7 research outputs found

    Incidence des attaques de la punaise Pseudotheraptus Devastans (Distant) (Heteroptera : coreidae) sur trois varietes hybrides de cocotier, PB 113+, PB 121+ ET NVS x GVT en Côte D’Ivoire

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    La punaise Pseudotheraptus devastans est l’un des principaux insectes ravageurs du cocotier en Côte d’Ivoire. Les attaques de Pseudotheraptus devastans provoquent la chute des noix immatures. Les pertes de production dues à ce ravageur, de l’ordre de 80%, sont élevées. Pour évaluer l’incidence des attaques causées par Pseudotheraptus devastans, des relevés mensuels de ses attaques ont été enregistrés sur des régimes âgés de 1 à 7 mois chez les hybrides de cocotier PB 113+, PB 121+ et NVS x GVT. Les résultats ont montré que les régimes de 2 et 3 mois sont les plus sensibles aux attaques de Pseudotheraptus devastans avec les taux de chute les plus élevés, de l’ordre de 24 à 25% en moyenne. Les taux d’attaque de Pseudotheraptus devastans et de chute des noix, de l’ordre de 35 à 40% et 17 à 20% sont plus élevés chez les hybrides PB113+ et NVS x GVT que chez l’hybride 121+ ayant enregistré un taux d’attaque d’environ 25% et un taux de chute d’environ 10% . La variété PB 121+ se révèle la plus tolérante aux attaques de Pseudotheraptus devastans parmi les 3 hybrides étudiés.Mots clés: Ravageur de cocotier, Pseudotheraptus devastans, taux d’attaque, taux de chute, tolérance, régime

    Impact of some climatic and phenological parameters on the callogenesis and somatic embrogenesis variations in coco

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    Callogenesis and somatic embryogenesis (SE) are influenced by several factors including climate and phenology. To assess such an influence, the percentage of callogenesis and SE variations depending on five climatic and two phenological parameters was measured for 2 years. Staminodes and petals from six hybrids and two clones ascontrols were cultured in bulk, onto three distinct calli induction media only differing in hormonal concentrations.From the results, it emerged that sole leaves flush does not vary from year to year. Maximal temperature and flowering level are the most stably linked. Non-linear regression provides the best R2-values of fitted curves. This shows that the link among climate, phenology, callogenesis and SE is not linear. In the first year, in control clones,climatic and phenological parameters explain 52.80% callogenesis variations, against 31.50% for SE. Therefore,climate and phenology significantly influence callogenesis, but not SE. For further industrial production of secondary metabolites such as butter, the obromin and chocolate aroma from calli, it would be desirable also to identify the favourable periods for calli production. Nevertheless, somatic embryos will continue to be produce all the year irrespective of period.Key Words: Côte d’Ivoire, petals, staminode

    Effect of fruit set on fructification of coconut tall ecotypes for production of hybrid seednuts in Cote D'Ivoire

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    To assess the effect of coconut fruit set on the variation expression of the number of nuts yielded at the end of the fructification, a modelling approach was used. Four female parents namely Kar Kar Tall (KKT), Kappadam Tall (KPD), Sri Lanka Tall (SLT) and Vanuatu Tall (VTT) as well as four male parents known as Panama Aguadulce Tall (PNT01), Rennell Island Tall (RIT), Tagnanan Tall (TAG) and West African Tall (WAT) were involved in six crosses. The WAT was used as a control. Results showed that fruit set and fructification was female genotype and crossing-independent. Thus, the four female genotypes can be indifferently used in crossings to produce seednuts. In contrast, pollen age discriminated the male parents into two groups, especially 1) PNT01, TAG and 2) WAT and RIT. Nevertheless, the two latter male parents WAT and RIT, having provided the oldest pollen, did not induce significant differences among crosses. Fruit set explained 83.70% fluctuations of the fructification. Hence, it exerted a significant effect on the fructification variation expression. In Côte d’Ivoire, we could predict the seednuts production coming to maturity from the fruit set using the equation Nut = 0.006 + 0.774*Setfruit.Keywords: Cocos nucifera, modelling, pollen ageAfrican Crop Science Journal, Vol. 21, No. 4, pp. 303 - 31

