8 research outputs found

    The Life Cycle of the Root Borer, Oryctes agamemnon, Under Laboratory Conditions

    Get PDF
    The root borer, Oryctes agamemnon Burmeister (Coleoptera: Scarabaeidae), has become a serious pest of date palm trees in southwest Tunisia. Under natural conditions, mated females lay eggs in different parts of palm tree: between the hairy roots, all along the stem at the leaf axils and at the base of cut branches. Larvae bore into targeted places of the plant and were never seen outside. Pupation takes place in the plant and emergence of the adults begins in June. Larval feeding causes extensive damage to the respiratory roots. To examine the life cycle more closely, the O. agamemnon life cycle was studied under laboratory conditions. Different larval stages were collected from infested oases in Tozeur and placed in plastic boxes with natural food that was collected from the oases. After emergence, adults were paired in opaque plastic boxes for mating with the same food substrate which also served as an oviposition site. Eggs were collected daily and isolated in new boxes. Hatched eggs were recorded. The number of larval instars was determined by measuring the width of cephalic capsules. Under laboratory conditions (23 ± 2'C and 55 ± 6% RH)embryogenesis took 14.3 ± 1.42 days and the first, second and third larval instars were 33.1 ± 2.69, 63.88 ± 6.6 and 118.3 ± 13.38 days respectively. The pupal period lasted 24.1 ± 3.02 days and the adult 65.27 ± 9.48 days. These facts indicated that O. agamemnon is univoltine

    Impact de la recharge artificielle par des eaux usées traitées sur la qualité et la quantité des eaux souterraines de la nappe côtière de Korba-Mida, Cap-Bon, Tunisie

    No full text
    La nappe de Korba-Mida de la Côte Orientale du Cap-Bon de Tunisie subit une surexploitation illustrée par l’accroissement du nombre de puits de 270 puits en 1962 à 9500 puits en 2011. La qualité des eaux de nappe est alors fréquemment dégradée par l’intrusion marine, l’infiltration des eaux d’irrigation ou les pollutions diffuses. Depuis les années 60, un suivi spatio-temporel qualitatif et un modèle de fonctionnement hydrogéologique des eaux souterraines ont mis en évidence que les prélèvements importants avaient généré une inversion du gradient hydraulique causant une intrusion saline. Cruciale pour l’agriculture locale, la nécessité d’améliorer quantitativement et qualitativement les eaux de nappe a conduit à la mise en place d’une recharge artificielle d’eaux usées traitées. Les eaux usées proviennent de la station d’épuration de Korba et leur traitement final se fait par infiltration dans la zone non saturée du sol (SAT, Soil Aquifer Treatment) depuis décembre 2008. Avant la recharge, la salinité varie entre 1à 12 g/l et les niveaux piézométrique sont tous inférieurs à celui de la mer sur toute la zone d’étude et varient entre zéro au niveau de la STEP de Korba et -7m au niveau de la rive gauche de l’Oued Ennajar. Après 3 ans de la recharge artificielle (1 Million m3) par les eaux usées traitées, une diminution de la salinité de 1 g/l a été enregistrée. Une remontée de niveau de la nappe justifié par l’apparition des niveaux piézométriques qui varient entre 1 à 2 m au niveau du site de recharge. Les isotopes du Bore permettent de distinguer plusieurs pôles d’eaux souterraines dont les mélanges affectent la mobilité des éléments
    corecore