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    MĂșsica, baile, oralidad como espacio de resiliĂȘncia y de rehumanizaciĂłn entre las poblaciones afrodiaspĂłricas y africanas

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    Este artĂ­culo trata del uso del trĂ­ptico mĂșsica/baile/oralidad como terapia resiliente en las tradiciones africanas y afrodiaspĂłricas abyayalenses. En un primer tiempo busca dar una definiciĂłn del concepto de resiliencia con la ayuda de autores y terapeutas del mundo de las artes, de la filosofĂ­a y la psicologĂ­a. Luego, basĂĄndose en un corpus constituido de canciones y literaturas orales de paĂ­ses de AmĂ©rica Latina y las Antillas, se enfoca en mostrar la importancia que tuvo y sigue teniendo dicho trĂ­ptico en el proceso de reconstrucciĂłn posterior a los traumas en general, y en particular a las heridas vinculadas a la esclavitud. En una tercera parte este trabajo intenta, a travĂ©s del estudio de formas actuales de mĂșsicas contemporĂĄneas africanas -en particular marfileñas, mostrar la semejanza en las estrategias desarrolladas como respuestas a la opresiĂłn por ambos lados del AtlĂĄntico

    Contexte et perspectives linguistiques au BĂ©nin en 2020 : entre langues nationales et langue officielle, un panorama complexe.

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    International audienceAfter its independence, this West African country kept french as its official language, which is still the language of administration, law and diplomacy. It enjoys a privileged status which is the consequence of the role it played in the past and the functions it fulfills in the present. On the other hand, the so-called national languages are numerous, more deeply rooted and widely spoken by the Beninese population. How do they coexist? To echo the perspective of the dialogue between law and languages that is the focus of this scientific event, how do legal texts influence the evolution of the national sociolinguistic context? Between a codified French language that is well anchored in the school system, vigorous but poorly written local languages, and recurrent questioning by civil society actors about the status of these different languages, how might this context evolve in the coming years? These are some of the questions we want to answer in this article.À son accĂšs Ă  l’indĂ©pendance ce pays d’Afrique de l’ouest a conservĂ© comme langue officielle le français qui, aujourd’hui encore, demeure la langue de l’administration, du droit et de la diplomatie. Il jouit d’un statut privilĂ©giĂ© qui est la consĂ©quence du rĂŽle qu’il a jouĂ© par le passĂ© et des fonctions qu’il remplit dans l’actualitĂ©. De l’autre cĂŽtĂ© les langues dites nationales sont nombreuses, plus enracinĂ©es et largement parlĂ©es par la population bĂ©ninoise. Comment cohabitent-elles ? Pour faire Ă©cho Ă  la perspective du dialogue entre droit et langues qui est celle de cette journĂ©e d’étude, comment les textes de loi influencent-ils l’évolution du contexte sociolinguistique national ? Entre une langue française codifiĂ©e et bien ancrĂ©e dans le systĂšme scolaire, des langues autochtones vigoureuses mais peu Ă©crites, un questionnement rĂ©current des acteurs de la sociĂ©tĂ© civile au sujet du statut de ces diffĂ©rentes langues, quelle pourrait ĂȘtre l’évolution de ce contexte au cours des prochaines annĂ©es ? C’est, entre autres, Ă  ces questions que cet article se propose de rĂ©pondre

    Espagne, régionalismes et minorités : politiques de préservation et expectatives autour de patrimoines linguistiques localisés

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    International audienceL’article qui suit traite de la question des langues rĂ©gionales et minoritaires en Espagne. Contrairement Ă  certains pays europĂ©ens, l’Espagne, consciente des enjeux sous-jacents Ă  la question linguistico-territoriale, a pris les devants et mis en marche des politiques de valorisation de ces patrimoines linguistiques. En accordant Ă  certaines de ces langues le statut de langues officielles, c’est Ă  une reconnaissance rĂ©elle de la valeur de ces cultures qu’on a procĂ©dĂ©. En outre, les recommandations de la Charte EuropĂ©enne des Langues Minoritaires et RĂ©gionales ont donnĂ© Ă  la thĂ©matique la visibilitĂ© continentale qui lui faisait dĂ©faut, mĂȘme si deux langues demeurent encore simplement protĂ©gĂ©es. Plus de trente ans aprĂšs la mise en fonctionnement de ces politiques de normalisation linguistique, nous nous interrogeons Ă  propos de leur contenu, leur application et surtout leurs rĂ©sultats. Quel bilan peut-on Ă©tablir aprĂšs cette pĂ©riode ? En outre, quelles perspectives doivent adopter ces rĂ©gions oĂč les langues sont officielles, et quelles initiatives doivent entreprendre les locuteurs des langues non-officielles ? Voici les questions auxquelles cet article se propose de rĂ©pondre
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