Associations between Children's Genetic Susceptibility to Obesity, Infant's Appetite and Parental Feeding Practices in Toddlerhood.

Previous findings suggest that parental feeding practices may adapt to children's eating behavior and sex, but few studies assessed these associations in toddlerhood. We aimed to study the associations between infant's appetite or children's genetic susceptibility to obesity and parental feeding practices. We assessed infant's appetite (three-category indicator: low, normal or high appetite, labelled 4-to-24-month appetite) and calculated a combined obesity risk-allele score (genetic risk score of body mass index (BMI-GRS)) in a longitudinal study of respectively 1358 and 932 children from the EDEN cohort. Parental feeding practices were assessed at 2-year-follow-up by the CFPQ. Three of the five tested scores were used as continuous variables; others were considered as binary variables, according to the median. Associations between infant's appetite or child's BMI-GRS and parental feeding practices were assessed by linear and logistic regression models, stratified on child's sex if interactions were significant. 4-to-24-month appetite was positively associated with restrictive feeding practices among boys and girls. Among boys, high compared to normal 4-to-24-month appetite was associated with higher use of food to regulate child's emotions (OR [95% CI] = 2.24 [1.36; 3.68]). Child's BMI-GRS was not related to parental feeding practices. Parental feeding practices may adapt to parental perception of infant's appetite and child's sex

Family Socioecological Correlates of Lifestyle Patterns in Early Childhood: A Cross-Sectional Study from the EDEN Mother-Child Cohort

Energy balance-related behaviors (EBRBs), i.e., diet, sedentary behavior, physical activity, and sleep, combine into lifestyle patterns, which we aim to identify in French preschoolers and analyze their family correlates within the framework of a comprehensive socioecological model. Parental questionnaires provided information about family characteristics and children's EBRBs for 978 5-year-olds of the EDEN cohort. We used principal component analysis to derive lifestyle patterns from EBRBs and hierarchical multivariable linear regressions to assess their associations with family socio-demographics, parent health/behaviors, and parent-child interactions. Analyses were stratified by sex. Of the three lifestyle patterns identified (unhealthy, healthy, and mixed), the mixed pattern differed the most between sexes. Lower parental education, suboptimal maternal diet, TV during meals, and later bedtime were associated with higher adherence to unhealthy patterns. Children cognitively stimulated at home and boys of mothers not employed adhered more to the healthy pattern. Older siblings (for girls) and higher engagement of parents in leisure-time physical activity (for boys) were related to greater adherence to mixed patterns. The identification of various correlates from multiple socioecological levels suggests that tackling the potentially synergistic effect of lifestyle patterns on health requires addressing processes relevant to the parent-child dimension and structural barriers parents may encounter

Associations between maternal eating behaviors and feeding practices in toddlerhood

International audienceFew studies have examined the associations between parents' own eating behaviors and their feeding practices. We aimed to study the associations between maternal eating behaviors and feeding practices in toddlerhood. In this cross-sectional analysis, maternal eating behaviors and feeding practices were assessed at 2-year follow-up by using the Three-Factor Eating Questionnaire (TFEQ-R21) and the Comprehensive Feeding Practices Questionnaire (CFPQ), respectively, among mothers of 1322 children from the EDEN mother-child cohort. Depending on their distributions, scores from the two questionnaires were considered continuous or binary variables, according to the median. Linear or logistic regression models were used as appropriate to assess the associations between maternal eating behaviors, considered simultaneously in a combined model, and their feeding practices. Maternal cognitive restraint was positively associated with maternal restriction for health and restriction for weight. Maternal uncontrolled eating was positively associated with pressure to eat and use of food to regulate the child's emotions. Maternal uncontrolled eating was also negatively associated with restriction for weight, but only among boys. This study supports that mothers' own eating behaviors are associated with their feeding practices in toddlerhood. Further studies are needed to understand the role of parental feeding practices in the familial transmission of eating behavior

Mediating effect of parental restrictive feeding practices in the association between early and later growth

International audienc

Susceptibilité génétique à l’obésité, restriction parentale vis-à-vis de l’alimentation et croissance des enfants

