L'hypertension artérielle chez l'enfant. Qu'en est-il du dépistage? (Complément du titre)

A ce jour,un à quatre pour cent des patients de moins de quinze ans sont concernés par l'hypertension artérielle.La principale problématique de l'hypertension artérielle chez l'enfant est son diagnostic puisque le preticien est face à un patient asymptomatique. De surcroît,il s'agit d'une pathologie considérée depuis longtemps comme rare avec pour conséquence une carence en terme de dépistage.De nouvelles recommandations européennes,éditées en 2009,soulignent l'importance d'une mesure de pression artérielle régulière. L'objectif étant de permettre une prise en charge plus précoce de l'hypertension artérielle et ainsi d'éviter le développement de lésions secondaires comme l'hypertrophie du ventricule gauche et de minimiser le risque cardio-vasculaire global de ces adultes en devenir.Le médecin généraliste,principal acteur de santé publique et d'éducation du patient,joue un rôle central dans l'application de ces recommandations.Le but de ce travail est alors d'aider le praticien dans cette démarche. La première étape,réalisée grâce à une étude prospective,évalue l'état actuel du dépistage de l'hypertension artérielle chez les moins de quinze ans dans l'hérault.Les résultats montrent que seuls 36% des médecins répondants prennet la tension artérielle de manière systématique.La seconde étape,s'appuyant sur une étude prospective ,a pour but de déterminer une population d'enfants chez laquelle cibler le dépistage.Ainsi 32% des enfants hypertendus ont un indice de masse corporelle au-delà des normes établies et 56% d'entre eux ont un antécédent familial d'hypertension artérielle. La mesure de pression artérielle chez l'enfant entre donc dans une démarche de prévention du risque cardio-vasculaire et de morbi-mortalité associée.MONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocMONTPELLIER-BU Médecine (341722104) / SudocSudocFranceF

Aspects actuels des pleurésies purulentes de l'enfant

MONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocMONTPELLIER-BU Médecine (341722104) / SudocSudocFranceF

Oedème angioneurotique (données actuelles)

MONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocMONTPELLIER-BU Médecine (341722104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

"Parcours de soins et motifs de recours aux urgences pédiatriques du CHU de Montpellier (Évaluation prospective sur quatre mois en 2012")

L'urgence et ses représentations opposent les usagers et les professionnels de santé si bien que les pouvoirs publics tentent de remédier à l'inflation des urgences. Notre hypothèse est que de nombreuses consultations des urgences pédiatriques pourraient être prises en charge par la médecine de ville. L'objectif principal de l'étude est de définir si la majorité des consultations diurnes du SAUP pourrait être prise en charge en consultation ambulatoire au cabinet du médecin généraliste les jours ouvrables de la semaine . L' objectif secondaire était d'étudier les motifs de recours aux urgences pédiatriques. L'étude, prospective, descriptive, a été menée dans le service des urgences pédiatriques de Montpellier au moyen de 169 questionnaires remis aux parents de façon aléatoire. Notre étude retrouve que plus de la moitié des consultations aux urgences sont non justifiées et relèvent de la médecine ambulatoire, notamment du médecin généraliste. La majorité des patients bénéficient d'un suivi habituel ambulatoire par un médecin généraliste et/ou un pédîatre. Les parents des consultants ont le plus souvent essayé de contacter leur médecin habituel pour le problème de santé qui les a fait consulter les urgences. Les principales motivations de consultation aux urgences, lorsqu'ils n'étaient pas adressés par leur médecin, était l'absence de leur médecin, la nécessité d'examens complémentaires, le besoin d'un avis spécialisé et la persistance des symptômes malgré le traitement. La lutte contre les consultations non justifiées aux urgences, nécessite d'améliorer l'accès aux examens complémentaires et d'éduquer les parents.MONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocMONTPELLIER-BU Médecine (341722104) / SudocSudocFranceF

Evaluation des connaissances parentales sur la rougeole et la vacination (enquête menée auprès des parents consultants en centre de soins primaires sur Montpellier)

