235 research outputs found

    Sex and Seasonal Differences in Cognition and the Brain in Brood-parasitic Brown-headed Cowbirds (Molothrus ater)

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    The hypothesis underlying all of neuroecology proposes that natural selection can modify cognition and its neural mechanisms if these modifications enhance fitness. I tested for sex and seasonal differences in cognition and the brain of brood-parasitic brown-headed cowbirds (Molothrus ater) and the closely related non-brood-parasitic red-winged blackbird (Agelaius phoeniceus) to determine whether cognitive and neural patterns were associated with space use and singing in the wild. Cowbirds show a reversal of sex-typical space use often seen in mammals with only female cowbirds parasitizing, searching for, and revisiting host nests. Cowbird and blackbird males sing more than females, especially in breeding condition, but female blackbirds sing, whereas female cowbirds do not sing at all. I tested cowbirds on a foraging task that required them to move through the testing environment in Chapter 2 and stationary spatial and colour memory touchscreen tasks in Chapter 3. I then examined sex and seasonal differences in the brain regions involved in spatial memory, the hippocampus, (Chapter 4) and singing behaviour, the HVC (proper name) and the robust nucleus of the arcopallium (RA), (Chapter 5) of cowbirds and blackbirds. Female cowbirds outperformed males on the foraging task and female cowbirds and blackbirds had a larger hippocampus relative to the telencephalon than male cowbirds and blackbirds, regardless of breeding condition. Female cowbirds had higher doublecortin immunoreactivity (DCX+), a measure of neurogenesis, in the hippocampus than male cowbirds, but no sex difference existed in blackbirds. However, male cowbirds outperformed female cowbirds on the spatial touchscreen task, demonstrating that females have enhanced spatial memory only on tasks resembling their behaviour in the wild. Male and female cowbirds performed better on the spatial touchscreen task than on the colour touchscreen task, suggesting that cowbirds may have enhanced spatial memory relative to other forms of memory. Indeed, cowbirds had a larger hippocampus with higher DCX+ than blackbirds. Finally, the size of HVC and RA were positively associated with singing and DCX+ in HVC was negatively associated with singing. In conclusion, my results support the central tenet of neuroecology, namely that the brain and cognition are specialized for an organism’s ecology

    Karine Salomé, Les Îles bretonnes. Une image en construction (1750-1914), Rennes, Presses universitaires de Rennes, 472 p.

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    Des îles sans histoire ? Fraîchement sorti de l’École des Ponts et Chaussées dans les années 1830, l’ingénieur Auguste Mille, est affecté à la construction du grand phare de Sein. Dans la correspondance qu’il entretient avec sa hiérarchie parisienne, voici la description qu’il fait de son séjour insulaire : « Depuis deux ans, écrit-il, j’habite sur le triste et stérile rocher de l’Île de Sein ; depuis deux ans, je n’ai connu qu’une vie de dangers et de privations, logé dans une mauvaise bara..

    Les lentilles Ă  Ă©chelons de Fresnel

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    La lentille à échelons de Fresnel va remplacer le réflecteur parabolique en usage jusqu’alors dans les phares. Avec un dispositif rotatoire et une source d’éclairage innovants eux aussi, elle va permettre une évolution de grande ampleur dans la signalisation maritime sur les côtes françaises. Elle avait déjà été imaginée quelques décennies auparavant par Buffon, mais c’est Fresnel, en ayant l’idée de la faire en plusieurs morceaux, qui lui permet une utilisation immédiate. Le texte est agrémenté de figures (auteur : Manuel Luque) permettant de visualiser le parcours d’un rayon lumineux, et les deux réfractions successives dans la lentille. Les lentilles à échelons sont toujours utilisées dans les phares maritimes, et trouveront une utilisation que Fresnel n’avait pas imaginée : les phares automobiles

    Karine Salomé, Les Îles bretonnes. Une image en construction (1750-1914), Rennes, Presses universitaires de Rennes, 472 p.

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    Des îles sans histoire ? Fraîchement sorti de l’École des Ponts et Chaussées dans les années 1830, l’ingénieur Auguste Mille, est affecté à la construction du grand phare de Sein. Dans la correspondance qu’il entretient avec sa hiérarchie parisienne, voici la description qu’il fait de son séjour insulaire : « Depuis deux ans, écrit-il, j’habite sur le triste et stérile rocher de l’Île de Sein ; depuis deux ans, je n’ai connu qu’une vie de dangers et de privations, logé dans une mauvaise bara..

    Les lentilles Ă  Ă©chelons de Fresnel

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    La lentille à échelons de Fresnel va remplacer le réflecteur parabolique en usage jusqu’alors dans les phares. Avec un dispositif rotatoire et une source d’éclairage innovants eux aussi, elle va permettre une évolution de grande ampleur dans la signalisation maritime sur les côtes françaises. Elle avait déjà été imaginée quelques décennies auparavant par Buffon, mais c’est Fresnel, en ayant l’idée de la faire en plusieurs morceaux, qui lui permet une utilisation immédiate. Le texte est agrémenté de figures (auteur : Manuel Luque) permettant de visualiser le parcours d’un rayon lumineux, et les deux réfractions successives dans la lentille. Les lentilles à échelons sont toujours utilisées dans les phares maritimes, et trouveront une utilisation que Fresnel n’avait pas imaginée : les phares automobiles

    La signalisation maritime en France : un projet poly-technique au début du XIXème siècle

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    Comprendre le temps, c’est souvent chercher une origine, un lieu où l’histoire a débu­té. L’histoire des phares aurait commencé avec la construction du phare d’Alexandrie par Sos-trade de Cnide, sous le règne des Ptolémée, environ 300 ans avant Jésus-Christ. Mais l’histoire des phares de France n’a qu’un lointain rapport avec ce feux antique. Il n’est guère plus correct de réduire l’origine des phares modernes à l’invention des célèbres lentilles de Fresnel, ces pièces de verre conservées com..

