1,261 research outputs found

    Does single monetary policy have asymmetric real effects in EMU ?

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    This article compares reactions of economies in Economic Monetary Union to a single monetary policy. For that, we estimate a reaction function supposed to represent the behaviour of European Central Bank over the period 1980-1998. Then residuals are introduced into the production equation of each country. We break up monetary shocks in two axes: first, anticipated against unanticipated shocks and then positive against negative shocks. These distinctions permit a best evaluation of the degree of homogeneity of the effects of monetary policy. France, Germany, Spain and Austria seem more sensitive to unanticipated interest rates increases contrary to Belgium and Italy. These results illustrate all the problem of single monetary policy.monetary policy shocks, reaction function, asymmetric effects, Economic Monetary Union.

    Armington elasticities and tariff regime: An application to European Union rice imports

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    Most of the European Union’s (EU) import sources for rice are in developing countries and the least-developed countries (LDCs). The EU has moreover made a commitment to allow duty-free and quota-free access to rice imports originating in the LDCs from September 2009 onward. The purpose of this article is to answer two questions – First: Does the inclusion of import tariffs in the specification lead to different estimated Armington elasticities? Second: When a discriminating tariff is introduced, what happens to the market share of large rice exporters to the EU, especially to the market share of poor countries? Consequently, we present the Armington model, derived from a constant elasticity of substitution (CES) utility function, and a non-homothetic CES utility functional form, which is more flexible. Then, we estimate the Armington model, with and without the inclusion of a tariff, and we compare the elasticities. Lastly, we model five scenarios with different discriminating import tariff rates to calculate the changes in the market access of large rice exporters to the EU. Our empirical results show that it is worthwhile to consider non-homothetic preferences and import tariffs. When the model is estimated, ignoring the import tariffs and the non-homothetic parameter, results may be biased and of uncertain validity. Furthermore the simulation findings demonstrate that in spite of a large difference between import tariff rate of Suriname and other countries (scenario V), its market access would not change greatly. This may be caused by supply side problems like poor infrastructures, weak technology and small capacity production in LDCs.Armington elasticity, tariff discrimination, non-homothetic, utility function, EU, rice.

    Applying the gravity approach to sector trade: Who bears the trade costs?

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    Thanks to its empirical success, the gravity approach is widely used to explain trade patterns between countries. In this article we question the simple application of this approach to product/sector-level trade on two grounds. First, we demonstrate that the traditional Armington version of gravity must be altered to properly account for the fact that sector expenditures are not strictly equal to sector productions because some trade costs are incurred outside the sector of interest. Secondly, we test empirically the mis-measurement of the expenditures with both Armington (1969) and Helpman and Krugman (1985) approaches. We estimate trade flows and prices simultaneously with non linear techniques. Underestimated expenditure levels yield biased values of model parameters.gravity, trade, econometric simulation

    Flow and Mass Transfer inside Networks of Minichannels

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    La Tour des temps

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    Nouveaux patrimoines

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    La conception traditionnelle de la conservation du patrimoine cède sous les déferlantes documentaires du présent. Au confort relatif des logiques d’accumulation et d’exhaustivité se substituent d’inquiétantes interrogations, que traduit un changement de vocabulaire dont les maîtres-mots sont désormais : éliminer, désherber, tailler, élire, extraire, cibler

    La face cachée des réformes du secteur public en ChineLes PME d’Etat et collectives en milieu urbain

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    International audienceDepuis l'accélération des réformes dans le secteur d'Etat au milieu des années 1990, l'attention s'est tournée principalement vers le sort des grandes entreprises. Certaines mesures comme la politique de formation de 156 groupes industriels de taille internationale, la levée de capitaux sur les marchés boursiers internationaux pour restructurer les grandes firmes d'Etat comme SINOPEC, Petrochina, Baogang (la plus grande aciérie de Chine), ou bien encore la décision en 1998 d'effacer les dettes de près de 1000 grandes entreprises d'Etat en recapitalisant les quatre plus grandes banques commerciales d'Etat, représentent en effet une rupture profonde avec les réformes mises en oeuvre durant les années 1980. Cependant, le principe du zhuada fangxiao (retenir les grandes (entreprises d'Etat), lâcher les petites) retenu lors du 3e plénum du XIVe comité central du Parti communiste chinois (PCC) en 1994, autorisant l'Etat à se désengager des petites et moyennes entreprises (PME) d'Etat et collectives urbaines, pourrait avoir une portée bien plus grande pour l'économie chinoise que les réformes visant les grandes entreprises d'Etat.Les structures dans l'industrie et les services sont en effet relativement peu concentrées en Chine comparées aux économies développées, et les PME d'Etat et collectives représentent toujours près des deux tiers de l'emploi dans les zones urbaines. Cette réforme touche encore plus directement les provinces du Nord-Est et de l'intérieur où l'activité économique demeure encore très largement dominée par le secteur d'Etat et collectif. Par ailleurs, les privatisations constituant un des axes privilégiés des restructurations, la réforme pourrait entraîner des évolutions profondes en matière de redistribution des droits de propriété et pour ce qui concerne le rôle de l'Etat dans l'économie locale. Il est cependant difficile d'évaluer l'ampleur et l'impact de cette réforme, tant les chiffres et les études au niveau national (qui sont publiées) font cruellement défaut. Il est par exemple impossible de connaître le nombre exacte de PME d'Etat et collectives qui ont été privatisées, à fortiori de savoir la part du capital conservée par l'Etat dans les entreprises partiellement privatisées. Les études en langue chinoise sont publiées le plus souvent par des municipalités qui cherchent à justifier leurs choix et leur action administrative en matière de restructuration des PME d'Etat et collectives, et ne répondent que très partiellement aux questions évoquées ci-dessus. Nous essaierons cependant à partir de ces monographies et d'études de cas que nous avons réalisées dans plusieurs municipalités de Chine de répondre, au moins partiellement, à quelques questions touchant à la restructuration des PME d'Etat et collectives urbaines. Nous tenterons tout d'abord de mieux cerner les méthodes utilisées par les gouvernements locaux pour réformer ces entreprises. Ensuite, nous nous efforcerons de répondre à la question épineuse de savoir combien d'entreprises ont été privatisées, et d'identifier les principaux bénéficiaires de la redistribution des droits de propriété. Enfin, nous chercherons à analyser l'efficacité de ces réformes en matière de restructuration des entreprises

    Emergence of a Pragmatic India-China Relationship: Between Geostrategic Rivalry and Economic Competition

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    International audienceThis article analyses the extent of the China-India diplomatic thaw since the early 1990s. Without ignoring the existence of multiple cooperation channels, or seeking to minimise the importance of the considerable achievements realised in recent years by the two governments towards normalising their relations, the article show that relations between the two Asian giants remain hamstrung by a series of geostrategic and economic rivalries. Despite fast growth in trade and in specific areas of economic cooperation, the normalisation of ties between Beijing and New Delhi does not yet constitute a genuine strategic partnership.Cet article analyse la portée du réchauffement diplomatique entre la Chine et l’Inde intervenu depuis le début des années 1990. Malgré l’existence de multiples opportunités de coopération, et sans vouloir réduire l’importance des avancées considérables qui ont été effectuées ces dernières années par les deux gouvernements pour normaliser leurs relations, cet article montre que les rapports entre les deux géants asiatiques demeurent encore entravés par toute une série de rivalités géostratégiques et économiques. Malgré un développement rapide des échanges commerciaux et de quelques coopérations ponctuelles sur le plan économique, la normalisation des relations entre New Delhi et Pékin n’est donc pas pour l’instant synonyme de l’émergence d’un véritable partenariat stratégique
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