Introduction: la France a subi en 2011 une épidémie de rougeole avec plus de 23 000 cas et 10 décès. Cette maladie à réservoir strictement humain pourrait être éradiquée par la vaccination avec une couverture vaccinale d'au moins 95% pour deux doses du vaccin. Matériels et méthodes: notre étude a interrogé 400 parents consultants pour leur enfant en centre de soins primaires sur Montpellier durant l'hiver 2014, sur leurs connaissances sur la rougeole et la vaccination. Résultats: la moitié des parents n'a jamais entendu parler de cette épidémie et beaucoup pensent que c'est une maladie bénigne. Le fait d'avoir entendu parler de l'épidémie a permis aux parents coricernés de se rendre compte de la gravité potentielle de celle-ci. La moitié des parents a peur des effets secondaires du vaccin ROR et plus de 85% d'entre eux souhaiteraient être mieux informés sur le vaccin et ses effets. La couverture vaccinale (CV) contre la rougeole des enfants dont les parents ont été interrogés est insuffisante. Discussion: de nombreux moyens d'information fiables sur les vaccins existent mais ne sont pas toujours connus du grand public. Renforcer la formation des médedns sur les maladies infectieuses et la vaccination permettrait une amélioration du dialogue avec les parents afin d'obtenir une meilleure CV. Un rôle plus impliqué des médias dans une information fiable et contrôlée, un carnet de vaccination électronique incorporé au dossier médical, la poursuite du remboursement des vaccins seraient aussi des moyens efficaces pour améliorer la CV. Conclusion : Les parents sont mal informés sur la rougeole et la vaccination et leurs enfants ont une CV contre la rougeole insuffisanteMONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocSudocFranceF

Immunoglobulines anti-D et Purpura Thrombocytopénique Idiopathique (une nouvelle approche thérapeutique)

MONTPELLIER-BU Pharmacie (341722105) / SudocSudocFranceF

Séquelles cognitives des méningites à pneumocoque de l'enfant

Introduction : les objectifs de cette étude étaient d' identifier les différentes séquelles cognitives dans une population d'enfants ayant présenté une méningite à pneumocoque ainsi que les facteurs prédictifs associés. Matériels et méthodes: une étude de cohorte observationnelle de type descriptive s'était déroulée sur le Centre Hospitalo Régional Universitaire de Montpellier entre mai 2013 et mars 2014. Une évaluation cognitive par le test de Wechsler Intelligence Scale for Children (WISC IV) avait été réalisée chez des enfants ayant présenté une méningite à pneumocoque entre 1 mois et 16 ans entre le 1er janvier 2004 et le 31 décembre 2012. Les résultats étaient présentés en nombre (pourcentage), moyenne (écart-type) et médiane; les comparaisons inter groupes réalisées avec les tests de Fisher, Chi-2 et Mann- Whitney Wilcoxon. Résultats: 9 enfants ont été inclus pendant la période d'étude sur les 48 cas recensés. Le quotient intellectuel total avait une moyenne de 87.67+/-20.35 et une médiane à 94 . L'indice de raisonnement perceptif et l'indice de vitesse de travail avaient les scores les plus bas avec des moyennes respectivement à 88.78+/-19.18 et 89.67+/-18.92. La présence d'une imagerie anormale, un nombre de globules blancs dans le liquide céphalo rachidien inférieurs à 1000/mm3, le niveau éducatif du père et une fièvre de moins de 48 heures avant la prise en charge étaient associés de façon significative à de moins bon résultats cognitifs. Conclusion: Ce travail met en évidence la nécessité et l'importance du dépistage des séquelles cognitives chez des enfants ayant présenté une méningite à pneumocoque au même titre que le dépistage des séquelles auditivesMONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocSudocFranceF

Invasive pneumococcal disease in children can reveal a primary immunodeficiency

About 10% of pediatric patients with invasive pneumococcal disease (IPD) die from the disease. Some primary immunodeficiencies (PIDs) are known to confer predisposition to IPD. However, a systematic search for these PIDs has never been carried out in children presenting with IPD.status: publishe