910 research outputs found

    Chapitre 3. Jean Cocteau, impresario musical à la croisée des arts

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    Jean Cocteau est probablement l’un des rares artistes à s’être investi dans plusieurs formes artistiques avec un succès quasi égal dans chacune d’elles. Aux alentours des années 1920, il s’adonne à la poésie, écrit des romans, des pièces de théâtre, des arguments de ballets, il élabore des chorégraphies et met au point des mises en scène, il s’investit dans le journalisme culturel, il conçoit des masques et des costumes, il dessine et peint des tableaux. Plus tard, il réalisera des films, tou..

    Claude Debussy vu par Jean Cocteau

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    Dans Le Coq et l’Arlequin (1918), Cocteau est le porte-parole de Satie et des jeunes musiciens qui gravitent autour de lui. Une vingtaine d’aphorismes attaquent violemment la musique de Debussy, car Cocteau souhaite voir émerger une musique française débarrassée des caractéristiques de la musique impressionniste. Par la suite, ses écrits abordent encore Debussy à plusieurs reprises, dans une bonne vingtaine d’articles divers. Jusque vers 1940, il justifie ces positions de jeunesse ; il tente de se dédommager en tentant d’expliquer que c’était là une attitude de jeunes en rébellion contre leurs aînés. Par la suite, Cocteau sera de plus en plus nuancé ; il ne se justifiera plus, mais affirmera son admiration pour Debussy et son chef-d’oeuvre, Pelléas et Mélisande, dont il conçoit même les décors et les costumes lors d’une production au Théâtre municipal de Metz en 1962.In his well-known Le Coq et l’Arlequin (1918), Cocteau is the leader of Satie and the other young musicians that fostered Satie’s model. More than twenty aphorisms are directed brutally against Debussy’s music, because Cocteau wishes to see a French music avoided of characteristics that belonged to impressionist music. In the aftermath, his writings evoked Debussy a couple of time, precisely in twenty varied articles. Until 1940, Cocteau justified the positions that he developed against Debussy when he was young: he tried to legitimate himself with the explanation that his position was an attitude of young rebellions against their elders. After that step, Cocteau will be more nuanced in front of Debussy; he will no more justified himself as long as he claimed his admiration for Debussy and his chef d’oeuvre, Pelléas et Mélisande—he conceived the decors and costumes for the production of the opera that took place in the Théâtre municipal de Metz in 1962

    La facture instrumentale : les instruments à vent: du moyen âge au XVIIIe siècle

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    International audienceLes premiers facteurs d’instruments à vent connus en Wallonie et à Bruxelles remontent au XVe siècle : les archives et l’iconographie apportent des données sur les instruments utilisés et les circonstances de jeu. Les bois connaissent davantage de modifications que les cuivres au XVIIIe siècle. Sont évoqués les artisans actifs en Wallonie et à Bruxelles du XVe au XVIIIe siècle

    Deux lettres autographes de Jean-Baptiste Vuillaume

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    Catalogue de l'Exposition à la Cité de la musique du 23 octobre 1998 au 31 janvier 1999International audienceDeux lettres inédites de Jean-Baptiste Vuillaume, adressées respectivement au violoncelliste belge Adrien-François Servais (1864) et à son épouse (1868)

    art. Chaumont, Lambert

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    International audiencenotice de dictionnair

    art. Clercx, Suzanne (1910-1985), musicologue

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    International audiencenotice de dictionnair

    Sociétés de secours mutuels (dans la facture instrumentale)

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    International audiencenotice de dictionnair

    Quatre entretiens inédits de Georges Auric avec Stéphane Audel (1955) : deuxième partie

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    International audienceCet article fournit le troisième des quatre entretiens de Georges Auric avec Stéphane Audel réalisés en 1955 (voir les deux premiers entretiens dans la Revue de Suisse romande (n°61/3, septembre 2008, p. 24-55). Auric parle ici des musiques de scène qu’il a composées pour les pièces de théâtre de Marcel Achard (Malborough s’en va-t’en guerre), Jules Romain (Le Mariage de Le Trouhadec), Ben Johnson (La Femme silencieuse), Shakespeare (Comme il vous plaira rebaptisée en français Rosalinde), Alfred Savoir (Le Dompteur), Jean-Jacques Bernard (Le Roy de Malousie), Paul Féval (Le Bossu). Il s’étend abondamment sur les metteurs en scène qu’il a fréquentés à ces occasions : Louis Jouvet, Charles Dullin, Firmin Gémier, Jacques Copeau et Jean-Louis Barrault. Ces entretiens apportent mille détails complémentaires au livre de souvenirs écrit par Auric, Quand j’étais là (1979)

    La manufacture de pianos Pleyel dans la seconde moitié du XIXe siècle : un modèle de réalisations sociales

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    International audienceLes ouvriers des grands ateliers du XIXe siècle ont pris conscience de leurs conditions de travail et ont organisé des sociétés de secours mutuels. Parallèlement, certains patrons sont sensibles au courant d’idées sociales et interviennent eux-mêmes dans l’organisation d’institutions sociales, non sans un certain paternalisme. Un cas d’étude est ici étudié au travers les réalisations sociales de la maison Pleyel : caisse de secours mutuels, caisse de retraite, caisse de prêt, caisse de dépôt, école d’apprentissage, bibliothèque, société d’archers et fanfare. Une enquête parlementaire de 1872 conservée aux Archives nationales fournit des éléments intéressants concernant ces diverses réalisations
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