    Evaluation de la diversité agromorphologique des descendances hybrides de cocotier (Cocos nucifera L.) Nain Jaune Malaisie x Grand Vanuatu en Côte d’Ivoire

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    Ce travail vise à évaluer la diversité agromorphologique des descendances hybrides de cocotier Nain Jaune Malaisie x Grand Vanuatu tolérants à la maladie du jaunissement. Les observations ont porté sur 30 descripteurs liés aux stipes, feuilles, inflorescences et fruits. Les résultats montrent que 12 descripteurs permettent de discriminer les individus au niveau inter et intra-descendance. La structuration de ces descendances a révélé deux groupes. Il s’agit des descendances d15 qui se sont distinguées des autres. Les arbres de la descendance d15 sont caractérisés par une Circonférence du stipe à 20 cm du sol (134,52 cm), un Epaisseur de Pétiole (3,25 cm), une Largeur de Foliole (6,42 cm), un Nombre d’Epillets (40), un Nombre d’Epillet Sans Fleur femelle (23), un Diamètre polaire de la noix (20,03 cm) et une masse de la bourre (291,82 g) supérieures à ceux des autres descendances. Le Géniteur G15 qui donne des descendances robustes et présentant des aptitudes favorables à une bonne production est à sélectionner pour produire des hybrides NJM x GVT tolérants et haut producteurs.Mots clés: Cocotier, hybride, jaunissement mortel, diversité agromorphologique

    Action de l’acide phosphoreux in vitro sur Phytophthora katsurae (Pythiaceae), parasite du cocotier en Côte d’Ivoire

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    Lfaction in vitro de lfacide phosphoreux sur quatre souches de Phytophthora katsurae provenant de trois regions Sud de production du cocotier en Cote dfIvoire a ete evaluee. Lfetude fongitoxique de lfacide phosphoreux et la capacite de redeveloppement des souches ont ete respectivement realisees sur milieu Ribeiro modifie, amende avec les concentrations 15, 20, 25, 30, 40 et 50 ƒÊg/ml dfacide phosphoreux et avec 15 et 50 ƒÊg/ml du meme acide. Les croissances myceliennes sur milieux amendes a lfacide phosphoreux ont ete comparees aux croissances des champignons sur milieux Ribeiro ne contenant pas de lfacide phosphoreux. Lfactivite fongitoxique de lfacide phosphoreux sfest traduite par des taux dfinhibition compris entre 36,45% et74,64%. Les souches du Sud Comoe issues dfune plantation villageoise de Samo et dfune plantation industrielle CAIMPEX, sont plus sensibles a lfacide, contrairement aux souches de Marc Delorme et Fresco.Les essais realises ont montre egalement que in vitro, les souches sont capables de se redevelopper a lfabsence du fongicide. Cette etude a mis en evidence une activite fongistatique de lfacide phosphoreux. Ces differents comportements pourraient permettre lfoptimisation de la lutte chimique dans toutes les zones de production de la Cote dfIvoire

    Antagonist potential of Trichoderma indigenous isolates for biological control of Phytophthora palmivora the causative agent of black pod disease on cocoa (Theobroma cacao L.) in Côte d’Ivoire

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    The biodiversity of Trichoderma isolates from cocoa rhizosphere in cocoa production areas of Côte d’Ivoire, and their antagonist potential with Phytophthora palmivora using in vitro assays and bioassays, were investigated and screened for field trials. A total of 135 isolates were analysed at the species level by using sequence analysis of ITS1 and 2 of the rRNA region and a fragment of translation elongation factor 1a (tef1) gene. Sixty-four isolates were identified as T. virens, 60 as T. harzianum, 7 as T. spirale, two as T. asperellum and two unidentified. Forty-three Trichoderma isolates were in vitro confronted with P. palmivora on agar plates, and their antagonist activity was further evaluated by the damages on leaf discs and detached pods. Twenty-five isolates reduced the mycelial growth of P. Palmivora more than 50%. The isolate T17 assigned to T .virens was the best to reduce mycelium growth upto 97.9%. All of Trichoderma isolates with the exception of isolate T39 reduced foliar sensitivity to P. palmivora. Tweenty-six Trichoderma isolates reduced the pod sensitivity to P. palmivora more than 50%. Based on the combined analysis, T. virens T7, T. harzianum T40, T. asperellum T54 and T. spirale T4 isolates were selected for field trials

