8 research outputs found

    Cellulite orbitaire compliquant une pansinusite aigue: à propos d’un cas

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    Les cellulites orbitaires sont des affections peu fréquentes. Ces infections peuvent être secondaire à une infection oculaire, péri oculaire ou à une septicémie. L'origine sinusienne reste la plus fréquente. Le risque de graves complications mettant en jeu le pronostic fonctionnel et vital nécessite un diagnostic rapide et une prise en charge précoce. Nous rapportons le cas clinique d'une femme de 70 ans connue diabétique, qui a présenté une cellulite orbitaire secondaire à une pansinusite négligée. Le traitement était à la fois médical et chirurgical : antibiothérapie et drainage. L'évolution a été favorable au bout du septième jour. Nous essayons à travers ce cas clinique de souligner la gravité des infections orbitaires et leurs conséquences dramatiques en cas de retard de prise en charge.Pan African Medical Journal 2015; 2

    Métastases cutanées révélant un adénocarcinome bronchique

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    Nous rapportons le cas d’un cancer bronchique révélé par des nodules cutanés métastatiques du cuir chevelu. Ce mode de découverte assez fréquent est souvent associé à un mauvais pronostic. Cette observation souligne l’intérêt de rechercher un cancer primitif pulmonaire en cas de localisation secondaire cutanée.English abstractWe report the case of bronchial carcinoma revealed by metastatic skin nodules on the scalp. This fairly common mode of discovery is often associated with poor prognosis. This study aims to underline the importance of directing the search for a primary lung cancer in cases of secondary skin involvement.Key words: Cutaneous metastases, bronchial adenocarcinoma, excisional biops

    Basal cell carcinoma of the medial canthus: resection and reconstruction by glabellar flap

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    The inner canthus is the site of aggressive basal cell carcinomas. The management of these tumors requires knowledge of the basic principles of reconstruction in reconstructive surgery. Surgical resection with exhaustive control of the excision margins should be performed. Even when the tumor is small, the need for healthy margins often results in a moderate to a large palpebral defect that cannot be repaired with direct sutures. The goal of reconstruction is to achieve a mobile eyelid, good corneal protection, and a good aesthetic result with acceptable donor site sequelae. In this manuscript, we describe a case of basal cell carcinoma of the medial canthus that underwent resection followed by reconstruction with a glabellar flap

    Les fractures du zygoma : Ă  propos de 276 cas

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    Introduction : les fractures de l’os zygomatique revêtent une multitude de variétés anatomo-cliniques à l’origine de retentissement fonctionnel et morphologique. Le but de ce travail est de déterminer et de préciser les circonstances de survenue, la sémiologie clinique et radiologique, l’attitude thérapeutique et le devenir à moyen terme de ces patients. Matériel et méthodes : une étude rétrospective étant menée sur des patients ayant présenté une fracture isolée de l’os zygomatique traitée au service de chirurgie maxillo-faciale et chirurgie plastique de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V Rabat, entre mars 1999 et avril 2009. Résultats : on a inclus 276 dossiers, l’âge moyen des patients est de 32 ans avec une nette prédominance masculine (89,5 %). Les étiologies ont été dominées par les accidents de la voie publique (64,2 %). Le diagnostic a été surtout clinique, confirmé par la radiologie. La réduction ouverte a été effectuée dans 173 cas tandis que 31,9 % des cas ont nécessité une réduction fermée. Les séquelles les plus fréquentes ont été représentées par les troubles de la sensibilité (19,2 %). Discussion : l’évaluation préopératoire doit inclure une évaluation ophtalmologique complète. Les principes chirurgicaux impliqués dans la gestion des fractures du zygoma sont principalement liés à leur réduction. Cette expérience valide certaines indications pour la réduction orthopédique et souligne l’intérêt de la réduction sanglante avec fixation par mini-plaques vissées. L’indication chirurgicale dépend du type de fracture