National audienceIntroduction et but de l’étude: Plusieurs études montrent que les pratiques parentales vis-à-vis de l’alimentation sontassociées au statut pondéral de l’enfant. La restriction parentale vis-à-vis de l’alimentation est souvent considéréecomme une pratique favorisant l’obésité. Des études récentes suggèrent que cette pratique pourrait également être uneréponse des parents à un statut pondéral trop élevé de l’enfant. De plus, d’autres études ont montré que, chez l’adulte, larestriction alimentaire constitue un facteur modérateur du lien entre la susceptibilité génétique à l’obésité et l’IMC. Dansce contexte, cette étude longitudinale avait pour objectifs d’analyser 1/ le lien entre la restriction parentale vis-à-vis del’alimentation à 2 ans et l’IMC de l’enfant entre 3 et 5 ans et 2/ le rôle potentiellement modérateur de cette pratique dansl’association entre la susceptibilité génétique de l’enfant à l’obésité et l’IMC de l’enfant entre 3 et 5 ans.Matériel et méthodes: 1246 enfants de la cohorte EDEN (Étude des Déterminants pré et post natals de la santé del'ENfant) ont été inclus dans cette étude. Un score de susceptibilité génétique à l’obésité a été calculé à partir de 16polymorphismes identifiés comme associés à l’obésité de l’enfant dans les études génome-entier. La restriction parentalevis-à-vis de l’alimentation a été recueillie par auto-questionnaire aux 2 ans de l’enfant à l’aide du Child Feeding PracticesQuestionnaire. Le z-score OMS d’IMC-pour-âge a été calculé à 3, 4 et 5 ans à partir des données de poids et de tailleprédites grâce à des modélisations individuelles (modèle de Jenss-Bayley). Les associations entre la restriction parentalevis-à-vis de l’alimentation à 2 ans et les z-scores d’IMC entre 3 et 5 ans ont été évaluées à l’aide de régressions linéairesmultiples incluant les principaux facteurs d’ajustement, comprenant notamment le z-score d’IMC à 2 ans. Les interactionsentre la susceptibilité génétique de l’enfant à l’obésité et la restriction parentale vis-à-vis de l’alimentation ont été testéespour chaque paramètre de croissance considéré : les analyses ont été stratifiées le cas échéant.Résultats et Analyse statistique: Le score de restriction parentale à 2 ans était associé à un z-score d’IMC de l’enfantplus élevé entre 3 et 5 ans. Une interaction existait entre la susceptibilité génétique de l’enfant à l’obésité et le score derestriction, pour prédire le z-score d’IMC à 3 ans (p d’interaction=0,07), mais cette interaction s’atténuait avec l’âge del’enfant (p=0,1 à 4 ans et p=0,2 à 5 ans) : une plus grande susceptibilité génétique à l’obésité était associée à un IMCplus élevé uniquement lorsque les parents exerçaient peu de restriction sur l’alimentation de leur enfant.Conclusion: Comme déjà décrit chez les adultes, la restriction parentale vis-à-vis de l’alimentation semblait atténuerl’association entre la susceptibilité génétique à l’obésité et l’IMC de l’enfant. Des études supplémentaires sontnécessaires afin étudier l’effet à long terme de la restriction parentale vis-à-vis de l’alimentation

Place de la restriction parentale vis-à-vis de l’alimentation dans la croissance de l’enfant

National audienc

Susceptibilité génétique à l’obésité, restriction parentale vis-à-vis de l’alimentation et croissance des enfants

