16 research outputs found

    Mindfulness group for mentally ill patients in remission

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    For the last four years the Institut de Pleine Conscience Appliquée de Montréal (IPCAM) and the Department of Psychiatry of the St. Mary Hospital Center, an affiliated McGill Community Hospital, have been offering a weekly 140 minutes session to mentally ill patients in remission. The sessions are held outside the hospital in the institute.The objectives of the authors are:1.     To empower the Health Care Professionals (HCP) and the Expert in Mindfulness (EIM) to start such a co-op group for patients who otherwise might feel unable to discuss their mental health problems while trying to integrate mindfulness practice.2.     To describe the outlines of such a group, such as the referral forms, the expected goals for attendance, the meditation exercises and some particular aspects of the sharing periods.3.     To propose to the HCP and the EIM some practical tips in order to orient the patients in healthy habits of acceptance of themselves rather than maintaining themselves in maladaptive thoughts, emotions and behaviours. As we all know people who have had a difficult childhood could use mindfulness inadvertently for avoidance rather than acceptance.4.         Finally to share with the HCP and the EIM the enriching experience of such a co-op group for the leaders as much as for the participants

    Deux mosaïques représentant les travaux d'Hercule

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    Gozlan Suzanne. Deux mosaïques représentant les travaux d'Hercule. In: Bulletin de la Société Nationale des Antiquaires de France, 1978-1979, 1982. pp. 101-102

    Quelques décors ornementaux de la mosaïque africaine

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    Suzanne Gozlan, Quelques décors ornementaux de la mosaïque africaine, p. 983-1029. Sont étudiés deux motifs de bordure et deux décors de champ, spécifiques du répertoire de la mosaïque africaine. La ligne de fuseaux couchés, en fin filet végétalisé polychrome, soit sur fond noir, soit plus souvent sur fond blanc, est représentée aux IIe et IIIe siècles à Acholla et à El Jem. De style géométrique polychrome, la ligne de carrés et redans, apparue à Acholla et El Jem au IIe siècle, est ensuite connue à Thina et se retrouve sur un tapis d'Hippone. En décor de champ, le quadrillage de carrés et fuseaux est répertorié à treize exemplaires. Les plus anciens sont à Acholla, El Jem, Bararus; le (v. au verso) schéma essaime au sud à Thina, au nord à Althiburos; il évolue en s'alourdissant au IVe siècle à Thuburbo-Majus et à Sabratha. Le grand guillochis, décor plus riche, est répandu dans la même zone stylistique (seize exemplaires). Il est tracé en laurier, en tresse, en câble, même en épines ou en tiges végétales; ses boucles peuvent enfermer des sujets figurés. On le trouve sur les sites précédemment cités, et à Sousse, Dougga, Carthage, du IIe au VIe siècle. Ces schémas ont été peu exportés, et paraissent n'avoir plus été utilisés à l'époque byzantine.Gozlan Suzanne. Quelques décors ornementaux de la mosaïque africaine. In: Mélanges de l'École française de Rome. Antiquité, tome 102, n°2. 1990. pp. 983-1029

    Les pavements en mosaïques de la Maison de Neptune à Acholla-Botria (Tunisie)

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    Gozlan Suzanne. Les pavements en mosaïques de la Maison de Neptune à Acholla-Botria (Tunisie). In: Monuments et mémoires de la Fondation Eugène Piot, tome 59, 1974. pp. 71-135

    Une tige végétale dans la mosaïque africaine : millet ou roseau ?

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    Un symbole végétal souvent attesté dans la mosaïque africaine a été interprété, depuis Paul Gauckler, tantôt comme représentant du millet (milium), céréale sèche en effet attestée dans l’Afrique antique, tantôt comme du roseau (harundo), fréquent en milieu humide dans les pays méditerranéens. Dans la littérature archéologique de langues latines, le millet s’est imposé depuis un siècle, et cette lecture est encore donnée comme une certitude dans des publications récentes. Les auteurs ont repris l’ensemble du dossier pour un réexamen approfondi, d’autant plus nécessaire que ce végétal, déjà identifié comme un symbole relatif à certaines factions du cirque, a depuis été identifié aussi comme symbole utilisé par certaines sodalités d’amphithéâtre, en particulier celle des Leontii. Les auteurs concluent qu’en dépit des similarités d’aspect entre certaines variétés des deux familles de végétaux, ce symbole ne représente certainement pas du millet, lié au sec, à l’été et aux plus anciennes pratiques agricoles, mais bien du roseau, ce qui explique son association constante avec l’évocation de l’hiver, des milieux humides et des espaces sauvages de la chasse.A vegetal symbol often found on the mosaics of North Africa has been interpreted, since Paul Gauckler, either as figuring millet (milium), a dry cereal existing in ancient Africa, or as representing reed (harundo), often found in humid places of the Mediterranean landscape. From almost one century, the archaeological literature of the latin countries has finally adopted the millet as a constant interpretation, even in the most recent publications. The authors of this paper take thoroughly in charge the examination of the problem, which is important to solve, because this vegetal symbol is used by one or more factions (factio) in the context of the circus, as well as by more than one sodality (sodalitas) contrasting in the amphitheater games, especially that of the Leontii. The authors reach the conclusion that, in spite of similarities between varieties belonging to both families of vegetals, this symbol cannot be understood as representing millet, linked with drought, summer and agriculture: it has, without any doubt, to be interpreted as reed, which explains its constant association with winter, waters, humid places as well with scenes of hunt in the wilderness

    Une tige végétale dans la mosaïque africaine : millet ou roseau ?

