Correlates of Heterosexual Anal Intercourse among Substance-Using Club-Goers

Anal sexual intercourse represents the highest transmission risk for infection with the human immunodeficiency virus (HIV), yet much of what we know about anal sex is based on men who have sex with men (MSM). Less is known about heterosexual adults who practice anal sex, especially those who may be at risk for HIV such as substance users. The present study examined the demographic, sexual behaviors, substance use, and psychosocial correlates of recent anal intercourse among a heterosexual young adult sample of nightclub goers who also use substances. Data were drawn from an on-going natural history study of participants (n = 597) in Miami\u27s club scene who use club drugs, use prescription medications for non-medical reasons, and were regular attendees of nightclubs. Participants who reported anal sex (n = 118) were more likely to be male, of moderate income, Latino, trade sex, have unprotected sex, and report victimization. Event-based and qualitative studies are needed to better understand the context in which anal sex occurs. Interventions that target heterosexual populations should include discussion about the risks of anal sex

Multiple Determinants of Specific Modes of Prescription Opioid Diversion

Numerous national surveys and surveillance programs have shown a substantial rise in the abuse of prescription opioids over the past 15 years. Accessibility of these drugs to non-patients is the result of their unlawful channeling from legal sources to the illicit marketplace (diversion). Empirical data on diversion remain absent from the literature. This paper examines abusers\u27 sources of diverted drugs from two large studies: 1) a national sample of opioid treatment clients (N=1983), and 2) a South Florida study targeting diverse populations of opioid abusers (N=782). The most common sources of diverted medications were dealers, sharing/trading, legitimate medical practice (e.g., unknowing medical providers), illegitimate medical practice (e.g., pill mills), and theft, in that order. Sources varied by users\u27 age, gender, ethnicity, risk-aversiveness, primary opioid of abuse, injection drug use, physical health, drug dependence, and either access to health insurance or relative financial wealth. Implications for prescription drug control policy are discussed

The 2022 symposium on dementia and brain aging in low‐ and middle‐income countries: Highlights on research, diagnosis, care, and impact

Two of every three persons living with dementia reside in low‐ and middle‐income countries (LMICs). The projected increase in global dementia rates is expected to affect LMICs disproportionately. However, the majority of global dementia care costs occur in high‐income countries (HICs), with dementia research predominantly focusing on HICs. This imbalance necessitates LMIC‐focused research to ensure that characterization of dementia accurately reflects the involvement and specificities of diverse populations. Development of effective preventive, diagnostic, and therapeutic approaches for dementia in LMICs requires targeted, personalized, and harmonized efforts. Our article represents timely discussions at the 2022 Symposium on Dementia and Brain Aging in LMICs that identified the foremost opportunities to advance dementia research, differential diagnosis, use of neuropsychometric tools, awareness, and treatment options. We highlight key topics discussed at the meeting and provide future recommendations to foster a more equitable landscape for dementia prevention, diagnosis, care, policy, and management in LMICs. Highlights: Two‐thirds of persons with dementia live in LMICs, yet research and costs are skewed toward HICs. LMICs expect dementia prevalence to more than double, accompanied by socioeconomic disparities. The 2022 Symposium on Dementia in LMICs addressed advances in research, diagnosis, prevention, and policy. The Nairobi Declaration urges global action to enhance dementia outcomes in LMICs

Relations entre la pollution atmosphérique et les troubles de la périnatalié (revue de la littérature)

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Perception des jeunes parents sur les effets sanitaires de l'environnement en périnatalité

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Etude des patients Partis-Sans-Soins au sein d'un Département d'Accueil et d'Urgences (étude rétrospective sur toute l'année 2005 au DAU de Poissy)

L'objectif est d'évaluer quelles mesures autre que la diminution du temps d'attente peuvent contribuer à une diminution du nombre de patients qui partent sans soins dans un service d'urgence. Ce travail comporte trois parties : une étude rétrospective des patients Partis Sans Soins (PSS) de l'année 2005 a permis de définir un profil des patients PSS. Puis une étude de faisabilité a servi de base de travail et a permis la réalisation d'un questionnaire téléphonique. Une étude prospective portant sur plus de 420 patients a ensuite analysé les mesures qui auraient pu prévenir le départ de ses patients. Les résultats sont les suivants : entre le 23 novembre 2006 et le 12 février 2007, 12702 patients ont consulté aux urgences parmi lesquels 421 (3,5%) sont partis sans soin. 229 (54%) d entre eux ont accepté de répondre au questionnaire. Le temps maximum accepté d attendre a été de 130 minutes pour un temps attendu médian de 120 minutes. 74 % des personnes interrogées ont cité au moins une mesure qui auraient pu les faire attendre davantage. La conclusion est que le départ anticipé des patients qui partent sans soins ne s'explique pas seulement par la longue durée d'attente. Une grande majorité des patients interrogés ont proposé des mesures qui auraient pu les faire attendre davantage. La prise en compte de ces facteurs, associée à une meilleure gestion des intentions de départs, pourraient permettre une réduction du nombre de départs anticipés des patients et une meilleure qualité de l'accueil au sein des services d'urgences en France.PARIS6-Bibl. St Antoine CHU (751122104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

Les risques de la pollution intérieure pour la femme enceinte et le nourrisson (représentations du médecin généraliste)

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Mutilations sexuelles féminines (connaissances, pratiques et déterminants de l'abord du thème en consultation chez les étudiants en médecine générale)

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Influence de l'entourage des mères sur l'initiation de l'allaitement maternel

Se basant sur les connaissances concernant les bénéfices de l'allaitement maternel, les recommandations actuelles préconisent un allaitement maternel exclusif pendant les six premiers mois de vie. Pour autant, le taux d'initiation de l'allaitement maternel reste en France l'un des plus bas comparé à des pays de niveau de développement comparable. Nous avons réalisé une étude observationnelle transversale dans 2 maternités dans le but d'étudier l'influence de 8 membres de l'entourage maternel sur la décision du type d'alimentation des nouveaux nés. Le logiciel SAS 9.1 a été utilisé pour l'analyse statistique. L'analyse statistique a comporté une première partie descriptive puis une partie analytique des facteurs influençant l'allaitement maternel. Le seuil de significativité retenu pour l'analyse comparative était de p< 0.20. 249 questionnaires ont été analysés. Les résultats ont montré que selon le ressenti des femmes la personne ayant le plus d'influence sur leur décision était le père du nouveau-né dans 45% des cas, la grand-mère maternel dans 10% des cas et la sage-femme dans 5% des cas. Elles déclaraient n'avoir pas été influencées par leur entourage dans 36% des cas. Il n'y avait pas de lien significatif entre le taux d'initiation d'allaitement maternel et l'influence décisive. Par ailleurs nos résultats ont montré que lorsque les mères se sentaient encouragées à initier l'allaitement maternel exclusif par les différents membres de leur entourage, celles-ci l'initiaient plus souvent (p<0.20). Une attitude indifférente ou négative de l'entourage vis-à-vis de l'allaitement maternel était liée à une augmentation du taux d'allaitement artificiel. La taille de l'échantillon a été suffisante pour atteindre notre objectif principal. Les données analysées étaient basées sur des données déclaratives et des réponses subjectives, de ce fait il peut exister un biais de réponse. Les résultats confirment en partie les données de la littérature et montrent l'importance de l'entourage dans l'initiation de l'allaitement maternel et notamment du père. Il semble important d'intégrer le père et les autres membres de la famille dans les campagnes de promotion de l'allaitement maternel. Il serait intéressant d'affermir l'influence du personnel soignant en renforçant les mesures de conseils participatifsLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF