évolution de ce système forme la séricite et les carbonates de Fe et les différents types de pyrites et d'arsénopyrites enrichis en or. La siiicification diffuse massive se met en place à la fin de l'épisode de cisaillement D3, ce qui scelle le système. Des structures du domaine fragile viennent recouper toutes les unités et remobilisent de l'or natif

    Etude conjointe de l'analyse de la marche et du score EDSS chez des sujets atteints de sclérose en plaques traités par interferon b-IA (résultats à j180)

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    ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    La loi de Trolard - recherches anatomiques et physiologiques sur les rapports des artères de l'encéphale avec les sinus qu'elles traversent

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    Thèse : Médecine : Université de Bordeaux : 1895N° d'ordre :

    Intelligence artificielle : le futur de l’Orthodontie ?

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    Nombreux sont les apports envisagés de l’Intelligence Artificielle (IA) en médecine. En orthodontie, plusieurs solutions automatisées sont disponibles depuis quelques années en imagerie par rayons X (analyse céphalométrique automatisée, analyse automatisée des voies aériennes) ou depuis quelques mois (analyse automatique des modèles numériques, set-up automatisé; CS Model +, Carestream Dental™). L’objectif de cette étude, en deux parties, est d’évaluer la fiabilité de l’analyse automatisée des modèles tant au niveau de leur numérisation que de leur segmentation. La comparaison des résultats d’analyse des modèles obtenus automatiquement et par l’intermédiaire de plusieurs orthodontistes démontre la fiabilité de l’analyse automatique; l’erreur de mesure oscillant, in fine, entre 0,08 et 1,04 mm, ce qui est non significatif et comparable avec les erreurs de mesures inter-observateurs rapportées dans la littérature. Ces résultats ouvrent ainsi de nouvelles perspectives quand à l’apport de l’IA en Orthodontie qui, basée sur le deep learning et le big data, devrait permettre, à moyen terme, d’évoluer vers une orthodontie plus préventive et plus prédictive
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