    La France vue du sol

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    Entreprise dynamique et volontaire, suscitant rapidement l’intérêt – savamment orchestré – des professionnels de la photographie et du paysage, la Mission photographique de la Délégation à l’aménagement du territoire et à l’action régionale (Datar) a laissé derrière elle des milliers de tirages contacts, deux mille épreuves, partiellement accessibles sur les postes numérisés de la Bibliothèque nationale de France, ainsi que deux livres rapidement épuisés, Paysages photographies. La place de l..

    La signalisation maritime en France : un projet poly-technique au début du XIXème siècle

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    Comprendre le temps, c’est souvent chercher une origine, un lieu où l’histoire a débu­té. L’histoire des phares aurait commencé avec la construction du phare d’Alexandrie par Sos-trade de Cnide, sous le règne des Ptolémée, environ 300 ans avant Jésus-Christ. Mais l’histoire des phares de France n’a qu’un lointain rapport avec ce feux antique. Il n’est guère plus correct de réduire l’origine des phares modernes à l’invention des célèbres lentilles de Fresnel, ces pièces de verre conservées com..

    Le Phare en pièces détachées, Amédée et les tours métalliques du XIXe siècle

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    Les tours métalliques occupent une place particulière dans l'architecture des phares, dévoilant la dimension industrielle, urbaine, d’une histoire des phares souvent réduite à l’effeuillage de jolies cartes postales du littoral. La fonte et le fer sont utilisés pour les lanternes, des tourelles de port construites en série, puis pour des projets de phares de grande taille. L'histoire du phare Amédée, construit à Paris en 1862 dans les ateliers Rigolet sur des plans de Léonce Reynaud, est exemplaire de cette histoire. Démonté et expédié en Nouvelle-Calédonie, il devait être un phare « générique », détaché du contexte particulier du littoral à éclairer. La critique de ce projet par Gustave Eiffel (1832-1923) annonce une architecture « phare » faite de treillis et de tubes qui connut un certain succès en Amérique du Sud et dans l'Océan Indien. L'article invite en conclusion à une étude plus systématique d'un patrimoine méconnu, dispersé et souvent dans un état de préservation préoccupant.Often neglected in conventional surveys emphasizing pretty postcard views of coasts, a study of metal lighthouse structures reveals the industrial and urban dimension of this building type. Initially used for lanterns and the serial production of small port towers, iron and steel were applied in the course of the 19th century to the construction of full-scale lighthouse structures. The Amédée Lighthouse – built in 1862 in the Paris workshops of Rigolet according to plans developed by Léonce Reynaud – is exemplary of this type. Dismantled and shipped to New Caledonia, the Amédée Lighthouse was to be a “generic” structure, designed independently of the particular coast it would illuminate. Responding to this project with his own design, Gustave Eiffel (1832-1923) developed a novel lighthouse architecture made of mesh and tubes, which met some success in South America and the Indian Ocean. Based on these examples, it is clear that a more systematic study of this little known and disappearing industrial heritage is needed.Die Metalltürme nehmen einen besonderen Platz in der Architektur der Leuchttürme ein, indem sie der oft auf das Aufblättern von malerischen Ansichtskarten begrenzten Geschichte der Leuchttürme eine industrielle und urbane Dimension verleihen. Es werden Guss und Stahl zuerst für seriengefertigte Laternen und Hafentürmchen, dann für großformatige Leuchtturmprojekte verwendet. Der Amédée genannte Leuchtturm, der 1862 in den Pariser Werkstätten Rigolet nach Léonce Reynauds Bauplan errichtet wurde, erweist sich besonders repräsentativ für diese Geschichte. Abmontiert und nach Neukaledonien abgeschickt sollte er ein genereller Leuchtturmtyp werden, unabhängig von den besonderen Bedingungen der Küste, die zu beleuchten war. Die von Eiffel geübte Kritik des Projekts verwies auf eine typische Architektur der Leuchttürme aus Maschendraht und Röhren, die einen gewissen Erfolg in Südamerika und im indischen Ozean hatten. Der Aufsatz bietet abschließend eine systematische Überprüfung dieses verkannten Bauerbes an, das( welt)weit gestreut ist und sich oft im schlechten Zustand befindet

    Francis Dreyer, Éclairer la mer. Les optiques de phares et leurs constructeurs

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    L’ouvrage proposé par les Presses universitaires de Rennes est la publication d’une thèse consacrée aux constructeurs d’optiques soutenue par Francis Dreyer, en 2008, à l’université Paris 4 Sorbonne, sous la direction de Pascal Griset. L’auteur, historien et conservateur du patrimoine, a ensuite poursuivi sa carrière dans le domaine du patrimoine industriel, dans la Nièvre notamment. C’est un expert reconnu à qui les ministères de l’Écologie et de la Culture confient des missions d’inventaire..
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