    Adénome pléomorphe des glandes salivaires accessoires

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    Objectif : L’adénome pléomorphe est la variété la plus fréquente des tumeurs bénignes des glandes salivaires accessoires. Le but de ce travail est une analyse épidémiologique, clinique et thérapeutique de cette tumeur. Matériel et méthodes : On rapporte à travers une étude rétrospective descriptive 7 cas d’adénomes pléomorphes des glandes salivaires accessoires sur une période de 7 ans (2006 à 2012). Résultats : Il s’agissait de 1 homme et 6 femmes ayant un âge moyen de 36,85 ans. Dans trois cas, le siège de ces adénomes était le palais osseux, dans deux cas au niveau du voile, dans deux cas aux lèvres. Le délai moyen de diagnostic était de 3 ans et 10 mois. La tuméfaction a été la manifestation clinique observée dans tous les cas. La TDM a été réalisée dans tous les cas, associée à l’IRM dans 2 cas. Le traitement était chirurgical dans tous les cas. L’histologie a confirmé le diagnostic d’adénome pléomorphe. Il était bénin dans tous les cas. La récidive n’a pas été observée sur un recul de 3 ans et 6 mois. Conclusion : Les adénomes pléomorphes des glandes salivaires accessoires ont une évolution lente. Ils doivent être évoqués devant toute formation tumorale indolore de la muqueuse buccale, développée sous une muqueuse saine. Une exérèse tumorale avec une marge de 5 mm de tissu sain est le traitement adéquat. Les risques de récidive et de transformation maligne imposent une surveillance prolongée

    Adénome pléomorphe des glandes salivaires accessoires

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    Objectif : L’adénome pléomorphe est la variété la plus fréquente des tumeurs bénignes des glandes salivaires accessoires. Le but de ce travail est une analyse épidémiologique, clinique et thérapeutique de cette tumeur. Matériel et méthodes : On rapporte à travers une étude rétrospective descriptive 7 cas d’adénomes pléomorphes des glandes salivaires accessoires sur une période de 7 ans (2006 à 2012). Résultats : Il s’agissait de 1 homme et 6 femmes ayant un âge moyen de 36,85 ans. Dans trois cas, le siège de ces adénomes était le palais osseux, dans deux cas au niveau du voile, dans deux cas aux lèvres. Le délai moyen de diagnostic était de 3 ans et 10 mois. La tuméfaction a été la manifestation clinique observée dans tous les cas. La TDM a été réalisée dans tous les cas, associée à l’IRM dans 2 cas. Le traitement était chirurgical dans tous les cas. L’histologie a confirmé le diagnostic d’adénome pléomorphe. Il était bénin dans tous les cas. La récidive n’a pas été observée sur un recul de 3 ans et 6 mois. Conclusion : Les adénomes pléomorphes des glandes salivaires accessoires ont une évolution lente. Ils doivent être évoqués devant toute formation tumorale indolore de la muqueuse buccale, développée sous une muqueuse saine. Une exérèse tumorale avec une marge de 5 mm de tissu sain est le traitement adéquat. Les risques de récidive et de transformation maligne imposent une surveillance prolongée

    Histiocytose langerhansienne osseuse multifocale. À propos d’un cas

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    L’histiocytose langerhansienne est une maladie proliférative non maligne, qui intéresse les cellules dendritiques de Langerhans. Il s’agit d’une maladie orpheline touchant essentiellement l’enfant et l’adulte jeune. Son étiologie reste encore inconnue, son spectre clinique est assez large. Nous rapportons un cas clinique d’histiocytose langerhansienne osseuse multifocale chez un jeune adulte de 25 ans ayant touché initialement le rachis, et secondairement la mandibule et le crâne. Le diagnostic fut confirmé par l’examen histologique. L’évolution fut favorable après un traitement chirurgical non agressif. À partir de cette observation, nous ferons une revue de la littérature pour mettre le point sur les aspects cliniques, histologiques, radiologiques, thérapeutiques et évolutifs de cette maladie orphelin
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