731 research outputs found

    Stérilisation des mâles de Glossina tachinoides West. par irradiation aux rayons gamma

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    Dans la perspective d'une application pratique de la méthode de lutte par lâchers de mâles stériles, les conséquences de l'irradiation gamma de mâles adultes de Glossina tachinoides West, ont été étudiées. Les doses d'irradiation optimales se situent entre 15500 et 17000 rads. A ces doses, la stérilité des mâles est totale, mais leur vigueur sexuelle n'est pas diminuée et leur longévité demeure satisfaisante. Ces doses sont inférieures à celles qui sont nécessaires pour obtenir une stérilité totale chez les mâles de Glossina morsitans morsitans News

    L'Ă©levage de Glossina palpalis gambiensis Vanderplank, 1949 (Diptera-Muscidae) Ă  Maisons-Alfort

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    Un élevage de Glossina palpalis gambiensis a débuté, en juillet 1972, au laboratoire d'entomologie de l'IEMVT, à Maisons-Alfort (France) à partir de 126 femelles parentales issues de pupes et femelles sauvages récoltées en Haute-Volta. Cet élevage a été créé dans le but d'étudier, en laboratoire, la biologie de cette espèce et les conditions de production en élevage de masse, en vue d'une application, en Haute-Volta, de la technique de lutte par lâchers de mâles stériles. L'auteur fait le point des résultats obtenus depuis l'origine de l'élevage jusqu'en septembre 1975. La souche a été en "phase d'expansion" pendant 2 ans (août 1972-août 1974), avec un coefficient d'accroissement moyen de 0,00672. Depuis août 1974, les effectifs sont maintenus à un niveau moyen constant de 4 800 femelles environ, par retrait des pupes ou adultes en excédent (3 000 pupes et 180 femelles environ par mois). Ces résultats permettent de faire des prévisions pour l'établissement d'un élevage de masse de cette espèce en Afriqu

    Piroplasmose du porc : infection naturelle Ă  Piroplasma trautmanni Knut et du Toit, 1921, Ă  Bambari (RĂ©publique Centrafricaine)

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    A Bambari (République centrafricaine) chez une truie soignée pour une métrite, il a été observé une infestation à Piroplasma trautmanni. Les tiques récoltées appartiennent à l'espèce Rhipicephalus senegalensis. L'auteur, après une étude morphologique du parasite, présente une série de microphotographies des différentes formes parasitaire

    Enquête entomologique dans la région des savanes (République du Togo)

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    La répartition des glossines, dans la région des savanes, se caractérise par: 1. - Absence de Gl. morsitans, tout au moins dans l'étendue des zones prospectées. 2. - Présence de Gl. tachinoides et de Gl. palpalis gambiensis, qui coexistent fréquemment. Ces deux espèces se rencontrent dans une végétation de type galerie, mais fixées à proximité de points d'eau permanents. Gl. tachinoides est l'espèce dominante. Du fait de l'absence de Gl. morsitans, l'élevage des bovins est possible dans les savanes comprises entre les cours d'eau. On donne d'autre part une liste des espèces de Tabanidae capturés au cours de cette enquêt

    Caryotype de Glossina palpalis gambiensis, Vanderplank, 1949 : comparaison avec d'autres espèces du groupe palpalis et du groupe morsitans

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    Glossina palpalis gambiensis possède, comme les autres espèces du sous-genre Nemorhina (Groupe palpalis), quatre autosomes (2 L1 + 2 L2) et deux chromosomes sexuels (XX ou XY). Les espèces du sous-genre Glossina (Groupe morsitans), possèdent en outre un jeu de petits chromosomes surnuméraires, hétérochromatiques, dont le nombre varie d'une espèce, ou sous-espèce, à l'autre. Les euchromosomes (L1, L2, X) sont très semblables dans les deux sous-genres. Par contre, le chromosome Y, hétérochromatique, est presque acrocentrique chez G. f. fuscipes et G. m. morsitans, alors qu'il est métacentrique chez G. p. gambiensis, G. p. palpalis, G. tachinoides, G. austeni, G. m. submorsitans et G.m. centrali

    Cycle de l'ovogenèse chez les femelles de Glossina tachinoides West. et détermination de l'âge physiologique

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    A partir de femelles de Gl. tachinoides West. élevées au laboratoire à 25¼C et 70 p. 100 d'H.R., et fécondées à l'âge de 3 jours, une étude de l'appareil génital et du cycle de l'oogénèse a été entreprise chez cette espèce. L'anatomie et la morphologie des organes reproducteurs des femelles de cette espèce ne diffèrent que très peu de celles déjà décrites chez d'autres espèces du même genre. Le cycle de l'oogénèse est également sensiblement identique à celui des espèces déjà étudiées par différents auteurs. Une méthode et un tableau de détermination de l'âge physiologique des femelles de Gl. tachinoides sont proposés. La méthode décrite permet d'évaluer l'âge d'une femelle jusqu'au 80e jour enviro

    Revue des connaissances actuelles sur la cytogénétique des glossines (Diptera)

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    Les caryotypes de douze espèces de Glossines ont été décrits par différents auteurs, au cours des six dernières années. Toutefois, parmi celles-ci, sept espèces seulement ont été relativement bien étudiées: deux espèces du groupe palpalis (G. fuscipes fuscipes et G. tachinoides), quatre espèces du groupe morsitans (G. m. morsitans, G. m. centralis, G. m. submorsitans et G. austeni) et une espèce du groupe fusca (G. fusca congolensis) La carte des chromosomes polyténiques a pu, en outre, être établie chez une espèce (G. m. morsitans) (Résumé d'auteur

    Notes sur un élevage de Glossines (Diptera-muscidae) entrepris à partir de pupes expédiées d'Afrique, à Maisons-Alfort

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    Les auteurs exposent les techniques employées au laboratoire d'entomologie de l'I.E.M.V., à Maisons-Alfort, pour élever trois souches de glossines: Gl. morsitans morsitans West., en provenance du Tanganyika; Gl. morsitans morsitans West., en provenance de Rhodésie; Gl. tachinoides West., en provenance du Tchad. Les glossines sont alimentées uniquement sur cobaye. Les pupes et les mouches jeunes sont élevées à 25¼C et 80-85 p. 100 d'H. R. Les mouches de plus de 10 jours sont élevées à 25¼C et 65-70 p. 100 d'H. R. Après une période de mise au point des techniques d'élevage, les résultats obtenus sont très satisfaisants. La production de pupes par femelle est passée de 1,4 à la 1re génération, à 4,3 à la 4e génération. Les effectifs ont triplé en dix mois. Les pourcentages d'éclosion sont généralement supérieurs à 90 p. 100. Bien que les résultats obtenus avec Gl. tachinoides soient moins bons que ceux obtenus, dans les mêmes conditions, avec les deux souches de Gl. morsitans, les auteurs sont parvenus à maintenir Gl. tachinoides, sans menace d'extinction, jusqu'à la 4e génération. C'est la première fois que cette espèce est élevée, en laboratoire et en Europe, pendant une aussi longue périod
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