National audienceIntroduction et but de l’étude: Plusieurs études montrent que les pratiques parentales vis-à-vis de l’alimentation sontassociées au statut pondéral de l’enfant. La restriction parentale vis-à-vis de l’alimentation est souvent considéréecomme une pratique favorisant l’obésité. Des études récentes suggèrent que cette pratique pourrait également être uneréponse des parents à un statut pondéral trop élevé de l’enfant. De plus, d’autres études ont montré que, chez l’adulte, larestriction alimentaire constitue un facteur modérateur du lien entre la susceptibilité génétique à l’obésité et l’IMC. Dansce contexte, cette étude longitudinale avait pour objectifs d’analyser 1/ le lien entre la restriction parentale vis-à-vis del’alimentation à 2 ans et l’IMC de l’enfant entre 3 et 5 ans et 2/ le rôle potentiellement modérateur de cette pratique dansl’association entre la susceptibilité génétique de l’enfant à l’obésité et l’IMC de l’enfant entre 3 et 5 ans.Matériel et méthodes: 1246 enfants de la cohorte EDEN (Étude des Déterminants pré et post natals de la santé del'ENfant) ont été inclus dans cette étude. Un score de susceptibilité génétique à l’obésité a été calculé à partir de 16polymorphismes identifiés comme associés à l’obésité de l’enfant dans les études génome-entier. La restriction parentalevis-à-vis de l’alimentation a été recueillie par auto-questionnaire aux 2 ans de l’enfant à l’aide du Child Feeding PracticesQuestionnaire. Le z-score OMS d’IMC-pour-âge a été calculé à 3, 4 et 5 ans à partir des données de poids et de tailleprédites grâce à des modélisations individuelles (modèle de Jenss-Bayley). Les associations entre la restriction parentalevis-à-vis de l’alimentation à 2 ans et les z-scores d’IMC entre 3 et 5 ans ont été évaluées à l’aide de régressions linéairesmultiples incluant les principaux facteurs d’ajustement, comprenant notamment le z-score d’IMC à 2 ans. Les interactionsentre la susceptibilité génétique de l’enfant à l’obésité et la restriction parentale vis-à-vis de l’alimentation ont été testéespour chaque paramètre de croissance considéré : les analyses ont été stratifiées le cas échéant.Résultats et Analyse statistique: Le score de restriction parentale à 2 ans était associé à un z-score d’IMC de l’enfantplus élevé entre 3 et 5 ans. Une interaction existait entre la susceptibilité génétique de l’enfant à l’obésité et le score derestriction, pour prédire le z-score d’IMC à 3 ans (p d’interaction=0,07), mais cette interaction s’atténuait avec l’âge del’enfant (p=0,1 à 4 ans et p=0,2 à 5 ans) : une plus grande susceptibilité génétique à l’obésité était associée à un IMCplus élevé uniquement lorsque les parents exerçaient peu de restriction sur l’alimentation de leur enfant.Conclusion: Comme déjà décrit chez les adultes, la restriction parentale vis-à-vis de l’alimentation semblait atténuerl’association entre la susceptibilité génétique à l’obésité et l’IMC de l’enfant. Des études supplémentaires sontnécessaires afin étudier l’effet à long terme de la restriction parentale vis-à-vis de l’alimentation

Associations between Children’s Genetic Susceptibility to Obesity, Infant’s Appetite and Parental Feeding Practices in Toddlerhood

International audiencePrevious findings suggest that parental feeding practices may adapt to children’s eating behavior and sex, but few studies assessed these associations in toddlerhood. We aimed to study the associations between infant’s appetite or children’s genetic susceptibility to obesity and parental feeding practices. We assessed infant’s appetite (three-category indicator: low, normal or high appetite, labelled 4-to-24-month appetite) and calculated a combined obesity risk-allele score (genetic risk score of body mass index (BMI-GRS)) in a longitudinal study of respectively 1358 and 932 children from the EDEN cohort. Parental feeding practices were assessed at 2-year-follow-up by the CFPQ. Three of the five tested scores were used as continuous variables; others were considered as binary variables, according to the median. Associations between infant’s appetite or child’s BMI-GRS and parental feeding practices were assessed by linear and logistic regression models, stratified on child’s sex if interactions were significant. 4-to-24-month appetite was positively associated with restrictive feeding practices among boys and girls. Among boys, high compared to normal 4-to-24-month appetite was associated with higher use of food to regulate child’s emotions (OR [95% CI] = 2.24 [1.36; 3.68]). Child’s BMI-GRS was not related to parental feeding practices. Parental feeding practices may adapt to parental perception of infant’s appetite and child’s sex

Place des pratiques alimentaires précoces dans l’association entre la susceptibilité génétique de l’enfant à l’obésité et sa croissance

National audienc

Place des pratiques alimentaires précoces dans l’association entre la susceptibilité génétique de l’enfant à l’obésité et sa croissance

National audienc