308 research outputs found

    Phenotypic evaluation of the CIRAD cotton germplasm collection

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    The CIRAD cotton germplasm collection was founded in 1978 and currently includes 3,070 accessions, of which 2,724 have been described for botanical, agronomic and technological traits. The collection includes 1,700 cultivated varieties and 1,370 wild or subspontaneous genotypes. This collection is used to increase genetic variability in breeding programs and marker-assisted selection program and for germplasm exchange between CIRAD and its collaborators. This poster presents the results of evaluations to identify accessions that could potentially be utilized to improve cotton cultivars of the cultivated species. The cultivar and wild-type accessions of these species were described and assessed during seed rejuvenation initiatives conducted under field conditions in various tropical countries. Results indicated that the genetic diversity of wild types of the four cultivated species could be used to improve some fibre characteristics in the cultivated species. Biotic and abiotic stress resistance will be highly important in the future and different methods to assess these features should thus be investigated. (Texte intégral

    Inventory and history of the CIRAD cotton (Gossypium spp.) germplasm collection

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    The CIRAD Cotton Germplasm Col­lection was founded in 1978 through the pooling of a number of working collections. It is one of the largest collec­tions in the world representing genetic variability in the genus Gossypium L. In 2005, it contained 3070 accessions, including 1696 cultivars and 1374 wild and ancestral types, covering five tetra­ploid species and seven diploid species. The two main cultivated cotton spe­cies, G. hirsutum L. and G. barbadense L., accounted for 68% and 15% of the accessions, respectively. The cultivars originated from around a hundred countries, and the ancestral species ac­cessions were collected during expedi­tions conducted between 1980 and 1988. Part of the ancestral type collection (894 accessions) was assembled with fund­ing from IBPGR (now Bioversity In­ternational), and these accessions were handed over to CIRAD for conserva­tion, assessment and release

    Cotton breeding in French-speaking Africa: Milestones and prospects

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    When cotton breeding programmes were first set up in French-speaking Africa in 1946, breeders were already taking the needs of different cotton stakeholders into account. The main breeding targets were productivity, resistance to pests and major cotton diseases, ginning outturn and fibre quality. The aim of this paper is to demonstrate how breeding has enhanced the performance of African cotton subsectors through presentation of results and experimental data from multilocation trials. Briefly, breeders have focused on Gossypium hirsutum cultivars, thus giving rise to plants with a relatively long growth cycle, that are vegetative and very floriferous, with delayed boll ripening (facilitating manual harvest), with a capacity to adapt to biotic and abiotic stress conditions, and with resistance to bacteriosis. Substantial gains were achieved in terms of productivity, ginning outturn and fibre quality (length, tenacity, fineness, and colorimetry). More than 90 cotton cultivars have been bred and released over a 60-year period. Genetic progress has, however, been limited in the last decade and African breeders will have to adopt new technologies to achieve further improvement in important traits. (Résumé d'auteur

    Lignées d'addition ou l'espèce G. hirsutum L. 3. Evolution d'une collection de lignées d'addition de G. anomalum et de G. stocksii sur G. hirsutum après plusieurs générations d'autofécondation

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    Etude de lignées d'addition de chromosomes de G. anomalum et de G. stocksii maintenues en autofécondation sur 17 et 13 générations respectivement: apparition de lignées disomiques presque stables; amélioration du passage du chromosome surnuméraire par rapport aux premières générations; découverte des types manifestement introgressés du chromosome et addition de la lignée dont ils sont issus, mais également d'autres types de plants de génotype apparemment différent de celui d'un cotonnier normal. De façon générale, cette technique des lignées d'addition offre une variabilité intéressante pour l'amélioration du cotonnie

    Histoire de la sélection du cotonnier en Côte d'Ivoire

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    L'histoire de la sélection variétale est retracée depuis les premiers essais variétaux et agronomiques du début du siècle jusqu'à nos jours. Méthodes utilisées successivement, à savoir : sélection massale pédigrée, puis, à partir de la manipulation de matériel végétal à forte variabilité, création de variétés commerciales performantes adaptées à l'écologie et au système de culture. En outre des recherches fondamentales ont permis d'améliorer les connaissances sur les relations entre génomes à l'intérieur du genre Gossypium. C'est aussi l'histoire des variétés cultivées et des améliorations successives de leurs caractères, en particulier du pourcentage de fibre à l'égrenage, des qualités commerciales de la fibre, et de l'absence de glandes à gossypol, avec leurs conséquences sur l'essor cotonnier de la Côte d'Ivoir

    Lignées d'addition sur l'espèce Gossypium hirsutum L. 1. Utilisation de l'hybridation interspécifique et de la méthode des lignées d'addition pour l'amélioration du cotonnier

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    La variabilité génétique du cotonnier cultivé G. hirsutum est considérée comme très étroite, alors que le genre Gossypium, riche d'une trentaine d'espèces sauvages, constitue un vaste pool génique dont l'utilisation peut être envisagée. Parmi les techniques d'hybridation interspécifique à la disposition du sélectionneur, celle aboutissant à la création de lignées d'addition monosomique d'une espèce diploïde paraît très intéressante. Elle peut être employée avec la majorité des espèces du genre et doit permettre une très grande précision d'actio

    Variabilité disponible pour l'amélioration génétique du cotonnier

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    Mise en place d'une culture de cotonnier "glandless" (sans glandes à gossypol) sur une zone de 20 000 hectares en Côte d'Ivoire

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    La variété glandless ISA BC2 actuellement cultivée sur 20 000 hectares posséde un rendement en fibre à l'égrenage moins élevé que les variétés classiques qui sont diffusées. Mais ce défaut est compensé par un meilleur rendement en huile raffinée de la graine et par un tourteau de plus grande valeur. La variété glandless ISA BC4 en multiplication posséde un pourcentage de fibre meilleur que glandless ISA BC2. Les performances de nouvelles lignées de cotonnier glandless sont en tous points comparables avec celles de la nouvelle variété à glandes ISA 205, y compris pour le pourcentage de fibres et les qualités de la fibre
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