    Facteurs affectant la reprise au sevrage des vitroplants enracinés de palmier à huile (Elaeis guineensis Jacq.) régénérés par embryogènese somatique

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    L’élevage des vitroplants de palmier à huile (Elaeis guineensis Jacq.) pour les amener au stade de plants plantables comprend une phase  préliminaire délicate. Il s’agit du sevrage, qui a pour but de les acclimateraux conditions naturelles. Cette étape n’excède pas trois à quatre  semaines. Malgré la mise au point de nouvelles conditions de sevrage plus adaptées, l’on enregistre des pertes résiduelles augmentant ainsi le coût de production de vitroplants. Pour y remédier, les facteurs qui influencent une bonne reprise en acclimatation ont été recherchés à partir de 70 000 plants sortis des tubes d’enracinement. A la fin de 3 semaines de sevrage, les plants vivants ont été comptés, puis les pourcentages de reprise pour chacune des 81 combinaisons constituées de plants ont été calculés. Le pourcentage moyen global de reprise a été d’environ 90 % pour  l’ensemble des combinaisons. Néanmoins, les résultats sur plusieurs  sorties ont mis en évidence une influence significative de la qualité  morphologique des plants enracinés. La reprise dépend fortement du  développement foliaire, notamment la taille des plants racinés. La bonne qualité des racines produites in vitro concourt aussi au succès de la reprise en l’acclimatation, mais ce facteur n’est pas déterminant. Le nombre de racines est sans effet notable, mais interagit avec les deux autres  variables. Les plantules ayant enregistré un bon développement foliaire et racinaire (Groupe A), celles moyennement bien développées (Groupe B) ainsi que celles faiblement développées ont exprimé respectivement 97 %,91 % et 77 % de taux de reprise. Le taux de reprise global des plants transférés en sol était de 92 %, grâce à une méthode de sevrage simple qui assure, pendant 3 à 4 semaines, une adaptation progressive desplants aux conditions naturelles et qui regroupe les plants en classes de racines.Mots clés : Culture in vitro, palmier à huile, enracinement, sevrage, taux de reprise. FACTORS INFLUENCING THE RECOVERY DURING THE WEANING STAGE OF THE OIL PALM RAMETS REGENERATED VIA SOMATIC EMBRYOGENESISRaising in vitro plantlets of the oil palm (Elaeis guineensis Jacq.)  regenerated via somatic embryogenesis to the stage where they are ready to be planted includes preliminary delicate phase - weaning - which is intended acclimatize them to natural conditions. This stage doesn’t exceed 3 to 4 weeks. In spite of the development of new conditions of weaning more adapted, we note residual losses increasing the production costs of to ramets. To remedy there, the factors influencing a good recovery in acclimatization of oil palm vitroplants regenerated by somatic  embryogenesis were investigated using 70,000 plantlets taken out fromrooting tubes. Three weeks after the weaning, the alive plantlets were scored, and then the percentages of recovery for each of the 81 plants  combinations were calculated. The total average percentage of recovery  was approximately 90 %. Nonetheless, the results observed on several  outlets showed a significant influence of the morphological quality of rooted plantlets. The recovery strongly depends on the leaf growth, in particular the height of rooted plantlets. The good quality of roots produced with in vitro culture alsocontributes to the success of acclimatization, but this factor is not determining. In contrast, the roots number does not influence  acclimatization, but is correlated with two other variables. Plantlets with good leaf and root growth (Group A), those fairly grown (Group B), as well as those weakly grown (Group C) expressed a success rate of 97 %, 91 % and 77 %, respectively. The overall rate of recovery of plantlets transferred in ground was 92 %, thanks to a simple method of weaning which provides for 3 to 4 weeks, a gradual adaptation of plantlets to natural conditions and which clusters the plantlets in root clusters.Keywords : In vitro culture, recovery rate, somatic embryo-derived  plantlets, rooting, recovery percentage, weaning
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