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    International audienc

    La maison des Muses de Cillium (Kasserine, Tunisie)

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    International audienc

    La Maison du triomphe de Neptune à Acholla (Botria, Tunisie). I. Les mosaïques

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    Les fouilles du port antique d'Acholla, commencées en 1947, poursuivies depuis 1979 par une équipe franco-tunisienne, ont mis au jour, outre deux établissements thermaux, trois habitations privées qui conservent de riches pavements en mosaïque. La maison du Triomphe de Neptune - la première entièrement publiée - tire son nom de la mosaïque de l'œcus dont le centre représente le dieu en char, entouré de son cortège de Néréides et d'Ichtyocentaures. L'ensemble pavimental, en excellent état lors de la découverte, recouvrait le péristyle et toutes les pièces d'habitation, à l'exception des pièces de service, soit 1175 m2 environ, composant cinquante-six décors différents. Très homogène, sûrement d'une seule venue, il a été daté de la fin du règne d'Antonin le Pieux ou du début du règne de Marc-Aurèle (env. 150-170). La plupart des tapis présentent de beaux décors ornementaux : géométriques ou végétalisants. Cinq contiennent des sujets figurés : xenia, scènes marines et dionysiaques. Leur analyse minutieuse et les rapprochements faits avec la production de la province conduisent à discerner des habitudes de travail ou des manières d'atelier, et à identifier un répertoire et une facture typiques de la région thysdritaine. Ils permettent aussi d'apprécier la beauté de ces pavements, due à la qualité de l'exécution, et les caractéristiques d'un style qui combine harmonieusement, d'une part, la sobriété des canevas et la rigueur de leur mise en place, d'autre part, la finesse et la grâce des tracés qui les réalisent. La décoration de cette demeure aristocratique témoigne en somme du goût d'une province et d'une époque, et en est une des plus belles expressions.Gozlan Suzanne. La Maison du triomphe de Neptune à Acholla (Botria, Tunisie). I. Les mosaïques. Rome : École Française de Rome, 1992. 428 p. (Publications de l'École française de Rome, 160

    La Maison du triomphe de Neptune à Acholla (Botria, Tunisie). I. Les mosaïques

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    Les fouilles du port antique d'Acholla, commencées en 1947, poursuivies depuis 1979 par une équipe franco-tunisienne, ont mis au jour, outre deux établissements thermaux, trois habitations privées qui conservent de riches pavements en mosaïque. La maison du Triomphe de Neptune - la première entièrement publiée - tire son nom de la mosaïque de l'œcus dont le centre représente le dieu en char, entouré de son cortège de Néréides et d'Ichtyocentaures. L'ensemble pavimental, en excellent état lors de la découverte, recouvrait le péristyle et toutes les pièces d'habitation, à l'exception des pièces de service, soit 1175 m2 environ, composant cinquante-six décors différents. Très homogène, sûrement d'une seule venue, il a été daté de la fin du règne d'Antonin le Pieux ou du début du règne de Marc-Aurèle (env. 150-170). La plupart des tapis présentent de beaux décors ornementaux : géométriques ou végétalisants. Cinq contiennent des sujets figurés : xenia, scènes marines et dionysiaques. Leur analyse minutieuse et les rapprochements faits avec la production de la province conduisent à discerner des habitudes de travail ou des manières d'atelier, et à identifier un répertoire et une facture typiques de la région thysdritaine. Ils permettent aussi d'apprécier la beauté de ces pavements, due à la qualité de l'exécution, et les caractéristiques d'un style qui combine harmonieusement, d'une part, la sobriété des canevas et la rigueur de leur mise en place, d'autre part, la finesse et la grâce des tracés qui les réalisent. La décoration de cette demeure aristocratique témoigne en somme du goût d'une province et d'une époque, et en est une des plus belles expressions.Gozlan Suzanne. La Maison du triomphe de Neptune à Acholla (Botria, Tunisie). I. Les mosaïques. Rome : École Française de Rome, 1992. 428 p. (Publications de l'École française de Rome, 160

    Recherches franco-tunisiennes sur la mosaïque de l'Afrique antique I. Xenia

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    Des spécialistes français et tunisiens de la mosaïque africaine antique explorent ici le thème des Xenia, ancêtres gréco-romains de nos «natures mortes». C'est la première fois que sont regroupées les principales données concernant cette série d'images en mosaïque, si fréquentes en Afrique, mais aussi en Italie et dans les autres provinces de l'Empire. Tout en reprenant l'étude des documents connus et surtout en publiant de nombreux inédits, les auteurs font le point sur les principales questions : place des Xenia dans l'architecture et le décor ; identifications iconographiques, notamment celles des corbeilles de dattes, des coings et des cédrats ; réflexions, enfin, sur les valeurs sémantiques de ces images si diverses, évocatrices de prestige social et d'hospitalité fastueuse, mais aussi symboles de l'éternelle fécondité du monde comme des structures cosmiques de l'espace et du temps.Balmelle Catherine, Ben Abed - Ben Khader Aïcha, Ben Osman Wassila et al. Recherches franco-tunisiennes sur la mosaïque de l'Afrique antique I. Xenia. Rome : École Française de Rome, 1990. 170 p. (Publications de l'École française de Rome, 125
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