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    Gestion des défauts osseux du secteur antérieur maxillaire dans les cas d’édentements unitaires

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    Le traitement de l'édentement unitaire maxillaire antérieur peut s'avérer d'une grande complexité et concentre beaucoup de défis techniques pour répondre aux attentes de réhabilitation esthétique et fonctionnelle. Le contexte clinique peut conduire à l'indication de prothèse implanto-portée dont le succès sera conditionné par la quantité et la qualité du support osseux. La perte d'une dent antérieure est souvent associée à une lésion de l'os alvéolaire précédant ou succédant l'édentation. Pour pallier le problème des défauts osseux, plusieurs méthodes chirurgicales existent. Elles utilisent des matériaux comme support afin de maintenir / augmenter le volume d’os après cicatrisation. Ces matériaux peuvent être d’origine animale (xénogreffe), humaine (allogreffe) ou bien encore autogène issu d’un site donneur du patient (autogreffe). Ces substituts osseux sont le plus souvent utilisés en association avec l’utilisation de membranes de séparation tissulaire dans le cadre d’une régénération osseuse guidée (ROG). L'objectif de ce travail est de conduire une analyse critique de ces différentes méthodes chirurgicales proposées dans la littérature pour optimiser les conditions osseuses dans l'hypothèse d'une chirurgie implantaire du secteur maxillaire antérieur

    \uc9tude caryo-taxinomique de quatre Sapindac\ue9es

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    Volume: 33Start Page: 616End Page: 61

    \uc9tude caryo-taxinomique et r\ue9partition g\ue9ographique de quelques Sapindac\ue9es

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    Volume: 36Start Page: 858End Page: 86

    Caryologie des Comm\ue9linac\ue9es : II. — Les Callisia repens L . et C. insignis C. B. Clarke

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    Volume: 38Start Page: 497End Page: 50

    Répercussion professionnelles du syndrome post-commotionnel secondaire à un traumatisme cranien léger (étude prospective sur six mois)

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    But: Rechercher l'existence de répercussions d'un syndrome post-commotionnel (SPC) secondaire à un traumatisme crânien léger (TCL) sur l'activité professionnelle. Méthode: Etude prospective descriptive sur six mois par questionnaires pour rechercher l'existence d'un SPC et d'éventuelles difficultés au travail. Résultats: Analyse sur 70 patients. SPC pour 48% (n=34) à 1 mois, pour 38% (n=27) à 3 mois, à l'origine pour 39% (n=26) de difficultés au travail. 7 sujets n'ont pas trouvé de stratégies de compensation et sont gênés dans leur travail. A mois, 4 sujets n'ont pas repris leur travail (2 directement à cause du SPC), 2 ont changé de poste dont 1 transitoirement, et 2 ont diminué leur temps de travail de façon temporaire. Conclusion: Le SPC est fréquent après un TCL mais ne semble pas être un obstacle majeur à la poursuite d'une activité professionnelle, la majorité des victimes de notre étude continue à travailler dans les conditions identiques à la situation pré-traumatique.RENNES1-BU Santé (352382103) / SudocSudocFranceF

    Les lipides des frondes sporif\ue8res du Scolopendrium vulgare Sm

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    Volume: 42Start Page: 1315End Page: 132

    Caryologie des Commelinac\ue9es. III. Le genre Tripogandra Raf

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    Volume: 18Start Page: 147End Page: 16
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